Lors de la conférence de presse organisée le 4 juin 2013 par le CNOM (Conseil national de l'Ordre des médecins), les Drs Michel Legmann, président de l’Ordre, et Patrick Romestaing, président de la section Santé publique et démographie médicale, ont présenté les données de la situation démographique en France au 1er janvier 2014.
L’analyse des chiffres du Tableau de l’Ordre fait état d’un nombre de médecins jamais encore atteint avec 271 970 inscrits au tableau au 1er janvier 2013, dont 215 865 actifs et 56 105 retraités.
"Bien que la France n’ait jamais recensé autant de médecins, ce sont les retraités qui augmentent les effectifs" précisait le Dr Legmann.
En effet, en 1 an, l’effectif de ces retraités actifs a augmenté de 8 % alors que l’effectif total de médecins inscrits en activité accusait une baisse 0,13 % sur la même période.
Retraite active : une variation spectaculaire des effectifs
Au 1er janvier 2013, le nombre de médecins retraités actifs était de 10 952 médecins, chiffre qui correspond à une croissance de 300 % en 6 ans (2007 – 2013) !
Le Dr Legmann, qui s'est beaucoup impliqué sur la question des médecins retraités, pense qu'ils peuvent "permettre de palier le problème de démographie médicale dans certains territoires et rendre une meilleure accessibilité et des soins plus équitables aux patients. Ils sont parfaitement aptes à exercer les fonctions de maître de stage grâce à leur expérience [...] leurs consultations sont plus longues, leurs prescriptions sont donc moindres et donc, au total, leur exercice est plus économique pour la société".
Et, selon les études prospectives, leur nombre est amené à progresser de manière spectaculaire dans les prochaines années pour atteindre 29 389 d’ici à 2018, ce qui représentera 40 % des effectifs des médecins retraités.
En grande majorité représentés par des hommes (80,2 %), les médecins retraités actifs sont en moyenne âgés de 68,6 ans et plus de la moitié d'entre eux déclare exercer une activité libérale/mixte (64 %).
Diplômes européens et extra-européens : 24 % des nouveaux inscrits
L’arrivée de médecins à diplômes européens et extra-européens participe également pour une large part à l’importance du nombre de médecins inscrits au tableau au 1er janvier 2013. Le Dr Romestaing précisait que "le quart des médecins nouvellement inscrits sont détenteurs d’un diplôme soit européen ou soit extra européen".
Au nombre de 17 835, les médecins titulaires d’un diplôme européen (7 958) et extra-européens (9 877), en activité régulière sur le territoire français, ont vu leur effectif croître de 43 % entre 2008 et 2013 ; cette augmentation est amenée à continuer, le nombre de ces médecins devant atteindre 23 971 d’ici à 2018 (+ 43 %).
Ce sont des hommes pour 62 %, âgés de 49,3 ans en moyenne, qui viennent principalement du Maghreb pour le 1/3 d’entre eux (Algérie : 22,2 %, Maroc : 5,8 %, Tunisie : 2,7 %), de Roumanie (17,7 %) et de Belgique (8,9 %). Ils exercent majoritairement une médecine salariée (63,5 %) alors que les médecins à diplôme français pratiquent pour 46,6 % d'entre eux en mode libéral et pour 43,1 % en exercice salarié.
Attractivité des régions : la donne change
Certaines régions voient diminuer le nombre de médecins inscrits au tableau de l’ordre en activité régulière entre 2007 et 2013. Ce sont en premier lieu l’Ile-de-France avec – 4,8 %, suivie par la région Champagne-Ardenne (- 3,4 %) et la région Centre (- 3,4 %), comme l'illustre la carte ci-dessous sur les variations entre 2007 et 2013 du taux de médecins inscrits au tableau de l'ordre en activité régulière à l'échelle régionale.
Parallèlement, l’attractivité des régions à forte densité médicale est en net recul, notamment les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Ile-de-France.
A contrario, 3 régions font montre d’une hausse significative des effectifs, les Pays-de-la-Loire occupant la 1re place (+ 5,2 %), suivis de l’Alsace et de la région Rhône-Alpe, avec + 4,5 % et + 4,2 % respectivement.
Seuls les effectifs de la région Lorraine sont stables sur cette période 2007-2013.
Exercice libéral : encore attractif pour les jeunes générations
Entre 2007 et 2013, les modes d’exercice des médecins inscrits au tableau de l’Ordre sont quasi stables avec :
une légère baisse pour l’exercice libéral (47,6 % versus 46,6 %) ;
et une hausse modeste pour l’activité salariale (41,7 % versus 43,1 %).
Concernant le mode d’exercice des jeunes générations de médecins, le Dr Romestaing indique que, "si seulement 9,8 % d’entre eux choisissaient l’exercice libéral en 2007 lors de leur 1re inscription à l’Ordre, 35 % exerçaient en libéral/mixte après 5 années de pratique". "C’est une note d’optimisme dans les constats généraux, c’est plutôt rassurant pour les années à venir" soulignait le Président de l’Ordre.
Et demain…
Comme l’indiquait le Dr Michel Legmann, "le nombre de médecins inscrits à l’ordre va continuer de croître d’ici à 2018", mais toujours à la faveur des médecins retraités et des médecins détenteurs d'un diplôme européen ou extra-européen. Dans son communiqué de presse, le CNOM souligne l’importance de faire connaître aux jeunes générations l’exercice libéral au cours de leur cursus universitaire, grâce aux stages et au compagnonnage.
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
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