Quand sévit la disette, quand un sou est plus que jamais un sou, il n’est pas de petites économies. Ce principe de bonne gestion a conduit hier notre ministre du Budget, Madame Pécresse, à doubler la taxe sur les sodas, qui atteindra un centime d’euro par canette. Cela n’a l’air de rien, mais ça rapportera 120 millions d’euros, petite bulle de soulagement pour l’insupportable fardeau de la dette. Mieux, ce centime d’euro sera d’autant plus utile que, par la grâce des canettes communicantes, il ira financer des emplois dans l’agriculture. Oui, vous avez bien lu, les buveurs de soda paieront pour les ouvriers agricoles. Mais pourquoi pas, après tout : en France, on n’a plus d’argent, mais on a des idées. Et puisque ce budget de crise vire à l’usine à gaz, suggérons à Madame Pécresse une autre astuce : taxer les couches-culottes pour financer la retraite des anciens combattants.
vendredi 7 octobre 2011
Gaz
Quand sévit la disette, quand un sou est plus que jamais un sou, il n’est pas de petites économies. Ce principe de bonne gestion a conduit hier notre ministre du Budget, Madame Pécresse, à doubler la taxe sur les sodas, qui atteindra un centime d’euro par canette. Cela n’a l’air de rien, mais ça rapportera 120 millions d’euros, petite bulle de soulagement pour l’insupportable fardeau de la dette. Mieux, ce centime d’euro sera d’autant plus utile que, par la grâce des canettes communicantes, il ira financer des emplois dans l’agriculture. Oui, vous avez bien lu, les buveurs de soda paieront pour les ouvriers agricoles. Mais pourquoi pas, après tout : en France, on n’a plus d’argent, mais on a des idées. Et puisque ce budget de crise vire à l’usine à gaz, suggérons à Madame Pécresse une autre astuce : taxer les couches-culottes pour financer la retraite des anciens combattants.
Quand sévit la disette, quand un sou est plus que jamais un sou, il n’est pas de petites économies. Ce principe de bonne gestion a conduit hier notre ministre du Budget, Madame Pécresse, à doubler la taxe sur les sodas, qui atteindra un centime d’euro par canette. Cela n’a l’air de rien, mais ça rapportera 120 millions d’euros, petite bulle de soulagement pour l’insupportable fardeau de la dette. Mieux, ce centime d’euro sera d’autant plus utile que, par la grâce des canettes communicantes, il ira financer des emplois dans l’agriculture. Oui, vous avez bien lu, les buveurs de soda paieront pour les ouvriers agricoles. Mais pourquoi pas, après tout : en France, on n’a plus d’argent, mais on a des idées. Et puisque ce budget de crise vire à l’usine à gaz, suggérons à Madame Pécresse une autre astuce : taxer les couches-culottes pour financer la retraite des anciens combattants.
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