TOUT EST DIT

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dimanche 20 novembre 2011

Les bailleurs de fonds de la Grèce exigent des garanties écrites

Les bailleurs de fonds de la Grèce continuent d'exiger la garantie écrite des trois partis politiques de la coalition gouvernementale de transition de Lucas Papadémos qu'ils soutiennent le second plan de sauvetage européen du pays. Seuls les socialistes sont d'accord pour le faire.

Georges Karatzaféris, dirigeant du Rassemblement populaire orthodoxe, le Laos, une formation populiste très à droite, a déclaré dimanche que les banques restaient "totalement rigides" sur ce point. Le chef des conservateurs, Antonis Samaras, à la tête de Nouvelle démocratie (ND), a pour sa part réitéré son soutien au plan du 27 octobre mais également son refus de coucher sa parole sur le papier, une exigence qu'il trouve inutile et humiliante.
M. Karatzaféris s'est entretenu dimanche avec les émissaires de la "troïka" composée de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international (FMI).
Faute de soutien écrit au second plan de sauvetage, l'UE et le FMI menacent de ne pas verser une tranche de 8 milliards d'euros d'aide prévue dans le premier prêt de 110 milliards consenti en mai 2010 à la Grèce. Sans cet argent, les caisses d'Athènes risquent d'être vides avant Noël.

DEPUIS QUAND, CE CON À ROULETTES,  SE PREND IL POUR UN DIEU ?

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