mardi 23 juillet 2013
Les Français pessimistes sur l'avenir de l'Europe
La défiance en hausse parmi les consommateurs européens:
Où va la France de François Hollande ?
François Hollande continue d’afficher une sérénité imperturbable, malgré la chute catastrophique de son taux de popularité qui ne dépasse pas 23 pc et malgré les sifflets et les huées dont il est devenu la cible lors des cérémonies de la Fête de la République.
La difficile tâche de la gestion de l’image de François Hollande
Il y a quelques jours dans Le Figaro nous lisions un article de François-Xavier Bourgaud sur la visite surprise du président français dans sa bonne ville de Tulle. Enterré dans les sondages, la difficile tâche de redorer le blason et l’image du président Hollande n’est pas un des moindres problèmes de son équipe présidentielle. Cette gestion a subi une nette et franche évolution malgré des similitudes notoires entre les trois dernières présidences. Analyse d’une impopularité endémique…
Conseillé général de France |
Hollandie. La schizocratie, c’est maintenant
Le changement, c’est maintenant. Enfin, le changement à la sauce socialo. L’extrême-gauche se préparerait à une insurrection armée dans ce style à peine périmé qu’à connu 1791. Mieux encore. Elle s’y prépare main dans la main avec la farouche racaille des banlieues tant chérie par Mesdames Belkacem et Dati. Nos aïeux révolutionnaires auraient beaucoup donné pour être si bien encadrés.
L’effacement de l’identité française, de son excellence acquise au cours des siècles est le résultat d’une politique traîtresse dirigée contre le République. Que l’on réécrive ou non la Constitution, la réalité reste ce qu’elle est sous les jours « manifestement » schizocratiques de ses multiples expressions. Aux Français de se mobiliser lors des prochaines élections. Il n’y aura plus de session de rattrapage et c’est sur le champ qu’il faudra faire ses preuves.
Ne partez pas, battez-vous !
Revenus, consommation : aucun pays ne fait pire que la France !
Comment fait la Suisse pour faire fondre son chômage?
Première raison, un enseignement qui oriente très tôt une grande partie des élèves vers une formation professionnelle en alternance. Ce n'est pas en Suisse qu'on se fixerait pour objectif d'amener 80% d'une classe d'âge à la Matu (équivalent du bac), pour fabriquer des cohortes de chômeurs "qualifiés" mais incapables de trouver leur place dans l'économie.
Seconde raison, en Suisse, pays libéral, règne la liberté d'embauche et de licenciement. Le marché du travail fonctionne, il n'y a pas d'un côté les inclus et de l'autre les exclus. Quand on se fait licencier, on retrouve généralement un travail rapidement, ce n'est pas un drame, juste un changement.
Troisième raison, les charges sociales sont raisonnables, 25% du salaire net, à comparer aux niveaux délirants dont souffrent l'Italie ou la France (80%). Cela rend les entreprises suisses compétitives malgré le franc fort, et les salaires nets sont élevés, ce qui contribue à la bonne tenue de la consommation. Le salaire brut médian est de 6000 francs, soit 4761 francs net (4000 euros).
Il n'y a pas de salaire minimum en Suisse. Les citoyens vont bientôt se prononcer sur une initiative populaire soutenue par le PS qui vise à en créer un, à 4000 francs par mois, soit 3600 euros! ... de quoi largement détrôner le Smic français qui détient actuellement le record mondial. Il faut espèrer que cette initiative sera repoussée, car il est bien clair que l'existence d'un salaire minimum, a fortiori quand il est élevé, aboutit à priver la population la moins qualifiée de l'accès à l'emploi.
La Suisse vient d'être classée numéro 1 mondial de l'innovation par l'Insead: elle dispose d'établissements d'enseignement prestigieux comme l'EPFL de Lausanne, des industries leader dans l'horlogerie bien sûr, mais aussi dans la machine-outil, la pharmacie, l'informatique, et même le spatial, ... et un écosystème de financement des entreprises performant. Mais contrairement à l'opinion répandue, l'industrie est bien plus puissante que la banque dans la confédération.
Une dernière raison explique le niveau très faible du chômage en Suisse: le travail et la réussite y sont valorisés. Les électeurs ont récemment refusé la proposition socialiste de faire passer les congés de 4 à 6 semaines par an. Les pays d'Europe du Sud devraient s'inspirer de la recette helvétique pour faire fondre leur chômage!
Le secteur bancaire européen: trop faible pour octroyer du crédit, pas assez faible pour s’effondrer
Si les banques européennes ne reconnaissent pas leurs pertes, que les banques viables ne sont pas recapitalisées et que les banques en difficulté ne sont pas fermées réformées, une «décennie perdue» nous attend, comme cela a été le cas au Japon, avertit Walter Kurtz dans Business Insider ou
Jamais, au cours des cinq dernières années, les banques européennes n’ont prêté moins