TOUT EST DIT

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mercredi 9 avril 2014

Valls, fureur d’un socialisme

Valls, fureur 

d’un 

socialisme

Manuel Valls, premier ministre, va prononcer son discours de politique générale. Et alors ? Comme le souligne notre distingué collègue, c’est le 37ème de la Vème, pour l’absence de résultats que l’on sait. Coincé entre sa fausse réputation de dur de la sécurité, ce type qui n’a jamais su que faire tabasser au gaz lacrymogène les dangereuses mégères de la Manif pour Tous et laisser filer les djeunes du Trocadéro, cette terreur des statistiques qui n’ont pas tremblé d’un pouce malgré son activisme de façade devant les caméras, ce type-là doit aussi faire la bise aux rouges-roses de son parti qui se raccrochent désespérément aux vieilles lunes mauroyciennes, style moins de travail et plus d’allocs, ainsi qu’aux verts qui veulent piétiner les centrales nucléaires de sable de leur bac à sable et propager la flavescence dorée parce que c’est une maladie naturelle.

Mais le plus inquiétant, c’est le Valls qui s’énerve très, très facilement, comme on a pu le voir sur des vidéos sur YouTube, qu’il s’agisse de stigmatiser les manifestants qui ne lui plaisent pas, mais aussi dans des prises de positions politiques. Encore une fois, cliquez sur le Net. La vindicte dont il poursuit le comique de couleur qui ne sait pas se tenir à sa place de comique de couleur n’a que peu à voir avec un souci de bien public, mais bien plutôt d’un souci de bien privé. Et cette violence latente, à fleur de peau, on la retrouvera quand son absence de « programme » socialiste se perdra dans les méandres de l’économie réelle. Nous aurons un Valls plein de fureur tenté de se radicaliser. Parce que si un socialiste, ça ne sait pas, ça sait virer autocrate, comme nous l’ont enseigner des heures sombres de notre Histoire européenne.

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