samedi 12 octobre 2013
Le déficit budgétaire grec 2012 révisé à 6,2% du PIB
Un élu parisien propose d'accueillir des Roms dans le XVIe arrondissement
Regardez le ce petit con, il respire l'intelligence de demain, l'avenir de vos enfants est entre ses mains !!! |
LE GRAND GÂCHIS
L'éducation nationale française : 1 418 744 personnes (plus que l'Armée Russe, ex Armée Rouge). Et sur ce chiffre, il y a moins d'1 million d'enseignants ! C'est à dire qu'il y a 512 087 "administratifs" (hors restauration et services annexes bien sur). Savez vous que sur ces 512 087 personnes, une commission d'enquête de l'assemblée a trouvé 37.664 salariés qui n'apparaissent que dans la colonne "dépense de personnel" et dont personne ne sait ce qu'ils font.
Le coût de cette gigantesque plaisanterie ? 650 milliards de Francs par an, soit le prix de 52 porte-avions nucléaires de 36 000 tonnes (avec hélice en état de marche).
Il y a aujourd'hui 459 600 élèves de moins qu'en 1991, mais 247 000 enseignants de plus. Les résultats : sur 726.000 jeunes qui quittent chaque année le système, le ministère reconnaît lui même que 439 000 n'ont "aucune réelle formation".
Il y a aujourd'hui 236.583 étudiants en "Sciences humaines et sociales" dans les Facs : chacun coûte 48.000 € par an à la collectivité. Et tout le monde sait qu'il n'y a qu'une poignée de postes à pourvoir dans ce Secteur (5.000 par an ? peut être 10 000 ?).
Rappelons que l'OCDE a classé la France très loin des autres nations Occidentales en comptant 40 % d'illettrés en France (capacité à lire, comprendre et résumer en cinq lignes un texte simple de 20 lignes)
Enfin, sur les 13 meilleurs lycées parisiens sur le résultat au bac, 11 sont .... privés.
Les fonctionnaires représentent 27 % de la population active ayant un emploi, alors que chez les autres pays du G7, on ne dépasse jamais 13 %.
La guerre continue ...
Les atteintes à la nature sont aussi des crimes contre l'humanité
Hôpital, de la blouse blanche au kimono…
Elisabeth Bousquet, ou la victime passée sous silence
Dernièrement, on a beaucoup parlé d’Hamida Djandoubi, le dernier condamné à mort de France, guillotiné à Marseille en septembre 1977. On s’est épanché de remords quant à la peine capitale, avec une description larmoyante de la longue attente du meurtrier dans sa salle d’exécution. La foule de détails avec laquelle la scène est racontée nous présente un condamné victime de la société, impuissant face à la machinerie étatique qui s’est mise en tête de broyer une vie humaine qui, après tout, valait la peine d’être vécue. L’article du Monde est à ce sujet tout à fait insistant, mettant en avant la fragilité de la vie d’un homme ordinaire face à la dureté d’une justice d’un « autre temps ». Il est évident que les deux courants qui s’opposent sur la peine de mort ont tous deux des arguments valables. La liberté est laissée à chacun de juger de la chose en son âme et conscience.
Mais que font les féministes
Arrivé chez lui, il la jette à terre, la frappe, l’assomme et la viole.
Comble de barbarie, il lui brûle les seins et le sexe avec le bout de sa cigarette. La femme gît au sol, et le tortionnaire l’asperge d’essence avant de tenter de l’enflammer. Voyant que cela ne prend pas, il emporte le corps de la malheureuse dans son cabanon, et l’étrangle, sous les yeux de deux mineures qu’il prostituait.
Je pense qu’on aurait dû le faire écarteler après lui avoir brisé les os mais DELANOE est bien capable de nous baptiser une rue de PARIS du nom d’Hamida DJANDJOUBI.
Longeval