On aimerait parler d’autre chose. Du printemps qui vient, malgré la pluie. De nos footballeurs en Ligue des champions. Et même, pourquoi pas, des élections cantonales… Mais non, chaque matin, sur les radios et dans nos journaux, c’est le même mot qui écrase tout le reste : nucléaire. Et Fukushima, hier inconnu, mais qui risque de nous devenir aussi tragiquement familier que Tchernobyl. Ces mots charrient une sourde inquiétude, comme un stress qui ne nous quitte plus. Nous vivons et rions ici, mais là-bas, que se passe-t-il ? Ces fumées qui tournent en boucle sur les écrans, sont-elles bientôt pour nous ? Et nos centrales, sont-elles si sûres qu’on nous le dit ? On aimerait dénoncer l’excès de ces peurs. Inviter à prendre exemple sur le calme dont font montre les Japonais. Mais rien à faire : chaque matin depuis une semaine, de nos radios et nos journaux, monte un stress nommé Fukushima…
jeudi 17 mars 2011
Stress
On aimerait parler d’autre chose. Du printemps qui vient, malgré la pluie. De nos footballeurs en Ligue des champions. Et même, pourquoi pas, des élections cantonales… Mais non, chaque matin, sur les radios et dans nos journaux, c’est le même mot qui écrase tout le reste : nucléaire. Et Fukushima, hier inconnu, mais qui risque de nous devenir aussi tragiquement familier que Tchernobyl. Ces mots charrient une sourde inquiétude, comme un stress qui ne nous quitte plus. Nous vivons et rions ici, mais là-bas, que se passe-t-il ? Ces fumées qui tournent en boucle sur les écrans, sont-elles bientôt pour nous ? Et nos centrales, sont-elles si sûres qu’on nous le dit ? On aimerait dénoncer l’excès de ces peurs. Inviter à prendre exemple sur le calme dont font montre les Japonais. Mais rien à faire : chaque matin depuis une semaine, de nos radios et nos journaux, monte un stress nommé Fukushima…
On aimerait parler d’autre chose. Du printemps qui vient, malgré la pluie. De nos footballeurs en Ligue des champions. Et même, pourquoi pas, des élections cantonales… Mais non, chaque matin, sur les radios et dans nos journaux, c’est le même mot qui écrase tout le reste : nucléaire. Et Fukushima, hier inconnu, mais qui risque de nous devenir aussi tragiquement familier que Tchernobyl. Ces mots charrient une sourde inquiétude, comme un stress qui ne nous quitte plus. Nous vivons et rions ici, mais là-bas, que se passe-t-il ? Ces fumées qui tournent en boucle sur les écrans, sont-elles bientôt pour nous ? Et nos centrales, sont-elles si sûres qu’on nous le dit ? On aimerait dénoncer l’excès de ces peurs. Inviter à prendre exemple sur le calme dont font montre les Japonais. Mais rien à faire : chaque matin depuis une semaine, de nos radios et nos journaux, monte un stress nommé Fukushima…
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