Mais Nicolas Sarkozy, qui a été victime depuis le début de la campagne d’un « matraquage sans précédent » de la part des médias, tout acquis à François Hollande et au parti socialiste, a aussi lancé un clin d’oeil à Libération, pravda socialiste et fer de lance de l’antisarkozysme qui ressasse depuis cinq ans l’épisode du Fouquet’s… mais appartient au milliardaire de la gauche caviar, le baron Edouard de Rotschild.
« Cela fait si longtemps que les dirigeants socialistes préfèrent fréquenter les diners en ville que les ouvriers », a repris Nicolas Sarkozy en faisant référence aux déjeuners trois étoiles réunissant François Hollande et BHL autour d’une salade de mâche à 140 euros. Puis de lancer une pique à Libération, mais aussi au Monde, qui a oublié à l’occasion de cette présidentielle sa traditionnelle neutralité… et qui comme par hasard a été récemment racheté par le mécène du parti socialiste Pierre Bergé et un autre golden boy de la gauche caviar Matthieu Pigasse.
« Ses amis (de la gauche) peuvent acheter de journaux pour faire leur propagande. Ils peuvent se rencontrer dans des restaurants de luxe. Ils peuvent inviter dans les réunions publiques des exilés fiscaux et cela ne choque personne », a conclu le président de la République dans une attaque à peine voilée contre Yannick Noah, soutien star de François Hollande et exilé fiscal notoire.
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