lundi 12 janvier 2015
Un message d’exigence à nos politiques
Mission accomplie : le peuple français, mobilisé comme jamais dans l’histoire, a envoyé à ses agresseurs un message d’une force incomparable. « Nous n’avons pas peur », ont dit d’une seule voix deux à trois millions de Français et les représentants de nombreux pays amis ; « Vous ne nous ferez pas taire ; vous n’imposerez pas vos valeurs, votre dictature de la pensée, votre antisémitisme ; vous ne gagnerez pas ».
Ce succès est exceptionnel, enthousiasmant. Tant mieux. Mais il ne règle évidemment aucune des questions qui nous ont explosé au visage pendant ces jours terribles. Prenons garde, alors, qu’il ne soit trompeur. On peut en effet se saouler de mots, s’enivrer de concepts – laïcité, République, vivre ensemble – en croyant que cela nous protégera. Il n’en est rien. Ce serait d’ailleurs une erreur de penser que toute la France a défilé, ce week-end : une partie d’entre elle ne se reconnaît pas dans cette mobilisation. Une partie d’entre elle se sent exclue et, sans approuver un seul instant la violence des terroristes, sait bien que les bons sentiments et l’unanimisme des réactions ne régleront pas les immenses problèmes que notre société doit affronter.
C’est l’autre message venu des millions de manifestants et des autres. Il s’adresse à nos dirigeants, actuels et futurs, à ceux-là même qui défilaient au premier rang. Ce n’est pas un message de soutien, c’est un message d’exigence. Il les oblige. Dans l’immédiat, quelles réformes mettre en place, quelle prévention, quel durcissement des conditions de circulation des hommes, quelle surveillance aux frontières ? Et puis, plus largement, que faire pour remettre nos valeurs au centre, quelle éducation, quelle façon de vivre, quel monde du travail, quel arbitrage entre libertés et contrôles, entre droits de l’homme et répression ? C’est bien tout l’équilibre de notre société qui est en jeu.
Et toute sa manière de construire l’avenir.
On est tous d’accord sur la liberté d’expression, bien sûr.
En quelques jours, quelques heures même, la situation est passée d’assez morose à celle d’un magma effervescent où l’émotionnel semble tout dicter. La tension est presque palpable. Sur les réseaux sociaux, l’électricité règne dans les échanges et on s’étonne presque que, pour le moment, ni Zemmour, ni Dieudonné (par exemple) ne se soient fait buter. Au fait, s’ils tombent sous une rafale, combien porteront un petit panonceau « Je Suis Zemmour » ? Et pour le sulfureux hebdomadaire de droite (extrême ?), un panneau « Je suis Minute », ça le fait ? En tout cas, on peut souhaiter qu’ils seront aussi nombreux que ceux qui portèrent, sans hésiter, le panonceau « Je suis Charlie ».
En effet, on ne pourra que s’accorder sur le fait que, si tout le monde a porté le pin’s Je Suis Charlie, s’est procuré le t-shirt ou le mug Je Suis Charlie, si tant ont même poussé la conscience jusqu’à s’abonner à un journal que pourtant, plus personne ne lisait, tout le monde, ou à peu près, est maintenant d’accord sur l’impérative et absolue nécessité de sauvegarder la liberté d’expression. Tout le monde doit, dès lors et pour éviter de faire un deux poids, deux mesures, s’accorder aussi sur la nécessité de laisser chacun s’exprimer, même s’il choque. Ne l’oublions pas : c’est parce qu’ils ont choqué que les dessinateurs de Charlie Hebdo sont morts. Ce sont ces morts que tous, nous déplorons. C’est cette liberté de ton que, tous, nous nous devons de leur reconnaître. C’est donc en toute logique que nous nous devons de l’accorder à tous.
Parce qu’après tout, la liberté d’expression ne souffre pas de segmentation. Comme je le disais dans un précédent billet, ce concept même de liberté d’expression n’a pas été conçu pour protéger les gens qui pensent et s’expriment comme tout le monde, qui évoquent la météo et le temps qui passe, mais bien pour ceux qui disent des choses qui dérangent, qui choquent ou qui remettent en cause l’ordre établi.
Si on refuse ce postulat, si l’on admet qu’on puisse restreindre la liberté d’expression, on s’avance sur une pente glissante où l’on admet dans la foulée que certaines expressions n’ont pas droit de cité, que certaines opinions sont interdites, que certains dessins blasphèment une religion, une loi, l’Histoire, la science ou les croyances des uns ou des autres. Si l’on admet, même un tant soit peu, que la liberté d’expression n’est pas totale, alors on admet le besoin de définir, dans la loi, des limites à ce qu’il faut penser. On admet aussi, de facto, qu’il va falloir des gens pour juger ce qui tombe ou pas sous le coup de la loi, ce qui est un discours autorisé de celui qui contrevient à la loi. On va devoir aussi admettre qu’il faudra couper l’article qui viole la loi, couper le site qui héberge un contenu illégal, poursuivre celui qui aura ainsi exprimé une idée de travers.
Et ça, bien sûr, personne ne le veut. Censurer des journaux, couper des passages dans les livres, poursuivre des auteurs, des journalistes, des caricaturistes, ce serait, immanquablement, sombrer dans les Heures Les Plus Sombres de Notre Histoire Tagada Tsoin Tsoin.
Bien.
Maintenant que nous sommes tous bien d’accord sur ce concept de liberté d’expression, qu’il n’y a plus d’ambiguïté ni sur ce qu’il recouvre, ni sur son étendue et sa nécessaire complétude, quand revient-on sur la loi Gayssot, pour en couper les parties qui concernent, justement, les restrictions à la liberté d’expression ?
Oh, je crois voir des sourcils qui se froncent, d’un coup…
Et puis, de façon plus générale, quand annule-t-on les lois mémorielles qui, finalement, expliquent ce qu’il est bon de croire, ne pas croire, dire ou ne pas dire en matière d’Histoire de France et du monde ? Je le rappelle : il ne s’agit pas ici de faire l’apologie de l’une ou l’autre théorie portée par certains, mais bien de leur faire retrouver le droit pour lequel des penseurs, des auteurs, des caricaturistes viennent de se faire tuer. Si l’on est cohérent, si l’on est bien Charlie, on ne peut plus l’être à moitié, ou seulement pour les opinions qui ne bousculent personne.
Tant qu’on y est, la liberté d’expression souffre profondément qu’on stipendie les médias qui la permettent normalement. Quelle liberté d’expression peut-il y avoir dans un pays où la presse est massivement subventionnée ? Ainsi, quand coupera-t-on complètement le cordon ombilical entre les médias et l’État, ce cordon de subventions, d’aides et de facilités fiscales, ce cordon qui a permis de vivre à une presse répondant aux impératifs des pouvoirs publics et qui a constitué, de la façon la plus sournoise possible, la meilleure des censures ? Si l’on est bien Charlie, on doit se rappeler que l’hebdomadaire dont il est question refusait justement ces aides.
Quand renonce-t-on enfin au politiquement correct gluant qui s’est diffusé partout, ce politiquement correct qui, par exemple, fait écrire que « les prénoms ont été changés » pour ne pas choquer de belles âmes, et travestir ainsi de simples faits, ce politiquement correct qui a fermé toute possibilité de débat sur les drogues (article L.630 du code de la santé), ce même politiquement correct qui a muselé tout débat sur l’ouverture du monopole de la sécurité sociale, ce politiquement correct qu’on retrouve dans toutes ces lois imbéciles qui ferment un débat en le rendant illégal ? Quand acceptera-t-on une vraie transparence, alors même qu’il y a encore en France, actuellement, une loi qui interdit la diffusion du patrimoine des élus ? Quand assurera-t-on, a contrario, la protection du secret des sources ?
Ah oui, la liberté d’expression, décidément, ça dérange, parce qu’en réalité, on est tous, peu ou prou, l' »islamiste intégriste » de quelqu’un. Tous, nous pouvons voir notre « prophète », notre opinion, notre croyance, notre vision de la société, de l’histoire, de la science ou de la politique choqué par l’expression de l’opinion d’un autre ou la caricature qu’il fait de la nôtre. Et tous, à un moment ou un autre, nous pouvons estimer, trop facilement, avoir été agressé et réclamer protection, réparation… vengeance.
Dans ce contexte, les lois Gayssot, Taubira, toutes les lois qui « encadrent » la liberté d’expression, c’est la façon soft de faire taire ceux qui dessinent les caricatures de nos opinions, en utilisant le petit marteau du juge. Bien sûr, ce marteau est plus propre que la balle de kalachnikov, mais le silence qui suit l’un n’a philosophiquement rien de différent de celui qui suit l’autre.
Alors, la liberté d’expression pleine et entière, chiche ?
—-
Vivement 2017 !
L’année 2017 sera le signal que la présidence socialiste touche à sa fin puisque nous entrerons dans une année électorale où la droite, ayant désigné son champion, reprendra les rênes du pouvoir ou de ce qu’il en restera. D’ici là, que dire ? Que faire ? Prendre son mal en patience en assistant un peu plus à l’effondrement d’un pouvoir réduit à ses dorures et à ses titres, colifichets aussi coûteux qu’inutiles ? Si l’urgence n’était pas aussi grande, ce spectacle pourrait avoir un caractère divertissant. En effet, quoi de plus réjouissant que de voir ces victoires municipales et sénatoriales en 2014, permettant d’anticiper les reconquêtes départementales et régionales de 2015 ? Le temps du socialisme local a vécu et c’est heureux.
Laissons un instant de côté ces considérations politiciennes qui font vibrer les états-majors et les militants, mais transforment si peu le quotidien de nos concitoyens. Les politiques veulent souvent faire croire qu’ils ont le pouvoir d’influer jusque sur la course du Soleil elle-même. Cela n’est évidemment qu’un théâtre d’ombres que tous les ex-ministres pourraient confirmer dans un éclair de lucidité.
La France doit cesser de se voir telle une immense pyramide où tout découlerait du sommet ; cette construction est périmée, inefficace et désormais dangereuse. Le général de Gaulle ne l’avait-il pas compris en proposant aux Français un référendum portant sur la régionalisation et la réforme du Sénat ? Il fallait desserrer l’étau de l’État, aérer notre organisation territoriale, simplifier nos institutions. Les conservateurs de tous bords lui firent payer son audace.
En 2015, la solution viendra des femmes et des hommes de ce pays ; celles et ceux qui, chaque jour, se lèvent, travaillent, paient leurs impôts, sans jamais défiler, se plaindre ou se répandre sur les réseaux sociaux.
Nos gouvernants ne veulent pas voir que les Français ont évolué, qu’ils ne sont ni bloqués en 1960 ni à l’époque du Roi-Soleil ou dans un âge d’or mythique. La retraite à 60 ans, le rôle de l’État ou le travail le dimanche ne sont plus des totems intouchables. Les Français de 2015 savent qu’ils devront travailler plus longtemps, que l’État ne peut pas tout et que l’ouverture des magasins le dimanche dans les grandes villes du pays n’est pas une aberration. Ils savent également que les expériences menées sur nos enfants au nom d’un extrémisme égalitariste sont vouées à l’échec. L’État socialiste, n’ayant que les mots “respect des différences” à la bouche, ferait bien de prendre en compte celles qui, à l’école, permettent de se former et de se construire au contact des autres. Supprimer les notes et tout ce qui pourrait différencier les élèves les uns des autres est une hérésie pédagogique et un mensonge fait à ces enfants.
La meilleure nouvelle pour l’année à venir est certainement la baisse des prix du pétrole, de 50 % en 2014, qui devrait avoir un effet considérable sur le pouvoir d’achat des ménages. Essentiel dans notre vie de tous les jours, voici un exemple parfait d’une situation sur laquelle l’État n’a aucune prise : surabondance de l’offre liée à l’essor du pétrole de schiste produit aux États-Unis et au maintien d’un niveau de production élevé par les pays de l’Opep. En l’espèce, la seule mission de l’État français est de garantir la baisse des prix à la pompe pour tous les consommateurs.
En 2015, je souhaite que l’État se retire progressivement de la vie des Français, en réduisant massivement le nombre de ses normes, car c’est là que sont les réserves de croissance, nichées dans chaque foyer où sont nos futurs entrepreneurs. La France de ce début de XXIe siècle est prête pour tenir son rang au milieu des nations du monde, comme elle le fait déjà depuis plus de vingt ans mais toujours avec un bras attaché dans le dos, son droit du travail, et un boulet au pied, son système fiscal.
« Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : / Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. » (Pierre de Ronsard.) La vie est aujourd’hui, n’attendons pas une hypothétique reprise venue d’en haut, elle est en nous. 2015 est une étape vers la reconquête de la France par son peuple comme le sera 2016. Dès aujourd’hui, tournons nos yeux et nos coeurs vers l’avenir et crions “vivement 2017 !”, que la France renaisse après cinq années d’abandon.
Déclin : La France devient la 6ème puissance mondiale
Déclassement. On ne peut que le déplorer : la France poursuit sa chute. D’après les informations rapportées par le Figaro, la France serait en passe de perdre son rang et de devenir la 6ème puissance mondiale.
La France était la cinquième puissance économique mondiale. François Hollande s’y accrochait et le répétait inlassablement pour tenter de rappeler aux Français touchés par le pessimisme que « nous appartenons à un grand pays ». Désormais, l’exercice oratoire sera plus compliqué pour le Chef de l’Etat. La France a perdu une place.
Le Royaume-Uni passe devant la France
Le Figaro révèle que « la France était effectivement «la cinquième puissance économique du monde» encore en 2013. Son PIB […] arrivait au 5e rang, derrière les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne et devant le Royaume-Uni. Or celui-ci nous devance désormais: en 2014, le PIB britannique aura dépassé de 98 milliards d'euros celui de la France (2232 milliards d'euros pour le premier et 2134 milliards pour le second). Ces chiffres figurent dans un document de la Commission européenne consultable sur son site.
Un PIB de 2134 milliards
Dans le quotidien, Jean-Luc Proutat, économiste à BNP Paribas, donne une explication : «Sur les quatre derniers trimestres dont on connaît les résultats - du quatrième trimestre 2013 au troisième de 2014 -, les calculs font apparaître que le PIB français a été de 2134 milliards d'euros en France et de 2160 milliards d'euros outre-Manche», observe Jean-Luc Proutat, économiste à BNP Paribas ».
C’est une bien mauvaise nouvelle pour les Français qui viennent d’écouter les vœux de François Hollande, se voulant rassurant et souhaitant nous faire croire à nouveau aux vertus de sa politique économique.
Le retour de la censure politique
Dans la France de Hollande, la polémique est quasiment un délit. Le dénigrement est désormais interdit. De même que la nostalgie d’une France fière de son identité.
Depuis quelques mois, l’opinion publique se crispe. Elle se crispe parce que François Hollande s’échine à opposer une moitié des Français à l’autre. Il a commencé en prenant le parti des fonctionnaires contre les cadres du secteur privé assommés fiscalement. Ensuite, en imposant sans concertation le mariage homosexuel et en cassant les codes de la filiation, il a amené la France à divorcer d’avec elle-même. Enfin, en s’attaquant systématiquement aux traditions judéo-chrétiennes de la France au profit des rites musulmans, il a donné un élan aux pires communautarismes qui rongent la République et l’unité du pays.
