lundi 20 octobre 2014
Du pétrole toujours plus abondant, et encore moins cher
Du pétrole toujours plus abondant, et encore moins cher
En l’espace de quelques semaines, le prix du pétrole a chuté, passant de plus de 100$ le baril au cours du mois d’août à un petit 80$ actuellement. Comme on va le voir, cette baisse entraîne quelques remarques économiques fort intéressantes.
Plusieurs facteurs expliquent assez facilement la dégringolade des cours. Comme on peut le lire assez facilement à droite ou à gauche, il y a d’abord la forte diminution de la demande, liée à un ralentissement économique mondial. Tout particulièrement, la Chine demande maintenant nettement moins d’énergie (tant du côté du pétrole que du charbon, dont les prix baissent aussi) alors que son économie se ralentit notoirement. En Europe, la récession entraîne aussi une baisse de consommation : tant les industries qui produisent moins pour s’adapter à une baisse de la demande que les consommateurs individuels qui font des efforts d’économies poussent effectivement à une diminution marquée de la demande en produits pétroliers.
D’un autre côté, on note aussi une hausse de l’offre, de plusieurs façons. Si certains pays (comme le Venezuela) cherchent à réduire la production — et il faut bien dire que le socialisme a un talent certain pour générer, voire provoquer de la pénurie — d’autres en revanche n’ont aucun souci à l’augmenter, les États-Unis en tête avec le gaz et l’huile de schiste, suivis de l’Arabie Saoudite qui n’hésite pas à conserver ses robinets grands ouverts. Aux producteurs traditionnels se sont en outre ajoutés la Russie, qui n’a pas de souci de production, et l’Iran, qui n’est plus encombré de l’embargo sur son pétrole.
Mécaniquement, cette offre abondante alors que l’économie marque nettement une pause, qui entraîne une demande plus faible, aboutit déjà à un prix tendu vers le bas. À présent, les perspectives de croissance ayant été revues à la baisse, il n’est dans l’intérêt d’aucun producteur de pétrole actuel de noyer le marché dans une offre trop abondante, au risque de voir encore les prix descendre bien plus bas. La baisse actuellement constatée devrait, de ce point de vue, favoriser la mise en suspens de nouvelles exploitations, tant aux États-Unis (dans le pétrole conventionnel ou de schiste) qu’ailleurs — je pense ici aux gisements énormes récemment découvertss en Arctique par les Russes de Rosneft.
À ceci s’ajoute le désir du principal producteur et membre le plus influent de l’OPEP, l’Arabie saoudite, de limiter la prise de parts de marché de la part de ses concurrents (américains notamment). Comme les coûts de production de l’or noir ne sont pas partout les mêmes, l’Arabie joue ici surtout sur le fait que l’exploitation de son pétrole est bien plus facile à rentabiliser à 80$ ou même 70$ le baril que l’exploitation des schistes, ou des gisements iraniens ou russes qui ont besoin d’un prix du baril supérieur à 100$ (l’Arabie peut ainsi se satisfaire d’un prix du baril très bas, quitte à couper dans ses subventions publiques généreuses le temps que la situation s’apure). En outre, géopolitiquement, l’Arabie saoudite tient toujours à faire tomber le régime syrien, actuellement soutenu par les Russes, et ne voit vraiment pas d’un bon œil un régime iranien qui disposerait de l’arme atomique. Un prix du baril bas frappe donc, indirectement, les capacités des iraniens à parvenir à leurs fins nucléaires et, en même temps, les soutiens de Bachar el Assad. Poutine doit ainsi composer avec une réalité économique défavorable tant que les prix sont maintenus aussi bas.
Enfin, les pays du Golfe ont un autre adversaire à faire tomber, et il nécessitera un prix du pétrole durablement bas, qu’ils sont seuls en mesure de fournir de façon durable : il s’agit des énergies renouvelables dont les coûts de production apparaissent de plus en plus exorbitants à mesure que les prix du barils descendent. En effet, on ne doit pas perdre de vue que si le gaz et l’huile de schiste ne sont exploitables qu’à partir d’un baril raisonnablement et durablement au-dessus de 70$ (le « break-even » moyen aux États-Unis se situant autour de 68$), les énergies vertes, éco-conscientes et Gaïa compatibles sont réalistes économiquement avec un baril bien au-dessus de 100$ (et plus sûrement 150). En substance, les producteurs de l’OPEP sont en train de tuer leurs concurrents « renouvelables » et leurs errements écologistes rigolos mais totalement irréalistes.
