mardi 31 mars 2009
dimanche 29 mars 2009
samedi 28 mars 2009
SOYONS SINCÈRES
TOUT COMPTE FAIT
Les comores vont prendre le même statut que celui des quatre autres DOM, Martinique, Réunion, Guadeloupe, et Guyane.
Tout ces départements ne vivent que part les subsides de l'Etat; soit : Les impôts que les continentaux paient.
Pourquoi ?
Chômage endémique dû au peu de volonté qu'ont les autochtones à trouver un emploi, sauf à s'exiler pour travailler dans des postes administratifs peu qualifiés, éloignement onéreux, infrastructures peu ou pas développées.
COLONNA
Clonna est condamné alors que sa culpabilité n'est pas prouvée.
Cette condamnantion est un mauvais coup porté à la justice, cela prouve qu'elle reste à deux vitesses.
Madame Erignac, la nantie, a gagner oui, mais quoi ? Elle doit savoir que ce n'est pas le coupable. Mais cela l'arrange bien.
Justice de nanties, la France en est toujours au code Napoléon.
L'institut qu'il faut encourager.
L'IHES, pépinière atypique de génies scientifiques
Inspiré par les États-Unis, cet institut regroupe les meilleurs chercheurs du monde en mathématiques.
Phénomène assez rare en France, l'Institut des hautes études scientifiques (IHES) est un institut privé axé sur la recherche avancée en mathématiques et physique théorique. Il a été fondé en 1958 par un homme d'affaires devenu mathématicien, Léon Motchane. Son statut légal est comparable à celui de l'Institut Pasteur, fondation reconnue d'utilité publique. L'objectif était de créer un équivalent français au prestigieux Institute for Advanced Study de Princeton (États-Unis) dans lequel ont enseigné les plus grands scientifiques comme Albert Einstein. Motchane réussit à obtenir le soutien de Robert Oppenheimer, le père de la bombe atomique américaine qui milita par la suite contre la bombe à hydrogène et qui succéda à Einstein à la tête de Princeton.
L'IHES regroupe les meilleurs chercheurs du monde et accueille aujourd'hui cinq professeurs nommés à vie : les physiciens Thibault Damour et Nikita Nekrasov et les mathématiciens Maxim Kontsevich, Laurent Lafforgue et Mikhaïl Gromov. Leur seule contrainte est de passer au minimum six mois par an à l'IHES. Le budget annuel de l'institut avoisine les 6 millions d'euros. Un peu moins de la moitié (2,8 millions) vient du ministère français de la Recherche. Environ 20 % des fonds proviennent de pays étrangers, essentiellement européens. Ce sont ainsi les services du premier ministre belge, l'Académie des sciences des Pays-Bas mais également le ministère de la Recherche britannique qui participent financièrement. L'Allemagne, la Suisse, les États-Unis, la Chine et le Japon également.
Des entreprises comme Suez, Schlumberger, EDF, France Télécom et le CEA (Commissariat à l'énergie atomique) donnent l'équivalent de 5 % du budget annuel. Le reste provient de ressources propres à l'IHES et du placement de ses revenus. Des particuliers peuvent également faire des dons, souvent de 50, 100 ou 200 €. Le designer Philippe Starck, grand admirateur de Thibault Damour, a offert les sièges du conseil d'administration. Un ancien mathématicien, patron d'un hedge fund (fonds d'investissement), a également donné 9 millions d'euros.
Un modèle qui donne des idées
Seules une quarantaine de personnes sont salariées. Au premier chef, les professeurs permanents. Ils touchent en moyenne 78 000 euros net annuels, soit le même salaire qu'un professeur du Collège de France. Même si ces salaires peuvent sembler élevés, ces professeurs gagneraient le double, soit environ 150 000 euros par an, s'ils enseignaient dans une grande université américaine. À ces cinq professeurs permanents, s'ajoutent des invités comme Alain Connes, médaille Fields 1982, dont le salaire est versé par le Collège de France où il est titulaire de la chaire d'analyse et de géométrie. Des post-doctorants sont également logés par l'Institut.
