Vous connaissez la définition du football par l’avant-centre anglais Gary Lineker ? « Un jeu simple : 22 joueurs courent après un ballon et à la fin, les Allemands gagnent ». Ce n’est certes plus toujours vrai sur le gazon vert, mais ça le reste dans un sommet européen, qu’on pourrait ainsi définir : « Une négociation simple : 27 leaders courent après un accord et à la fin, Merkel gagne ». Notre Président, tout frais arrivé dans la haute compétition, espérait pourtant changer la règle. Bousculer la hiérarchie et tacler la Teutonne. Faire mieux, aussi, que nos footballeurs, fantômes errants de l’Euro. Notre Président aura au moins essayé, dans son style sans fioriture, sérieux et obstiné. Mais on ne défait pas une longue tradition en un seul match. Ce soir, n’en doutons pas, au coup de sifflet final du sommet, c’est la Mannschaft d’Angela qui chantera victoire – et fera des eurobonds de joie.
vendredi 29 juin 2012
Euros
Vous connaissez la définition du football par l’avant-centre anglais Gary Lineker ? « Un jeu simple : 22 joueurs courent après un ballon et à la fin, les Allemands gagnent ». Ce n’est certes plus toujours vrai sur le gazon vert, mais ça le reste dans un sommet européen, qu’on pourrait ainsi définir : « Une négociation simple : 27 leaders courent après un accord et à la fin, Merkel gagne ». Notre Président, tout frais arrivé dans la haute compétition, espérait pourtant changer la règle. Bousculer la hiérarchie et tacler la Teutonne. Faire mieux, aussi, que nos footballeurs, fantômes errants de l’Euro. Notre Président aura au moins essayé, dans son style sans fioriture, sérieux et obstiné. Mais on ne défait pas une longue tradition en un seul match. Ce soir, n’en doutons pas, au coup de sifflet final du sommet, c’est la Mannschaft d’Angela qui chantera victoire – et fera des eurobonds de joie.
Vous connaissez la définition du football par l’avant-centre anglais Gary Lineker ? « Un jeu simple : 22 joueurs courent après un ballon et à la fin, les Allemands gagnent ». Ce n’est certes plus toujours vrai sur le gazon vert, mais ça le reste dans un sommet européen, qu’on pourrait ainsi définir : « Une négociation simple : 27 leaders courent après un accord et à la fin, Merkel gagne ». Notre Président, tout frais arrivé dans la haute compétition, espérait pourtant changer la règle. Bousculer la hiérarchie et tacler la Teutonne. Faire mieux, aussi, que nos footballeurs, fantômes errants de l’Euro. Notre Président aura au moins essayé, dans son style sans fioriture, sérieux et obstiné. Mais on ne défait pas une longue tradition en un seul match. Ce soir, n’en doutons pas, au coup de sifflet final du sommet, c’est la Mannschaft d’Angela qui chantera victoire – et fera des eurobonds de joie.
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