Au jeu, maintenant. Au coup de sifflet de l'arbitre, ce soir vers 20h30, on oubliera les polémiques sur le luxe de l'hôtel, les provocations de Raymond, les Zahia d'anniversaire, le mollet de l'un et les malheurs de l'autre. Il n'y aura plus qu'un rectangle de pelouse sud-africaine avec onze Uruguayens, onze Bleus, un ballon au milieu, et des millions de Français devant leur poste. Il paraît, disent les sondages, que nous ne croyons pas très fort en eux. Nous balançons entre une indifférence moqueuse et une bienveillance inquiète, qui pourraient vite tourner au grand jeu de massacre contre la dureté des temps. Ces Bleus sont un peu comme notre Président, en pleine crise, jurant qu'ils peuvent vaincre sans vraiment nous convaincre. Car au fond, c'est bien cela qui nous manque le plus aujourd'hui, la confiance. Alors Messieurs, s'il vous plaît, donnez-nous confiance en vous, et en nous.
vendredi 11 juin 2010
Confiance
Au jeu, maintenant. Au coup de sifflet de l'arbitre, ce soir vers 20h30, on oubliera les polémiques sur le luxe de l'hôtel, les provocations de Raymond, les Zahia d'anniversaire, le mollet de l'un et les malheurs de l'autre. Il n'y aura plus qu'un rectangle de pelouse sud-africaine avec onze Uruguayens, onze Bleus, un ballon au milieu, et des millions de Français devant leur poste. Il paraît, disent les sondages, que nous ne croyons pas très fort en eux. Nous balançons entre une indifférence moqueuse et une bienveillance inquiète, qui pourraient vite tourner au grand jeu de massacre contre la dureté des temps. Ces Bleus sont un peu comme notre Président, en pleine crise, jurant qu'ils peuvent vaincre sans vraiment nous convaincre. Car au fond, c'est bien cela qui nous manque le plus aujourd'hui, la confiance. Alors Messieurs, s'il vous plaît, donnez-nous confiance en vous, et en nous.
Au jeu, maintenant. Au coup de sifflet de l'arbitre, ce soir vers 20h30, on oubliera les polémiques sur le luxe de l'hôtel, les provocations de Raymond, les Zahia d'anniversaire, le mollet de l'un et les malheurs de l'autre. Il n'y aura plus qu'un rectangle de pelouse sud-africaine avec onze Uruguayens, onze Bleus, un ballon au milieu, et des millions de Français devant leur poste. Il paraît, disent les sondages, que nous ne croyons pas très fort en eux. Nous balançons entre une indifférence moqueuse et une bienveillance inquiète, qui pourraient vite tourner au grand jeu de massacre contre la dureté des temps. Ces Bleus sont un peu comme notre Président, en pleine crise, jurant qu'ils peuvent vaincre sans vraiment nous convaincre. Car au fond, c'est bien cela qui nous manque le plus aujourd'hui, la confiance. Alors Messieurs, s'il vous plaît, donnez-nous confiance en vous, et en nous.
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