Invitée mardi matin du journaliste Jean-Michel Apathie sur RTL, Ségolène Royal qui participe en ce moment à la conférence sociale est revenue très brièvement sur l'épisode de La Rochelle au 2è tour des législatives, le 17 juin dernier, affirmant que c'était «une affaire pénible à vivre »
Battue par le dissident socialiste
Olivier Falorni, elle a redit mardi matin avoir été « victime d'une
trahison » : « Si tous les dissidents s'étaient maintenus c'était une
centaine de circonscription que la gauche perdait ». Elle a aussi dit
avoir reçu « un coup extrêmement dur » après que Valérie Trierweiler,
compagne de François Hollande, se soit immiscée dans la campagne législative.
M. Falorni, qui a remporté la 1ère circonscription de La Rochelle avec 63% des voix contre 37%
pour Royal, avait reçu par le biais d'un message sur Twitter, le
soutien de la première dame. « Courage à Olivier Falorni qui n'a pas
démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d'années dans
un engagement désintéressé », écrivait la compagne de François
Hollande. Un twitt qui a fait l'effet d'une bombe d'autant plus que
cette position n'était pas raccord avec celle du chef de l'Etat... Le
matin-même, François Hollande apportait son soutien à son ex-femme,
présidente de la région Poitou-Charentes. «Dans cette circonscription de
Charente-Maritime, Ségolène Royal est l'unique candidate de la majorité
présidentielle qui peut se prévaloir de mon soutien et de mon appui »,
écrivait-il dans sa profession de foi.
Ségolène Royal, présidente socialiste de la... par rtl-fr
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