Mieux : avec de tels prix, les baisses de profits entraînent des rationalisations, une recherche de tous les instants pour réduire les coûts du côté des producteurs. C’est à force de ces rationalisations que les exploitations de gaz et huile de schiste ont fini par être rentables bien en dessous de 100$ le baril. En revanche, la baisse des subventions dans les énergies renouvelables entraîne la faillite pure et simple des entreprises qui les fournissent, tout simplement parce qu’elles ne peuvent pas, en l’état actuel des techniques, rationaliser à ce point là. Tant que les rendements éoliens ou photovoltaïques sont aussi faibles, il ne faut pas espérer voir se développer ce genre d’offre alternative alors que leur coût, in fine, se situe à plus du double des énergies non renouvelables actuelles. Il faut se rendre à l’évidence : non seulement on ne manque pas assez de pétrole pour que les moulins à vent et les panneaux solaires soient rentables, mais en plus, le pétrole est actuellement si abondant et la demande suffisamment faible pour que la perspective d’en manquer dans les dix ou vingt ou même trente prochaines années semble parfaitement ridicule.
Enfin, cette baisse du prix du pétrole s’inscrit dans un contexte assez particulier puisque le pétrole n’est pas le seul produit dont le prix baisse. Eh oui : la déflation bat son plein ! La création de crédit s’effondre, les individus et les entreprises ont maintenant compris que l’épargne redevient nécessaire et souhaitable. À ceci, on doit ajouter la baisse des cours de bourses correspondant à une sortie très importante d’actifs boursiers : on parle en centaines de milliards voire en milliers de milliards de dollars qui se sont retirés des principales places de marché sur la semaine écoulée. La baisse des cours du pétrole s’ajoute donc à une baisse de prix assez générale.
Or, la déflation, ça a du bon : selon Brean Capital, 10$ de baisse sur le prix du baril de pétrole est l’équivalent d’un stimulus de 0.4% sur le PIB mondial, dont l’effet est nettement plus palpable que les milliards de dollars injectés récemment par les économies occidentales. Cette baisse du prix du baril, c’est en réalité un gain net de pouvoir d’achat estimé à 1.8 milliard de dollars journaliers (660 milliards à l’année). Et pour le moment, en Europe, qui récupère ces gains journaliers, le prix à la pompe n’ayant pas changé ?
Vous l’avez compris : non seulement, le consommateur européen va continuer à payer pour des moyens de production énergétiques très très loin d’être rentables comme l’éolien et le photovoltaïque, mais il va de surcroît continuer à payer le carburant au même prix alors que son prix de marché réel, lui, chute. En substance, on prive maintenant les foyers et les entreprises d’importants gains de pouvoir d’achat et de gains de productivité, pour rien.
Réjouissez-vous : l’écologie punitive, c’est maintenant.
Le come-back vers le passé de Martine Aubry, archaïque en chef
Le come-back vers le passé de Martine Aubry, archaïque en chef
Deux ans et demi que Martine Aubry se taisait. Deux ans et demi que la maire de Lille gardait pour elle son « analyse lucide » face à un gouvernement qui s’enferre, à un pays qui s’enfonce. Et au bout de ce long mutisme, qu’on imagine douloureux, quoi ? Un simili contre-programme fait de contrats aidés, de loyers encadrés, d’un Etat-stratège pour réguler la mondialisation, d’une société « bienveillante »... Tout ça pour ça ? Tout ça pour sommer l’exécutif d’emprunter un « bon chemin » qui tient plus de la voie sans issue que de l’autoroute vers le futur ! Tout ça pour se présenter « candidate au débat d’idées » sans le début d’une pensée originale ! Convenu, l’appel à « en finir avec les vieilles recettes libérales » dans le pays qui – faut-il donc le rappeler ? – étouffe sous le taux de dépenses publiques le plus élevé au monde, héritage de nos vieilles lunes étatistes. Rabâchée, la promesse d’un grand soir fiscal pour « distribuer du pouvoir d’achat aux plus modestes », comme si les classes moyennes pouvaient encore financer la folie redistributrice. Démagogique, la proposition de reformater un pacte de responsabilité accusé de profiter aux actionnaires et aux hautes rémunérations, quand les entreprises exsangues réclament visibilité et confiance. Simpliste, dangereux même, cet adage qui voudrait qu’on ne réforme pas l’assurance chômage au moment où il y a tant de chômeurs – mais quand alors ? Tout à son exercice de torpillage, Martine Aubry ne dit mot de l’exaspération fiscale, de la contrainte européenne, du délitement social. Archaïque en chef, la frondeuse prend date sans date, réoriente sans orientation, déconstruit sans reconstruire. Beaucoup de silence pour rien.
La Grèce insiste sur sa volonté de se libérer des plans d'aide
Le gouvernement grec a insisté lundi sur sa volonté de se libérer du plan d'aide du FMI, prévu pour durer normalement jusqu'en 2016, à l'occasion de l'arrivée à terme fin décembre du programme d'aide européen."Le plan d'aide européen termine à la fin de l'année. Il reste le plan du FMI. La discussion sur la sortie du plan d'assistance des créanciers devrait commencer", a indiqué la porte-parole du gouvernement Sophia Voultepsi aux médias.
La Grèce a bénéficié de la part de l'UE et du FMI de prêts de 240 milliards d'euros depuis l'éclosion de la crise en 2010, en échange d'un plan d'austérité draconien pour lui éviter la faillite.
Rappelant que "tous les pays qui étaient dans de tels programmes en étaient sortis", Sophia Voultepsi a estimé que la Grèce "devrait aussi s'en affranchir".
L'Irlande et le Portugal, pays également sous assistance financière, depuis le début de la crise, se sont libérés des plans d'aide en décembre et juin derniers respectivement.
"Dans nos discussions avec nos partenaires européens, nous évoquons la sortie du pays du +memorandum+ (plan de réformes liées à l'aide, ndlr) et son retour à la normalité", a souligné Sophia Voultepsi.
Elle a toutefois indiqué que la Grèce "allait poursuivre le programme d'assainissement de son économie, programme que nous ferons nous-mêmes", avec "une certaine flexibilité". "Sinon nous retournerons aux dettes et aux déficits", a-t-elle ajouté.
Après le plongeon de la Bourse d'Athènes la semaine dernière sur fond de tourmente des marchés et d'incertitude économique en Grèce, le Premier ministre grec Antonis Samaras a indiqué vendredi qu'une ligne de crédit de précaution de la part du Mécanisme européen de Stabilité (MES) était sur la table des discussions avec les partenaires du pays.
De leur côté, l'UE et la BCE ont exprimé leur soutien au pays.
Interrogé la veille par la presse sur le point de savoir si la Grèce souhaitait "un divorce d'avec le FMI", le ministre grec des Finances Guikas Hardouvelis a répondu qu'il ne s'agissait pas "d'un divorce mais d'un changement de relation" avec l'institution.
"Le FMI va rester à nos côtés comme un observateur (...)comme il l'a déjà fait dans d'autres pays qui avaient bénéficié de ses prêts", a-t-il souligné dans un entretien accordé dimanche à l'hebdomadaire RealNews.
La Grèce a bénéficié de la part de l'UE et du FMI de prêts de 240 milliards d'euros depuis l'éclosion de la crise en 2010, en échange d'un plan d'austérité draconien pour lui éviter la faillite.
Rappelant que "tous les pays qui étaient dans de tels programmes en étaient sortis", Sophia Voultepsi a estimé que la Grèce "devrait aussi s'en affranchir".
L'Irlande et le Portugal, pays également sous assistance financière, depuis le début de la crise, se sont libérés des plans d'aide en décembre et juin derniers respectivement.
"Dans nos discussions avec nos partenaires européens, nous évoquons la sortie du pays du +memorandum+ (plan de réformes liées à l'aide, ndlr) et son retour à la normalité", a souligné Sophia Voultepsi.
Elle a toutefois indiqué que la Grèce "allait poursuivre le programme d'assainissement de son économie, programme que nous ferons nous-mêmes", avec "une certaine flexibilité". "Sinon nous retournerons aux dettes et aux déficits", a-t-elle ajouté.
Après le plongeon de la Bourse d'Athènes la semaine dernière sur fond de tourmente des marchés et d'incertitude économique en Grèce, le Premier ministre grec Antonis Samaras a indiqué vendredi qu'une ligne de crédit de précaution de la part du Mécanisme européen de Stabilité (MES) était sur la table des discussions avec les partenaires du pays.
De leur côté, l'UE et la BCE ont exprimé leur soutien au pays.
Interrogé la veille par la presse sur le point de savoir si la Grèce souhaitait "un divorce d'avec le FMI", le ministre grec des Finances Guikas Hardouvelis a répondu qu'il ne s'agissait pas "d'un divorce mais d'un changement de relation" avec l'institution.
"Le FMI va rester à nos côtés comme un observateur (...)comme il l'a déjà fait dans d'autres pays qui avaient bénéficié de ses prêts", a-t-il souligné dans un entretien accordé dimanche à l'hebdomadaire RealNews.
Avis de recherche
Avis de recherche
A mi quinquennat, un avis de recherche doit être lancé d’urgence : qu’est devenue l’inversion de la courbe du chômage ? Martelée pendant près de deux ans, l’expression a disparu. Plus aucun socialiste ne l’emploie et son inventeur, le ministre Sapin, est le premier à ne pas reconnaitre son enfant. L’inversion est tombée aux oubliettes tout comme d’ailleurs la courbe elle-même : seuls surnagent les chiffres, implacables. Comme quoi il faut faire attention avec les mots. De nos jours, ils sont utilisés par commodité : à l’évidence, l’important est davantage le retentissement qu’ils peuvent susciter que leur sens. Ce week-end par exemple, les media ont répété qu’à Toulouse, un braquage avait « mal tourné » - un mort. Est-ce à dire qu’il y a des hold-up qui tournent bien ?
Tesson : le coup de poignard d'Aubry à Hollande
Sous couvert d'ouvrir le débat, la prise de position de la maire de Lille déstabilise encore un peu plus l'exécutif. Mais à quoi jouent donc les socialistes ?
À mi-parcours de son mandat, et alors qu'il est plus affaibli que jamais, François Hollande vient de recevoir de Martine Aubry un coup de poignard assassin qui risque de mettre en question son avenir. Cet acte fratricide n'est pas de nature à apaiser le trouble que jette depuis deux ans et demi dans l'opinion l'incohérence de la politique socialiste. C'est au moment où le chef de l'État s'engage péniblement et engage le pays dans une nouvelle voie que la maire de Lille demande "une réorientation de la politique économique". Elle a l'aplomb de déclarer qu'"une raison profonde du malaise est que les Français ne comprennent pas quelle société (ils veulent) construire", rejetant ainsi sur le peuple la responsabilité d'un malentendu qui incombe entièrement aux socialistes eux-mêmes.
Ce sont eux en effet qui ne comprennent pas ce qu'ils veulent et qui ne le savent pas. Une nouvelle preuve n'en est-elle pas fournie par les propos fracassants tenus par Martine Aubry ? Ses déclarations apportent leur contribution au déballage idéologique qu'ils donnent en spectacle au pays, de congrès en congrès, de palabre en palabre, de débat interne en débat interne. La France est depuis plus d'un demi-siècle le champ de bataille des querelles du Parti socialiste, de ses courants, des ambitions de ses dirigeants, de leurs divergences idéologiques ou personnelles.
Crise ouverte
Libre à eux de se livrer à leurs jeux délicieux lorsqu'ils sont dans l'opposition. Mais ils sont au pouvoir, ce qui implique un devoir de cohérence qu'ils trahissent honteusement. Cette honte atteint aujourd'hui son comble. "C'est pour sauver le quinquennat", dit-elle, que Martine Aubry lance sa proposition. On aurait préféré qu'elle dît "pour sauver la France". Ce lapsus est révélateur de ses sentiments partisans.
