lundi 28 janvier 2013
Le « pharaon »
Vers un débat crispé
Au pied du mur
Ô vieillesse amie
La tectonique des plaques
CE BLOG PEUT ET DOIT AUSSI ÊTRE UTILE
Le poste est rattaché à l’Université de Toronto Scarborough et comprend une association avec le Département d’études françaises du campus St. George pour l’enseignement aux cycles supérieurs. UTSC est une université qui met l’accent sur la recherche, qui est engagée dans les études interdisciplinaires, et dont la population étudiante est multiculturelle. Campus moderne et en développement, UTSC attire un groupe de professeurs qui valorisent l’érudition et la collégialité. L’Université leur donne l’occasion de faire de la recherche, d’enseigner et de vivre dans une des villes les plus diversifiées du monde. L’Université de Toronto possède un des plus grands réseaux de bibliothèques en Amérique du Nord et offre l’occasion de travailler au sein de nombreux programmes de collaboration et de centres de recherche.
La personne choisie donnera une variété de cours au premier cycle en littérature française, en culture française et des cours de langue (FLS), en plus d’enseigner et de superviser des étudiants aux études supérieures. Au besoin, elle devra aussi offrir des cours d’études personnelles («lectures dirigées»). La personne choisie devra aussi développer un programme de recherche financé par des organismes subventionnaires qui renforcera la mission du Centre de français et de linguistique.
Tout.e candidat.e qualifié.e est invité.e à poser sa candidature en ligne en cliquant sur le lien ci-dessus. Les candidatures devront être accompagnées d’une lettre de présentation, d’un curriculum vitæ, d’un dossier d’enseignement (comportant l’énoncé de leur philosophie de l’apprentissage), d’un énoncé détaillant leurs intérêts de recherche en cours et futurs, ainsi qu’une copie de publications récentes. Si vous avez des questions sur ce poste, veuillez contacter < fre-search@utsc.utoronto.ca >. Tout matériel relatif aux candidatures doit être soumis en ligne d’ici le 15 février 2013. Les candidat.e.s doivent aussi demander à au moins trois répondant.e.s d’envoyer une lettre de recommandation directement à la professeure Karen McCrindle, directrice intérimaire du Centre de français et de linguistique, à < fre-search@utsc.utoronto.ca > d’ici la date de clôture, le 15 février 2013.
Le système de candidature de l’Université de Toronto peut accepter jusqu’à cinq fichiers joints (10MB) par candidature ; veuillez combiner les fichiers joints en un ou deux fichiers au format Microsoft Word ou PDF. Les directives de soumission sont disponibles à < http://uoft.me/how-to-apply >.
Le site http://www.utsc.utoronto.ca/~cfl/ met à votre disposition des renseignements supplémentaires sur le Centre de français et de linguistique.
L’Université de Toronto souscrit vivement au principe de la diversité au sein de sa communauté. Elle est particulièrement désireuse d’accueillir les candidatures provenant de membres des minorités visibles, de femmes, d’autochtones, de personnes handicapées, de membres des minorités sexuelles, ainsi que de toute autre personne pouvant contribuer à la diversification des idées. Toutes les personnes qualifiées sont encouragées à poser leur candidature. La priorité sera cependant donnée aux citoyens canadiens et résidents permanents du Canada.
http://www.utsc.utoronto.ca/~cfl/
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Une autre pédale de gauche !
Euros discarded as impoverished Greeks resort to bartering
Communities set up local currencies and exchange networks in attempt to beat the economic crisis
It's been a busy day at the market in downtown Volos.
Angeliki Ioanitou has sold a decent quantity of olive oil and soap, while her friend Maria has done good business with her fresh pies.
But not a single euro has changed hands – none of the customers on this drizzly Saturday morning has bothered carrying money at all. For many, browsing through the racks of second-hand clothes, electrical appliances and homemade jams, the need to survive means money has been usurped.
"It's all about exchange and solidarity, helping one another out in these very hard times," enthused Ioanitou, her hair tucked under a floppy felt cap.
"You could say a lot of us have dreams of a utopia without the euro." In this bustling port city at the foot of Mount Pelion, in the heart of Greece's most fertile plain, locals have come up with a novel way of dealing with austerity – adopting their own alternative currency, known as the Tem. As the country struggles with its worst crisis in modern times, with Greeks losing up to 40% of their disposable income as a result of policies imposed in exchange for international aid, the system has been a huge success. Organisers say some 1,300 people have signed up to the informal bartering network. For users such as Ioanitou, the currency – a form of community banking monitored exclusively online – is not only an effective antidote to wage cuts and soaring taxes but the "best kind of shopping therapy".
