Les créanciers internationaux, ainsi, ne dicteraient plus dans le détail à Athènes la marche à suivre. "Nous voulons en finir avec cette approche, qui venait, avant tout, des pratiques du Fonds monétaire international à l'égard des pays en développement", dit une de ces sources.
Au lieu de dresser la liste de plus de 100 mesures à prendre, les créanciers pourraient communiquer au gouvernement grec une vingtaine d'objectifs à atteindre, ajoute Die Welt.
"Les Grecs pourraient ensuite décider quelles mesures il conviendrait de prendre pour atteindre ces objectifs, dit une source au quotidien conservateur allemand.
La Grèce a bénéficié de deux plans d'aide du FMI et de la zone euro depuis 2010, en échange de réformes structurelles et d'une baisse de ses dépenses publiques. (Sarah Marsh; Eric Faye pour le service français)
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