Une très large majorité de Français (88 %) pensent que des hausses d'impôts auront lieu après l'élection présidentielle de 2012, quel que soit le candidat élu, selon un sondage Ifop pour Sud Ouest Dimanche.
Une large majorité de Français "appréhendent l'hypothèse d'une hausse des impôts avec fatalité, conscients (...) de l'état des finances publiques et soucieux de voir la dette diminuer", analyse l'institut de sondage même s'"il ne semble faire aucun doute qu'une part de résignation apparaît à travers" les résultats de l'enquête.
Par ailleurs, l'enquête ne met en évidence aucun clivage au sein des sondés : la possibilité que des hausses d'impôts interviennent après 2012 est envisagée par 85 % des moins de 35 ans comme par 89 % des personnes âgées de 35 ans et plus et par les sympathisants de droite (90 %) comme de gauche (86 %).
La question, pour les candidats, portera donc "sur qui produira l'effort fiscal supplémentaire" plutôt que sur la légitimité d'une hausse des prélèvements, relève l'Ifop qui rappelle que, dans un de ses récents sondages, pour L'Humanité, 64 % des Français se disaient opposés à une baisse de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF).
1 commentaires:
En ce qui me concerne j’ai un objectif : qu’une large partie de mon ISF serve à des œuvres sociales en France et en Israël.
J’ai découvert que la Fondation FSJU participe à des programmes caritatifs dans les deux pays.
Par exemple : des bourses-cantine, la mise en place du réseau santé en France, ou encore l’aide à l’enfance et à la jeunesse en difficulté en Israël… Ah j’oubliais aussi : des bourses aux étudiants qui vivent en Israël loin de leurs familles.
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