"One Tem is the equivalent of one euro. My oil and soap came to 70 Tem and with that I bought oranges, pies, napkins, cleaning products and Christmas decorations," said the mother-of-five. "I've got 30 Tem left over. For women, who are worst affected by unemployment, and don't have kafeneia [coffeehouses] to go to like men, it's like belonging to a hugely supportive association." Greece's deepening economic crisis has brought new users. With ever more families plunging into poverty and despair, shops, cafes, factories and businesses have also resorted to the system under which goods and services – everything from yoga sessions to healthcare, babysitting to computer support – are traded in lieu of credits. "For many it plays a double role of supplementing lost income and creating a protective web at this particularly difficult moment in their lives," says Yiannis Grigoriou, a UK-educated sociologist among the network's founders.
"The older generation in this country can still remember when bartering was commonplace. In villages you'd exchange milk and goat's cheese for meat and flour." Other grassroots initiatives have appeared across Greece. Increasingly bereft of social support, or a welfare state able to meet the needs of a growing number of destitute and hungry, locals have set up similar trading networks in the suburbs of Athens, the island of Corfu, the town of Patras and northern Katerini. But Volos, the first to be established, is by far the biggest. Until recently the city, 200 miles north of Athens, was a thriving industrial hub with a port whose ferries not only connected the mainland to nearby islands but before Syria's descent into civil war was a trading route between Greece and the Middle East. Once famous for its tobacco, Volos was home to flour mills and cement factories, steel and metal works. But, today, it is joblessness that it has come to be known for in a country whose unemployment rate recently hit a European record of 26%, surpassing even that of Spain.
"Frankly the Tem has been a life-saver," said Christina Koutsieri, clutching DVDs and a bag of food as she emerged from the marketplace. "In March I had to close the grocery store I had kept going for 27 years because I just couldn't afford all the new taxes and bills. Everyone I know has lost their jobs. It's tragic." Last year, the Greek government stepped in with a law that supported finding creative ways to cope with the crisis. For the first time, alternative forms of entrepreneurship and local development were actively encouraged. Although locals insist the Tem, which is also available in voucher form, will never replace banknotes – and has not been dreamed up to dodge taxes – they say it is a viable alternative. For local officials such as Panos Skotiniotis, the mayor of Volos, the alternative currency has proved to be an excellent way of supplementing the euro. "We are all for supporting alternatives that help alleviate the crisis's economic and social consequences," he said. "It won't ever replace the euro but it is really helping weaker members of our society. In all the social and cultural activities of the municipality, we are encouraging the Tem to be used."
Mariage homosexuel : le théâtre de la gayté
Une soirée en faveur de l'union des couples homosexuels était organisée dimanche soir au théâtre du Rond-Point, à Paris, par Pierre Bergé et le metteur en scène Jean-Michel Ribes.
A la retape la Laurence !! |
il y a 15 jours nous n'avions pas eu besoin de tant de noms connus pour faire nombre. il y a donc un vrai décalage avec le français lambda défendant ses idées en défilant pendant des heures, avec son sandwich fait maison et son thermos de café.
Il y a vraiment 2 mondes: celui du pouvoir et celui des ménages!
Cet étalage d'argent dans une période de crise est d'un gout douteux, plus que douteux.
Le débat dépasse maintenant le mariage des gens de même sexe. le débat est déplacé: J'ai de l'argent, j'ai un nom connu donc je peux et je dois imposer mes propres idées.
Tous ces gens sont riches, intelligents, blasés, ont tout eu de la vie et n'ont donc plus aucun désir sauf ceux de transgresser les interdits de notre société et d'imposer ces transgressions à notre société. Et le pire ce sont ces même gens qui donnent des leçons de morale aux autres avec leur participation à des évènements comme chanter pour les restos du coeur, sidaction, etc. Ils sont cyniques, n'ont pas commencé et ne commenceront jamais leur conversion comme Saint Augustin quand il a quitté les manichéens, le père de Foucault, Saint François d'Assise.
Personnellement je ne veux pas de la société voulue par ces gens réunis au théâtre du rond point. On ne peut pas bâtir une société sur leurs idées car ce serait la décadence à grand pas, je ne veux pas que mes enfants, petits enfants vivent dans leur société sans interdit, qui ne vient pas en aide aux plus faibles, qui ne protège pas les plus faibles, qui ne prône pas l'effort et la méritocratie.