Pendant que les socialistes débattent, notre Président préside. Tandis que Martine, Ségolène, François et les autres parlent à la télé, Nicolas Sarkozy parcourt le monde et la province française, de Benghazi à Oberhausbergen, mobilisé contre la guerre et contre la crise. En Libye, notre Président exalte la jeunesse à construire la paix dans la concorde. En Alsace, il encourage les jeunes agriculteurs à labourer sans baisser les bras... C’est ça qu’il y a de bien, avec notre Président, c’est qu’il ne fait pas dans le subliminal, le suggéré ou l’allusif. Non, le message est carré, martelé sans nuance: les socialistes font campagne, moi je travaille. Simple, efficace. Et imaginer que notre Président serait lui aussi en campagne électorale, à sa manière, à Benghazi comme à Oberhausbergen, serait vraiment faire preuve de très mauvais esprit.
vendredi 16 septembre 2011
Labours
Pendant que les socialistes débattent, notre Président préside. Tandis que Martine, Ségolène, François et les autres parlent à la télé, Nicolas Sarkozy parcourt le monde et la province française, de Benghazi à Oberhausbergen, mobilisé contre la guerre et contre la crise. En Libye, notre Président exalte la jeunesse à construire la paix dans la concorde. En Alsace, il encourage les jeunes agriculteurs à labourer sans baisser les bras... C’est ça qu’il y a de bien, avec notre Président, c’est qu’il ne fait pas dans le subliminal, le suggéré ou l’allusif. Non, le message est carré, martelé sans nuance: les socialistes font campagne, moi je travaille. Simple, efficace. Et imaginer que notre Président serait lui aussi en campagne électorale, à sa manière, à Benghazi comme à Oberhausbergen, serait vraiment faire preuve de très mauvais esprit.
Pendant que les socialistes débattent, notre Président préside. Tandis que Martine, Ségolène, François et les autres parlent à la télé, Nicolas Sarkozy parcourt le monde et la province française, de Benghazi à Oberhausbergen, mobilisé contre la guerre et contre la crise. En Libye, notre Président exalte la jeunesse à construire la paix dans la concorde. En Alsace, il encourage les jeunes agriculteurs à labourer sans baisser les bras... C’est ça qu’il y a de bien, avec notre Président, c’est qu’il ne fait pas dans le subliminal, le suggéré ou l’allusif. Non, le message est carré, martelé sans nuance: les socialistes font campagne, moi je travaille. Simple, efficace. Et imaginer que notre Président serait lui aussi en campagne électorale, à sa manière, à Benghazi comme à Oberhausbergen, serait vraiment faire preuve de très mauvais esprit.
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