Tout avait commencé par des prostituées fournies sur un plateau à des joueurs gavés. Et cela finit par un sélectionneur traité de "sale fils de pute".
Cette Coupe du monde se termine – sauf miracle mardi soir – sur un fiasco complet: un jeu incompréhensible, un coach que l’on n’ose plus qualifier, des joueurs divisés mus par leurs seuls intérêts personnels, une fédération discréditée, sans compter une sous-ministre à la parole étourdie.

Il ne suffira pas de casser le miroir pour retrouver le rêve. Les divisions ont mis à mal la victoire black-blanc-beur de 1998. Il faudra un sérieux coup de balai dans les instances tricolores. Redéfinir un jeu, une technique, et surtout insuffler un état d’esprit nouveau dans lequel se reconnaisse la France. Avant tout, plus de décence. Bonne chance, Laurent Blanc!
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire