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samedi 19 décembre 2009

Un accord non contraignant obtenu in extremis à Copenhague

Un accord à l'arraché, jugé "insuffisant" de l'aveu même du président Barack Obama, pour combattre la menace du changement climatique a été obtenu in extremis sur la déclaration politique de Copenhague, vendredi 18 décembre. M. Obama, qui devait quitter la capitale danoise avant même l'adoption formelle de l'accord par les délégations à la conférence, a reconnu qu'obtenir un accord avec des engagements légalement contraignants serait "très difficile" à obtenir et prendrait du temps.
L'accord a été obtenu notamment après une rencontre entre M. Obama, le premier ministre chinois Wen Jiabao, le premier ministre indien Manmohan Singh et le président sud-africain Jacob Zuma.

Dans le document politique négocié, les dirigeants prévoient de limiter le réchauffement planétaire à 2 °C d'ici à 2050 par rapport aux niveaux pré-industriels, l'objectif affiché de la conférence sur le climat, selon la même source. Mais les objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre pour les pays industrialisés à l'horizon 2020 ne seront décidés qu'en janvier.

Tous les pays industrialisés "ont accepté de donner par écrit" ces engagements, a indiqué de son côté le président français Nicolas Sarkozy. Les négociations débutées depuis douze jours butaient sur l'épineuse question de la répartition des efforts pour contrer le réchauffement. Washington et Pékin notamment s'opposaient sur ce point.


"Obama a flingué Copenhague"

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