Le modèle particulier de l'IHES donne des idées à d'autres, notamment en sciences humaines et sociales. C'est le cas de l'Institut d'études avancées de Nantes créé par Alain Soupiaut, spécialiste du droit du travail, et inauguré en février dernier. Son but est de créer une communauté savante. Un autre projet est actuellement à l'étude à Paris autour de Jean-Louis Missika, sociologue et adjoint (PS) au maire de Paris.
vendredi 27 mars 2009
UN ÉTRANGE PARFUM GREC FLOTTE....
jeudi 26 mars 2009
STUPEUR
QUE VOIS-JE DANS MON PROGRAMME TV ?
La semaine prochaine : le mercredi 1er Avril TF1 nous programme 22 décérébrés courant derrière une baballe aux fins de l'envoyer au fond d'un filet.
Où est Dotor House ?
22 primates à la place de notre doctor, cela prouve que ce dernier est nettement supérieur à nos 22 crétins accompagnés des autres mous du bulbe qui auront envahi le stade pour les regarder en ayant payé leur place !
Et TF1 de nous prévoir la même chose la semaine d'après.
M6 réveille toi, House mérite mieux que ce traitement.
mardi 24 mars 2009
DALAÏ PAPAL ?
DÉCALÉS
A l'heure de la crise, nos chers socialistes parlent et s'insurgent contre le pouvoir absolu, de Nicolas Sarkozy, l'accusant de tous les abus autoritaires.
Selon notre charmante saucisse de Lille, NIcolas Sarkozy est un despote sanguinaire.
La crise est là, chère saucisse, et tous les cochonoux roses !
Réveillez vous !
Non! Dormez, c'est salutaire plutôt que d'entendre des bêtises.
dimanche 22 mars 2009
samedi 21 mars 2009
vendredi 20 mars 2009
BIEN BAS
En regardant cette photo, je trouve que la France et les français sont tombés bien bas, je dirais même dans le gouffre de la stupidité sinon de la connerie la plus vaste.
Ils ont perdu toute valeur, toute dignité.
Un peuple qui en arrive à ce point de conspuer son président n'est plus un peuple, c'est une horde.
La barbarie descendue à de son stade le plus bas.
Les socialistes, même, devraient s'en offusquer, je dirais même condamner cette attitude. que font-ils ? RIEN : trop peur !
QUAND LE MÉGÈRE ATTAQUE
Paris-Match condamné pour les photos de Ségolène Royal
Le tribunal de Nanterre a condamné l'hebdomadaire mais souligné la "discrétion relative" avec laquelle Ségolène Royal peut gérer sa vie privée dans d'autres circonstances.
Paris-Match a été condamné ce vendredi par le tribunal de Nanterre à verser 16 000 euros - soit 14 000 euros d'indemnité provisionnelle et 2000 euros de frais de procédure - à Ségolène Royal, pour avoir publié fin février, en couverture et dans le magazine, des photos de l'ex-candidate à la présidentielle au bras d'un homme en Espagne, au cours d'"une escapade romantique". Le reportage se poursuivait en Guadeloupe, où Mme Royal s'était rendue aux obsèques du syndicaliste Jacques Bino tué à Pointe-à-Pitre.
La présidente du Conseil régional Poitou-Charente réclamait 50 000 euros d'indemnité provisionnelle et 8000 euros de frais de procédure, sur le fondement des atteintes au droit à l'image et à la protection de la vie privée.
Lors de l'annonce de l'action judiciaire, l'avocat de Ségolène Royal, Me Jean-Pierre Mignard, avait cru déceler dans l'article du journal "une manière sournoise, insidieuse" de ramener sa cliente "à une sphère people", alors qu'elle venait de se rendre pendant trois jours en Guadeloupe, en pleine crise.
Tout en condamnant Paris-Match (pour la deuxième fois contre Ségolène Royal), la juge des référés a relevé dans son ordonnance que "l'étendue du préjudice invoqué doit toutefois être également appréciée à la mesure de la discrétion relative dont" la plaignante "a entendu s'entourer, depuis de nombreuses années". Le tribunal souligne "qu'il suffit à ce propos de relever que notamment ces derniers mois, à l'occasion de la parution de deux ouvrages, ou à l'occasion d'échéances politiques, elle a abondamment communiqué sur sa vie familiale avec ses enfants."
