Frédéric Mitterrand, notre ministre de l’Emphase creuse et Prince du Lieu commun, n’a laissé hier à personne d’autre le soin de prononcer l’oraison funèbre: Elizabeth Taylor, a-t-il pleuré de sa voix de théâtre, était «la dernière star»... Nous ne discuterons pas ici des talents d’Elizabeth Taylor, ni de la beauté de ses yeux. Mais pourquoi «la dernière», Monsieur Mitterrand ? Curieuse époque, qui à chaque décès d’un grand salue le départ du «dernier» - comme si le partant refermait derrière lui la porte d’accès à la grandeur. Non, Elizabeth Taylor n’est pas la dernière star. Il en est d’autres qui brillent aujourd’hui, et il en naîtra d’autres encore, heureusement. Ainsi va la vie, même chez les étoiles. Et si nous comprenons que vous pleuriez votre jeunesse, Monsieur Mitterrand, pourquoi confondre votre ministère avec la célébration d’une culture de nostalgie de midinette ?
jeudi 24 mars 2011
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Frédéric Mitterrand, notre ministre de l’Emphase creuse et Prince du Lieu commun, n’a laissé hier à personne d’autre le soin de prononcer l’oraison funèbre: Elizabeth Taylor, a-t-il pleuré de sa voix de théâtre, était «la dernière star»... Nous ne discuterons pas ici des talents d’Elizabeth Taylor, ni de la beauté de ses yeux. Mais pourquoi «la dernière», Monsieur Mitterrand ? Curieuse époque, qui à chaque décès d’un grand salue le départ du «dernier» - comme si le partant refermait derrière lui la porte d’accès à la grandeur. Non, Elizabeth Taylor n’est pas la dernière star. Il en est d’autres qui brillent aujourd’hui, et il en naîtra d’autres encore, heureusement. Ainsi va la vie, même chez les étoiles. Et si nous comprenons que vous pleuriez votre jeunesse, Monsieur Mitterrand, pourquoi confondre votre ministère avec la célébration d’une culture de nostalgie de midinette ?
Frédéric Mitterrand, notre ministre de l’Emphase creuse et Prince du Lieu commun, n’a laissé hier à personne d’autre le soin de prononcer l’oraison funèbre: Elizabeth Taylor, a-t-il pleuré de sa voix de théâtre, était «la dernière star»... Nous ne discuterons pas ici des talents d’Elizabeth Taylor, ni de la beauté de ses yeux. Mais pourquoi «la dernière», Monsieur Mitterrand ? Curieuse époque, qui à chaque décès d’un grand salue le départ du «dernier» - comme si le partant refermait derrière lui la porte d’accès à la grandeur. Non, Elizabeth Taylor n’est pas la dernière star. Il en est d’autres qui brillent aujourd’hui, et il en naîtra d’autres encore, heureusement. Ainsi va la vie, même chez les étoiles. Et si nous comprenons que vous pleuriez votre jeunesse, Monsieur Mitterrand, pourquoi confondre votre ministère avec la célébration d’une culture de nostalgie de midinette ?
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