Un style qu’elle ne se laisse pas dicter
L’interview que Valérie Trierweiler a accordée au Nouvel Observateur, en kiosques depuis le 17 juillet, risque de ne pas forcément arranger les choses. La compagne de François Hollande y confie s’inspirer du style de Danielle Mitterrand, plutôt que de celui de Cécilia Attias. « Tout ce je fais, je le fais par moi-même » explique-t-elle, une référence sans doute à l’affaire des infirmières bulgares, où l’épouse de Nicolas Sarkozy avait été envoyée spéciale en Lybie en 2007 pour aider à faire libérer les cinq infirmières bulgares retenues depuis 1999. Valérie Trierweiler consacre d’ailleurs de plus en plus de temps à des actions caritatives, et à son rôle d’ambassadrice de l’association France Libertés, une association créée par l’ancienne épouse de François Mitterrand.
« Je ne l’aime pas, alors j’ai refusé »
Le Nouvel Observateur évoque également l’influence « discrète mais réelle » qu’exerce visiblement la Première dame. Ce qui motiverait certains ministres à vouloir se rapprocher d’elle. Mais Valérie Trierweiler entend bien rester maîtresse de l’identité des personnes qui gravitent dans son entourage. « Un ministre du gouvernement voulait absolument que je l’admette dans ma délégation lors d’un déplacement présidentiel. Mais je ne l’aime pas, alors j’ai refusé » indique Valérie Trierweiler. Le style Trierweiler, tranché, net, sans détours.
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