Ségolène Royal avait obtenu du même tribunal, le 12 mars dernier, la condamnation de Voici, Closer et France-Dimanche, pour la publication en novembre 2008 de numéros relatant, avec des photos, une prétendue relation entre elle et l'ex-auteur des Guignols de l'Info, Bruno Gaccio.
Match aurait pu s'épargner un telle sanction, la photo n'est même pas belle!
LES JOURNAUX NE SONT PAS EN KIOSQUE
Pourquoi ?
A cause des grèves.
Les grèves se lisent ainsi :En raison de mouvements de grève, le Figaro n'est pas disponible en kiosque vendredi. Retrouvez-le en PDF.
Tout le monde n'a pas internet, les personnes agées notamment.
Les grèves portent atteinte à la liberté d'expression et à celui de la presse, muselée en ce cas, mais surtout au droit à l'information.
Tout ça à cause d'une bande de fonctionnaires égoïstes, trop attachés à leurs privilèges scandaleux, et qui représentent une minorité dans notre pays.
Mais une minorité capable de foutre la merde, privilège aussi rare.
Messieurs les ronds de cuir j'en ai marre de vous, si tout était à refaire, j'abrogerai le statut de fonctionnaire, il est par trop régicide à un pays.
mercredi 18 mars 2009
PARISOT MET LE FEU A JUSTE TITRE
Les déclarations de Laurence Parisot sur la grève de jeudi - lors de laquelle une mobilisation importante est attendue - ont déclenché la colère dans les rangs des syndicats et de l'opposition. Mardi, la présidente du Medef a considéré que cette journée avait "un coût en termes de démagogie, d'illusions créées". "C'est une facilité, je ne crois pas que ce soit une réponse." Une première mèche allumée avant d'accuser la CGT de "provoquer des destructions d'emplois" à Marseille.
Les réactions des principaux visés par ses propos ne se sont pas fait attendre. À commencer par Bernard Thibault : "Madame Parisot est dans une extrême difficulté pour justifier ce qui se passe dans les entreprises, pour justifier les aides publiques dont bénéficient les grandes entreprises qui restructurent aujourd'hui et tentent, pour s'en sortir, de porter le discrédit sur les syndicats de salariés. Si par là, elle (...) laisse entendre qu'il n'y a plus de place pour la revendication, je crois qu'elle va être déçue. Elle fait preuve d'un archaïsme d'un autre temps et elle contribue à sa manière à tendre un peu plus la situation", a fustigé mercredi le secrétaire général de la CGT sur Europe 1. "Il ne faudra donc pas s'étonner que cela provoque un peu plus de participation dans les manifestations de jeudi avec singulièrement le Medef comme cible", a-t-il prévenu.
François Chérèque a lui aussi tiré à boulets rouges sur la présidente du Medef. "Elle dit aujourd'hui qu'exprimer ses difficultés (...), c'est de la démagogie. Ses propos dans les oreilles des salariés licenciés pouvaient être ressentis comme insupportables", s'est emporté le secrétaire général de la CFDT sur i-Télé.
Aubry : "des propos indécents"
Même son de cloche du côté de l'opposition socialiste. "J'ai trouvé ses propos indécents et je dirais même peut-être indignes lorsqu'elle s'attaque à une organisation syndicale qui défend, soutenue par les Français, la situation actuelle, c'est-à-dire des Français inquiets face à l'arrivée massive des licenciements, face à un pouvoir d'achat qui baisse", a tonné la première secrétaire du PS, Martine Aubry. "Aujourd'hui, nous n'avons que des patrons qui parlent finance à court terme et je n'entends pas de la part du patron des patrons, madame Parisot, un autre discours", a-t-elle fait remarquer laconiquement.
D'après la maire de Lille, Laurence Parisot "n'aide pas notre pays à sortir de la crise (...) Elle défend les grandes entreprises, les banques". Pourtant, Martine Aubry estime qu'il serait plus conforme à la "morale" de réclamer "une loi qui limite les rémunérations des patrons, les stock options et les parachutes dorés".
Les Français sont trop habitués a demander ce que le pays peut faire pour eux, alors que le contraire serait plus responsable, mais ça....allez le faire comprendre aux gens de gauche, trop habitués à se planquer sous la couette de leurs acquis sociaux, plutôt que de soutenier ceux qui leurs fournissent du travail !!!
mardi 17 mars 2009
BARBIER M'ETONNE
Cela m'étonne de Mr Barbier, il s'emballe vite sur cette histoire de vacances au Mexique.
Mitterrand............
SUITE
Apathie se veut journaliste, mais que fait-il en fait ?
De la bouillie médiatique, il coupe la parole, ne laisse pas ses invités aller au bout de leur raisonnement, il veut étaler sa maitrise du sujet, quitte à soliloquer
RTL doit s'en séparer, il agace, il m'agace.
lundi 16 mars 2009
BASHUNG
Quand les citadins américains élèvent des poules
À la faveur de la crise, les poulaillers réapparaissent dans les jardinets de banlieue. Il n'y a pas de petites économies.
Pecky, Hattie et Lena sont bruyantes et ne sentent pas la rose, mais pour Greg Anderson, résident à Brooklyn, ce sont des compagnes irremplaçables. Elles pondent des œufs tous les jours et, en ces temps de crise, il n'y a pas de petites économies. Greg a rejoint il y a un an le club fermé des éleveurs de gallinacés en ville. Les poules sont illégales dans beaucoup de métropoles américaines, mais pas à New York, au contraire des coqs. Trop bruyants de bon matin, ils seraient responsables de surpopulation volaillère et de risques sanitaires.
«En Alabama, où je vivais quand j'étais petit, ma grand-mère avait des poules. Alors, avec la crise, on s'est dit avec ma femme : pourquoi pas un poulailler ? Surtout qu'on fait déjà pousser des légumes.» Les Anderson partagent un jardin communautaire avec dix autres personnes, qui n'ont pas été difficiles à convaincre, malgré des préjugés initiaux. «On leur donne des œufs régulièrement, ça aide», précise Greg.
Le New-Yorkais ne regrette pas son choix, même si ses «ladys», comme il les appelle, lui demandent du temps. Sa facture au supermarché est allégée. Bien sûr, il faut manger des œufs tous les jours, mais une fois qu'on a essayé un «vrai», on ne goûte plus aux autres, assure-t-il. Greg a reçu son poulailler gratuitement d'une association de «promotion de l'autosuffisance et de lutte pour la légalisation des poules en ville». Ses huit volatiles lui ont été offerts par un autre éleveur. «Mes poules ne sont pas très chères à entretenir», ajoute-t-il, le regard attendri.
Des bons bouillons
Comme Greg, les Américains sont de plus en plus nombreux à choisir la voie de l'autosuffisance. Owen Taylor, en charge du City Chicken Projet chez JustFood, auteur d'un guide intitulé Les Poules à New York City, se réjouit de l'engouement croissant pour l'animal. «L'an dernier, on a eu sept commandes de poulaillers à New York. Les gens réalisent que c'est avantageux non seulement d'un point de vue économique, mais aussi écologique. En plus, la poule, c'est très drôle, comme bête», dit-il.
Protection animale oblige, beaucoup d'éleveurs sont contre la consommation des volailles, mais, pour Maria McKan, l'intérêt d'avoir vingt poules dans son jardin à New York est précisément de pouvoir en faire de bons bouillons lorsqu'elles pondent moins. Cette année, la mère de famille va acheter des poules «à rôtir». «C'est bien meilleur que les poules pondeuses», dit-elle en découpant une salade verte pour leur déjeuner.
Serait-ce le retour aux choses simples ? les américains trop habitués aux hamburgers, ne savent pas encore à quoi ressemble une poule et qui de la poule ou du coq pond l'œuf.
