L’augmentation du gaz n’aura plus lieu. Après les 5,2 % d’aujourd’hui, les prochaines hausses seraient gelées… C’est Noël ? Non, c’est les élections, dans un an. Et tous ceux qui en rêvent le matin en se rasant sont tentés de nous promettre dès aujourd’hui qu’ils vont nous raser gratis. C’est juré, le chômage baissera, le soleil brillera, le pouvoir d’achat croîtra… Évidemment, nous avons un peu de mal à y croire. Car nous avons bien entendu jeudi que notre dette s’élevait maintenant à mille milliards et demi d’euros, que nos déficits atteignaient 136 milliards, et qu’il allait falloir éponger tout ça en quatre ou cinq ans… Dur d’imaginer qu’on y parviendra sans souffrir. Alors, si vraiment le gaz n’augmente pas ces prochains mois, un conseil : mettez l’économie réalisée de côté, elle servira à payer l’augmentation d’après la présidentielle.
lundi 4 avril 2011
Raser
L’augmentation du gaz n’aura plus lieu. Après les 5,2 % d’aujourd’hui, les prochaines hausses seraient gelées… C’est Noël ? Non, c’est les élections, dans un an. Et tous ceux qui en rêvent le matin en se rasant sont tentés de nous promettre dès aujourd’hui qu’ils vont nous raser gratis. C’est juré, le chômage baissera, le soleil brillera, le pouvoir d’achat croîtra… Évidemment, nous avons un peu de mal à y croire. Car nous avons bien entendu jeudi que notre dette s’élevait maintenant à mille milliards et demi d’euros, que nos déficits atteignaient 136 milliards, et qu’il allait falloir éponger tout ça en quatre ou cinq ans… Dur d’imaginer qu’on y parviendra sans souffrir. Alors, si vraiment le gaz n’augmente pas ces prochains mois, un conseil : mettez l’économie réalisée de côté, elle servira à payer l’augmentation d’après la présidentielle.
L’augmentation du gaz n’aura plus lieu. Après les 5,2 % d’aujourd’hui, les prochaines hausses seraient gelées… C’est Noël ? Non, c’est les élections, dans un an. Et tous ceux qui en rêvent le matin en se rasant sont tentés de nous promettre dès aujourd’hui qu’ils vont nous raser gratis. C’est juré, le chômage baissera, le soleil brillera, le pouvoir d’achat croîtra… Évidemment, nous avons un peu de mal à y croire. Car nous avons bien entendu jeudi que notre dette s’élevait maintenant à mille milliards et demi d’euros, que nos déficits atteignaient 136 milliards, et qu’il allait falloir éponger tout ça en quatre ou cinq ans… Dur d’imaginer qu’on y parviendra sans souffrir. Alors, si vraiment le gaz n’augmente pas ces prochains mois, un conseil : mettez l’économie réalisée de côté, elle servira à payer l’augmentation d’après la présidentielle.
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