Mais gare maintenant à ceux qui pointent du doigt la manière dont le chef de l’État accentue le déclin français. Son déclin économique, diplomatique, scientifique ou académique. Mais surtout le déclin de l’identité nationale. Ce qu’Éric Zemmour a très bien défini dans son best-seller, le Suicide français. Plus son livre battait des records de vente, plus la police de la pensée a été envoyée sur le front médiatique pour tenter de réfuter les thèses incontestables du polémiste, contredire ses chiffres et crier à la falsification. Avec cette fois-ci une grosse différence, c’est que, lorsqu’un héraut de la bien-pensance était diligenté pour démolir les thèses de Zemmour, son livre connaissait un regain de succès. Pour beaucoup de nos concitoyens, acheter et lire le Suicide français était un acte et une preuve de résistance. Résistance à cet insupportable multiculturalisme dont on nous rebat les oreilles. Résistance à ces théories héritées de Mai 68 pour déconstruire la société. Résistance enfin à ce prêt-à-penser que la plupart des médias audiovisuels ou subventionnés diffusent sans discernement.
Chacun sait comment tout cela s’est terminé. Éric Zemmour, qui, depuis dix ans, faisait la meilleure émission d’iTélé, a été limogé sans préavis, victime de la censure politique. Et le vent du boulet ne lui est pas passé loin sur RTL où il assure plusieurs chroniques par semaine. Ce que Coluche pouvait dire il y a trente ans sur les immigrés, les fonctionnaires ou les politiques à une heure de grande écoute, un journaliste de renom n’a plus le droit de le dire sur une chaîne d’information. Cela en dit long sur la régression du débat intellectuel dans notre pays, sur notre incapacité à discuter de sujets de fond qui déterminent la survie de l’identité française et sur la chape de plomb qui pèse désormais sur des sujets tabous comme l’immigration, le communautarisme, l’islam conquérant, la christianophobie, la dégradation dramatique de l’Éducation nationale ou l’assistanat.
Ce combat que mènent les censeurs contre tous ceux qui veulent ouvrir les yeux des Français n’est pas terminé. À peine sorti en librairie, le roman de Michel Houellebecq, Soumission, qui met en scène une islamisation de la France dès 2022, est déjà caricaturé, ridiculisé et cloué au pilori par les tenants de la bien-pensance et nos élites autoproclamées. Ce romancier de talent se défend de faire de la provocation. Il décrit simplement en accéléré et de manière romancée l’évolution possible de notre pays, si rien ne change. Bien sûr, son livre fait peur. Mais c’est une manière de crier au désespoir dans cette France où tout est devenu guimauve et Bisounours. Comme Éric Zemmour, Michel Houellebecq prend un gros risque. Celui d’être censuré, interdit de plateaux de télévision et mis au ban des médias. Ou pis encore, d’être marginalisé.
Il est très loin le temps où, sous la monarchie absolue, un homme comme Voltaire pouvait s’écrier : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »Belle époque que celle des Lumières où, dans les salons littéraires et philosophiques, chacun faisait valoir ses idées en toute liberté, et prenait goût à débattre et à écouter ses contradicteurs. Dans la France de François Hollande, le débat, la polémique, l’échange d’idées est quasiment un délit. Le chef de l’État l’a dit clairement pendant ses voeux aux Français. Le dénigrement de la France, c’est-à-dire de sa politique, est désormais interdit. De même que la nostalgie d’une France fière de son identité, de sa souveraineté et de sa diversité. La police de la pensée veille. Valeurs actuelles le sait bien pour être systématiquement la cible d’associations proches du Parti socialiste et l’objet de cambriolages ou de filatures. Mais sur tous ces sujets qui touchent à l’identité française, nous ne lâcherons jamais rien. Parce que vous, nos lecteurs, méritez de connaître la vérité. Et parce que comme l’écrivait Juvénal il y a déjà deux mille ans : « La censure épargne les corbeaux et s’acharne sur les colombes. »
Inscription à :
Articles (Atom)