TOUT EST DIT

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jeudi 29 août 2013

PRESSTALIS… la fin des journaux papier


S’il fallait donner encore un exemple de l’asphyxie nationale que sont en train de faire subir à l’ensemble des entreprises de ce pays, il suffit de se tourner versPRESSTALIS.
Ces connards de syndicats de merde (pléonasme) sont en train d’achever la presse écrite française et ne doivent pas penser (la CGT peut-elle penser?) qu’à terme, c’est leur emploi qui est menacé et l’emploi de dizaines de milliers d’ouvriers de la presse.
Comment qualifier ces «bâtards» tant ces mecs sont cons et pensent encore qu’ils ont un avenir en France; ils sont la honte de la société, une fange puante dans laquelle ils aiment se rouler. Que doivent penser les enfants de telles merdes?
Pendant ce temps, personne ne bouge! Surtout pas ce gouvernement de pacotille qui est juste bon à se faire enculer en faisant voter le mariage pour tous.
Aujourd’hui, les patrons de presse n’ont pas imprimé leurs journaux; c’est toujours ça de gagné. La presse papier passe peu à peu au numérique! Que feront ces résidus de sodomie quand il n’y aura plus de journaux papier?
Ce matin, je suis en colère et je me défoule. Le jour où les ouvriers comprendront que les syndicats, c’est de la merde en bâtons, ils cesseront peut-être de payer des cartes pour engraisser ces sales porcs. Cela fait plus d’un siècle que la CGT fait chier le monde et empêche le développement de la France et ces merdes s’affublent encore de leur badges et chasubles qui puent la merde.
Je voudrais (pour les plus jeunes) parler du vol de 4000 à 6000 fusils à Manufrance.
En septembre 2007 est sorti un livre d'Emmanuel Schwartzenberg qui s'attaque au syndicat du livre CGT et à son monopole d'embauche, qui condamnent la presse quotidienne payante française à disparaître d'ici une vingtaine d'années, car obligée de maintenir des prix élevés en raison du racket exercé par ce syndicat .
Il y démontre entre autres:
1) Que ce syndicat jouit d'un monopole d'embauche dans la presse qui, tout comme celui des dockers, est parfaitement contraire à la Constitution
2) Que ses cadres bénéficient d'une rémunération mensuelle nette de 5 à 6000euros
3) que 5% du papier (2500 tonnes par an à 500 euros la tonne), destiné aux quotidiens nationaux était détourné par le syndicat du livre au profit de la presse officielle cubaine.
Lorsque ce trafic est découvert et démantelé en 1987, Robert Hersant aurait décidé de ne pas porter plainte face aux menaces de grève du syndicat du livre.
4) qu'en 1991, la direction des NMPP découvre une cache de plus d' armes lourdes et de 12 000 fusils dans un de ses entrepôts de Saint-Ouen. Ces armes avaient été détournées puis cachées par des ouvriers membres du syndicat du livre lors de la faillite de Manufrance en 1980 en prévision du « grand soir ». La direction des NMPP ne portera pas plainte.
Le scandale a été étouffé par le gouvernement socialiste de l'époque, soucieux de ménager la CGT, qui a arrangé la "découverte" de ces armes dans un champ en rase campagne.
5) que de nombreux cas d'intimidation ont été rapportés vis-à-vis de journaux choisissant de ne pas passer par le quasi-monopole des NMPP. Par exemple, lors de la sortie du quotidien Metro en 2002, de nombreux cas de violences physiques vis-à-vis des distributeurs de Metro par des membres du syndicat du livre ont été rapportés. Des vols ont été commis dans les imprimeries et la distribution a été fortement perturbée par des membres du syndicat du livre. Le quotidien 20 minutes a aussi été la cible du syndicat du livre qui a tenté d'empêcher sa publication le 18 mars 2002.
En 1992, la société Les Meilleures Editions SA, éditrice des journaux Le Meilleur et Spéciale Dernière avaient voulu changer d'imprimeur afin de diminuer ses coûts. Le syndicat du livre a empêché d'autres imprimeries contrôlées par le syndicat du livre d'accepter les contrats sous la contrainte de grèves. Lorsque l'éditeur a fait appel à une imprimerie non contrôlée par le syndicat du livre (imprimerie de labeur), celui-ci a été séquestré et obligé de signer un nouveau contrat sous la contrainte. Par la suite, le syndicat du livre a empêché la publication des journaux pendant plusieurs mois par représaille.
Des pressions auraient été exercées par le syndicat du livre pour tenter d'empêcher l'impression, puis la publication de cet ouvrage.


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