TOUT EST DIT

TOUT EST DIT
ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

dimanche 8 avril 2012

Le PS dénonce les propos outranciers de Sarkozy

Dans une série d'entretiens au Journal du dimanche publiés dimanche 8 avril, Nicolas Sarkozy s'attaque une fois de plus à son rival socialiste François Hollande. Après les piques acerbes lors de son discours de Saint-Raphaël, samedi, le président-candidat repart à la charge. Des propos mal accueillis par les différents membres du PS.
Nicolas Sarkozy estime que Français Hollande "est aujourd'hui l'otage de M. Mélenchon après avoir été celui d'Eva Joly et des factions du Parti socialiste", alors que lui, "veut parler au peuple français dans son ensemble". Il se demande "quel prix" le candidat PS devra "payer au deuxième tour pour rassembler" la gauche.
"N'EST PAS MITTERRAND QUI VEUT"

Dans cet entretien, le candidat de l'UMP vilipende une nouvelle fois François Hollande dont la "stratégie est l'esquive, l'ambiguïté, la faiblesse de dire oui à tout le monde". "M. Hollande, c'est 'j'imite François Mitterrand le matin, et j'en appelle à l'antisarkozysme le soir'". "Le problème, c'est que l'antisarkozysme, ce n'était ce qu'il croyait et n'est pas François Mitterrand qui veut", a asséné le président-candidat.

En réponse, le maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, a dénoncé dimanche "la violence et l'agressivité de ton" de Nicolas Sarkozy contre la gauche, ainsi que "le caractère outrancier" de ses propos qui sont "indignes de la fonction présidentielle." "Les Français ont le droit d'avoir un président de la République qui ne méprise pas des catégories entières de ses compatriotes et qui sache rassembler son peuple au lieu de le diviser et apaiser les tensions plutôt que de les entretenir. C'est le choix de François Hollande qui, en cette circonstance comme depuis le début de la campagne, oppose la dignité à l'offense et la hauteur de vue à l'agitation", conclut le maire de Paris.
LA VAGUE "EN PLEINE FACE"
De son côté, Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole de François Hollande, a accusé Nicolas Sarkozy de s'être livré à un "exercice de dénaturation" du programme du candidat socialiste. "Nicolas Sarkozy a annoncé que François Hollande voulait supprimer le quotient familial, ce qui est absolument faux. Ce que le candidat socialiste propose, c'est d'abaisser le plafond du quotient familial de 2 300 à 2 000 euros, une réforme qui affectera seulement 5 % des foyers fiscaux les plus aisés", a-t-elle souligné dans un communiqué.

Et en réponse au titre de ce deuxième entretien, où Nicolas Sarkozy estime que "la mobilisation sera plus forte que jamais" et qu'il sent "monter la vague", Benoît Hamon, porte-parole du Parti socialiste, a déclaré sur Canal+ : "Moi aussi, je sens monter la vague et je ne suis pas persuadé qu'il ne va pas la prendre en pleine face, la vague."

LES PAUVRES CHOUX DU PS NE SUPPORTENT PAS LA CRITIQUE, C'EST TOUT DE MÊME INCONCEVABLE DE CRITIQUER LEUR GRENICHEUX APATHIQUE, COQUELUCHE DES TOUTE LA PRESSE ET DE TOUTES LES RADIOS DE FRANCE. 
DEMANDEZ DONC À JEAN MICHEL APATHIE QUI SÉVIT SUR R.T.L CE QU'IL EN PENSE, 
SANS CONCESSION!

0 commentaires: