M. Flaherty a affirmé que la Grèce faisait face à un "défi important" pour remplir ses obligations, suggérant que le pays pourrait avoir besoin qu'on lui pardonne une partie de sa dette pour s'en sortir.
Prenant la parole avant la rencontre des ministres des Finances du G20 à Washington, Jim Flaherty a affirmé qu'un communiqué émis jeudi soir représentait un certain progrès, mais que davantage d'efforts devaient être faits.
Le défi principal auquel font face les leaders européens est de trouver la façon de créer une institution financière assez grande pour recapitaliser les banques du Vieux Continent, vulnérables à un défaut de paiement de la Grèce, selon le ministre Flaherty.
Ottawa croit que la proposition actuelle pour la nouvelle institution est insuffisante, parce qu'elle doit être assez grande pour véritablement régler le problème.
Jim Flaherty a indiqué que les leaders mondiaux étaient ouverts à la suppression de la moitié de la dette grecque.
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