Les NMPP ont cru tuer leurs démons en changeant de nom.
Las !
Elle n'a pas changé d'un Iota, le bastion communiste version Trotskiste reste aussi rouge, aussi archaïque, préhistorique, tellement dépassé qu'il entraine avec lui toute une profession : les marchands de journaux.
Prestaliss croule aujourd'hui comme hier sous le poids d'incompétents et de fainéants qui ne pensent qu'à leurs acquis sociaux phénoménaux et à leurs chères très chères 35 heures.
Ces Salauds, ce ramassi d'Enculés notoires ne pensent qu'à eux et se foutent totalement d'un avenir qui est pourtant commun avec celui de distributeurs.
Ils oublient que si les marchands de journaux ferment, leur existence ne sera plus légitime.
BANDE DE CONS !
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