Quelle interprétation a donner ? en action ou en délire ? |
Qui peut croire qu'elle n'ait pas mesuré la responsabilité qu'elle prend en jetant ce pavé dans la mare. Qu'elle veuille le triomphe de ses idées, on le comprend, et c'est honorable, mais ne sait-elle pas que le coup qu'elle porte à François Hollande peut être mortel pour celui-ci, et qu'il risque d'ébranler l'équilibre politique précaire du pays ? Ne sait-elle pas qu'on ne peut pas changer de politique tous les ans et qu'au demeurant François Hollande ne peut de nouveau se déjuger, et d'ailleurs il a répondu dès dimanche à sa rivale ? L'initiative de la maire de Lille répond de sa part, en toute logique, à l'intention d'ouvrir une crise dont les effets sont trop incertains pour qu'on n'en fasse pas l'économie.
Recomposition
Reste le fond du problème, c'est-à-dire "quelle politique ?". Là-dessus, on ne reprochera pas à Martine Aubry d'entrer dans le débat, ce débat que les socialistes auraient dû conclure avant de prendre le pouvoir plutôt que de palabrer sur le sexe des anges. Mais ils ont toujours eu un temps de retard sur l'histoire. On les voit aujourd'hui se diviser radicalement sur la définition de la politique économique conforme à l'intérêt national. Cette fracture annonce une recomposition politique qui intéresse l'ensemble du paysage français, une recomposition qui exige en première urgence que la gauche fasse le clair sur elle-même. Ce n'est pas en précipitant les choses par une sorte de putsch qu'elle y parviendra.
Puisque la maire de Lille est "candidate au débat d'idées", et à ce titre elle est légitime, on lui conseillera de se calmer, si faire se peut, et de préparer l'élection de 2017 en laissant François Hollande et Manuel Valls poursuivre jusqu'à la fin de leur mandat, fût-elle aléatoire, la politique qu'ils ont mise en chantier. On donnera le même conseil à la droite. On souhaite que les deux ans qui viennent amènent les politiques à leur devoir de responsabilité consacré au premier chef à une réflexion en profondeur sur leurs engagements respectifs face à l'avenir. Durant ce temps le président et le Premier ministre boiront le calice jusqu'à la lie, mais la France connaîtra une relative paix civile, dans une relative harmonie avec l'Europe.
La leçon de toute cette histoire est qu'il ne fallait pas voter socialiste en 2012.
QUESTION
Oû les Français ont-ils mis leurs couilles ?
Regardez le pays, dans quel état de délabrement économique et morale se trouve-t-il ?
Tout ça à cause d' un incapable qui a été élu par une sorte de fièvre anti-Sarkosiste.
La crise, la VRAIE a eu lieu en 2008, tous les pays s'en sortent, même difficilement, mais ils s'en sortent, seule la France s'enfonce et accuse l'Allemagne.
Elle accuse l'Allemagne ? mais de quel droit ?
Ouvrez les yeux, bordel, les Grecs se sont battus et se battent encore pour leur indépendance, ils ont eu leur période Polytechnique, contre Papadopoulos et sa clique de généraux de la junte. C'est la fierté d'un peuple que de se battre contre des dirigeants incompétents.
Les réformes ? Je ne les vois pas et en plus vous n'en voulez pas; pourquoi ?
Parce que vous avez peur, vous faites dans votre froc a chaque fois qu'il faut toucher à un de vos putain d'acquis social.
Ces acquis sociaux seront vos tombes, comme déjà celles de nombreux entrepreneurs qui ont été lâché par leur banques, des banques frileuses, couardes et sans imagination.
La vie peut se faire sans les banques le marché n' a pas besoin des banques, nous n'avons pas besoins de ces putains de banquiers, que Rothschild aille se faire foutre.
La vie avant tout; nos vies.
Et ne comptez pas sur les Mélenchon et compagnie pour faire une différence, ils travaillent tous avec les banques.
Réveillez vous non d'une pipe !!!
Ce message ne s'adresse pas aux fonctionnaires.
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