Est-ce une image plus bucolique de l'Amérique à laquelle nous devons nous attendre ?
samedi 14 mars 2009
RETOUR AU RÉALISME
Le président Nicolas Sarkozy enregistre 41% d'opinions positives contre 54% de négatives, selon un sondage Opinionway pour LCI et le Figaro publié samedi par le quotidien. Le leader du Modem, François Bayrou, est l'unique personnalité politique testée dans cette étude à recueillir un solde d'opinion positif, avec 44% d'avis favorables contre 42% de défavorables. La première secrétaire du PS, Martine Aubry, arrive en deuxième position avec 43% de bonnes opinions et 44% de mauvaises.
Nicolas Sarkozy est troisième. Le chef de l'État est, en revanche, la personnalité recueillant le meilleur score à la question : "Pour chacune des personnalités politiques suivantes, au premier tour d'une élection présidentielle, voteriez-vous certainement, probablement, probablement pas ou certainement pas pour elle?". Le chef de l'État obtient 39% de réponses positives à cette question. Il devance respectivement François Bayrou (37%), Martine Aubry (31%), l'ex-candidate PS Ségolène Royal (28%), le porte-parole du NPA Olivier Besancenot (24%), le chef du FN Jean-Marie Le Pen (14%), l'ancienne dirigeante des Verts Dominique Voynet (13%), la secrétaire nationale du PCF Marie-George Buffet (12%), et le patron du MPF Philippe de Villiers (12%). Opinionway n'indique pas les résultats d'une éventuelle étude précédente réalisée avec des critères identiques de questions et de personnalités testées.
Sondage réalisé les 25 et 26 février par internet (méthode CAWI) auprès de 1.004 personnes représentatives de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la commission nationale des sondages.
En définitive, le seul, même s'il n'est pas porté aux nues aujourd'hui, capable de continuer une politique salutaire pour ce pays est Nicolas Sarkozy.
OU LE REALISME EN DISPUTE AVEC L'UTOPIE
Sondage : Sarkozy et Besancenot, les politiques les plus crédibles
Nicolas Sarkozy et Olivier Besancenot sont les deux hommes politiques que les Français estiment les plus capables de faire bouger les choses, selon un sondage* BVA-Leo Burnett pour BFM et La Tribune, publié samedi dans le quotidien économique. Pour 38 % des personnes interrogées, le président de la République est "capable de changer les choses" et "fait ce qu'il dit". Le leader du Nouveau Parti anticapitaliste fait presque jeu égal avec le chef de l'État en obtenant, pour les mêmes questions, respectivement 35 % et 36 %. Concernant l'homme politique qui s'occupe le mieux des problèmes des Français, Olivier Besancenot arrive en tête avec 43 % d'opinions favorables contre 28 % seulement à Nicolas Sarkozy.
Côté PS, la première secrétaire du PS Martine Aubry est juste derrière Bertrand Delanoë. 28 % de sondés la trouvent "capable de changer les choses", contre 30 % pour le maire de Paris et 31 % d'entre eux pensent qu'elle "fait ce qu'elle dit", contre 37 % pour lui. Ségolène Royal obtient respectivement 27 et 24 % sur ces mêmes points. Parmi les sympathisants de gauche cependant, Delanoë (48 %) et Royal (47 %) devancent largement Martine Aubry sur leur capacité "à changer les choses".
*Sondage réalisé par Internet du 18 au 20 février auprès d'un échantillon de 1.059 personnes de 18 à 64 ans, selon la méthode des quotas.
Les français sont des veaux comme disait De Gaulle, ils se déchirent toujours entre d'une part le pragmatisme d'une politique réelle, et l'autre......innaplicable.
VOUS AVEZ DIT PS ?
Selon nos chers socialistes, la France est en danger.
La menace a un nom : LE SARKOZISME.
Martine Aubry nous a franchement flanqué la pétoche du siècle naissant. Le Sarkozisme est Liberticide: Sarkozisme et Nazisme même combat ! A quand les pogroms ?
La France, vit, peine et crie sous le joug infernal de notre dictateur Sarko.
Ivan Rioufol (du Figaro) nous en fait une émouvante description.
Pour nous libérer de ce Tyran, Martine Aubry dans son haume argenté va venir nous libérer et terrasser ce Dragon sanguinaire!
UNE COMPILATION DE CENT SOIXANTE SIX PAGES
Nous détaille par le menu toutes les exactions commises depuis que Le Monstre est arrivé au pouvoir.
Le PS, qui n'est pas encore sorti de sa quincaillerie avec les outils, clous et vis, nécessaires à la rénovation de ce parti moribond, veut donc, sans idée nouvelle, sans rien montrer de sa capacité à, un jour, pouvoir gouverner (?)nous donner des leçons.
Louable intention, si elle n'était cousue de fils blancs.
vendredi 13 mars 2009
TF 1 AVEC UN CŒUR GROS COMME.....
Jeudi 12 mars 2009, 19h06
Patrick Poivre d'Arvor a annoncé sur Europe 1 qu'il ne pouvait plus apparaître sur la chaîne de TF1, pour qui il a pourtant travaillé pendant 21 ans.
Invité sur le plateau de Au Field de la nuit sur TF1, pour parler de sa dernière anthologie sur la poésie, sa présence au plateau aurait été finalement décommandé.
L'ancien présentateur du journal télévisé de TF1 s'est expliqué : « On m'a appris ça tout à l'heure. A TF1, ils ont dit ‘persona non grata' et qu'il était hors de question qu'on me reçoive à TF1 pour parler de ça ou de je ne sais quoi, même à minuit dans l'émission de Michel Field qui m'a succédé. J'ai trouvé ça incroyable, c'est surréaliste ».
« Voilà, aujourd'hui, vous n'existez plus » a-t-il ajouté, dépité.
LES FLICS SPÉCIALISÉS
Pendant la grève, le salaire des enseignants-chercheurs ne bouge pas
La grève a commencé il y a six semaines. Et pourtant, la plupart des enseignants-chercheurs grévistes n'ont pas eu un centime de moins sur leur salaire de février. C'est une information RTL. En fait, la loi exige aux présidents d'université de déclarer les grévistes, ce qu'ils n'ont pas fait dans la plupart des cas par choix idéologique ou pour acheter la paix sociale. Ils sont en effet décriés par les enseignants-chercheurs qui craignent qu'ils prennent trop de pouvoir dans le cadre de la loi d'autonomie des universités.
A ce rythme, pourquoi ne font-ils pas grêve toute l'année, pour ce qu'ils en ont à faire des "ètudiants" ?
mercredi 11 mars 2009
Le patron de Radio France prend ses distances avec Stéphane Guillon
samedi 7 mars 2009
Royal: «chaque fois que je fais un pas, je suis harcelée»
MAIS QUI LUI DEMANDE DE MARCHER DE S'EXPOSER ? PERSONNE SAUF SON EGO
SÉGOS'AIME ?
Royal entre Guadeloupe et vie privée, Jean Lassalle et sa "petite cochonne" préférée, Sarkozy qui ne ment pas mais "prend des raccourcis"... retrouvez les images qui ont fait l'actualité de la semaine, sélectionnées pour vous par lefigaro.fr
mercredi 4 mars 2009
UN HOMME DANGEREUX
Un homme capable de dire ce genre de chose :
dimanche 1 mars 2009
48 % des Français jugent "choquante" la nomination de l'ex-secrétaire adjoint de l'Élysée
Dany Boon et les César: "La polémique était devenue n'importe quoi"
"La polémique était devenue n'importe quoi. Je ne suis pas habitué à ma nouvelle notoriété. Je n'ai jamais été fâché. Je n'ai jamais boudé. J'estimais que je n'avais simplement pas ma place là où la comédie était si peu représentée", a indiqué Dany Boon au Fouquet's, où se déroulait le traditionnel dîner de gala des César à l'issue de la cérémonie.
Tiens donc, le guignol Boon à le droit de faire la gueule au Fouquet's, ça ne pose pas de problème à la gauche.
Mais quand Sarkozy y va c'est le scandal ?