Laura Smet fait une tentative de suicide
Après avoir précisé ce week-end dans une lettre au JDD qu'elle aimait et admirait son père, la fille de Johnny Hallyday a tenté de mettre fin à ses jours. Elle est tirée d'affaire.
Laura Smet a été admise ce lundi à l'hôpital du Val-de-Grâce, après une tentative de suicide à l'église Saint-Germain-des-Prés. Elle aurait ingéré un cocktail d'alcool et de médicaments, mais son état n'inspirerait désormais plus aucune inquiétude.
La fille de Johnny Hallyday avait, ce week-end, tenu à "faire une mise au point" dans une lettre envoyée au Journal du Dimanche, où elle s'indignait d'avoir "lu et entendu n'importe quoi" depuis l'hospitalisation de son père à Los Angeles et précisait que, contrairement à certaines affirmations, elle n'est pas "écartelée" entre son compagnon, Julien Delajoux, et le frère de ce dernier, Stéphane, le chirurgien qui a opéré le chanteur et fait aujourd'hui l'objet d'une expertise judiciaire. Elle rappelait ainsi que Johnny Hallyday "connaissait le Docteur Stéphane Delajoux" avant qu'elle rencontre son frère Julien.
Comme le révélait Renaud Revel sur son blog dès la mi-décembre, le JDD a confirmé, dans l'article accompagnant la lettre de Laura Smet, que son frère David s'est lui aussi emporté contre ces gens qui "ont parlé à tort et à travers, sans savoir ni rien respecter", n'hésitant pas à "faire sortir de la chambre d'hôpital paternelle 'ceux qui n'avaient rien à y faire'".
PAUVRE ENFANT FRAGILE DONT LE SUCCÈS MONTE À LA TÊTE !
lundi 4 janvier 2010
DANS LA SAGA HALLYDAY JE DEMANDE.....LA FILLE
Six mois de manifestations et de répression
* Juin 2009
Le 12, élection présidentielle. Le 13, Mahmoud Ahmadinejad se dit vainqueur avec 63 % des voix. Mir Hossein Moussavi, appuyé par les réformateurs, et Mehdi Karoubi, autre candidat réformateur, dénoncent une "fraude". Début des manifestations massives hostiles au pouvoir qui font 36 morts, selon les autorités, 72 selon l'opposition. 4 000 personnes arrêtées. Le 19, le Guide suprême, Ali Khamenei, confirme la victoire de M.Ahmadinejad qu'il appuie sans réserve. Le 20, la jeune Neda Agha-Soltan, tuée par balle en marge des manifestations, devient le symbole de la contestation.
* Août
Le 1er, ouverture du procès d'une centaine de manifestants devant le tribunal révolutionnaire de Téhéran. La chercheuse française, Clotilde Reiss, arrêtée le 1er juillet, est jugée à Téhéran pour avoir participé à des manifestations. Elle est assignée à résidence à l'ambassade de France, en attendant son jugement.
* Septembre
Le 8, arrestation de collaborateurs de MM. Moussavi et Karoubi. Dix jours après, manifestations à Téhéran : l'ex-président réformateur, Mohammad Khatami, est agressé par des nervis du régime. Des manifestants, battus et arrêtés.
* Novembre
Pour l'anniversaire de la prise de l'ambassade américaine en 1979, le 4, l'opposition "vampirise" les manifestations officielles et crie "mort au dictateur".
* Décembre
Le 7, l'opposition manifeste lors de la Journée des étudiants. Nombreuses arrestations. Le 8, le pouvoir lance un avertissement à M. Moussavi. Interdiction du journal réformateur Hayat e No.
Le 13, Ali Khamenei lance une mise en garde sévère aux dirigeants de l'opposition. Le grand ayatollah dissident Hossein-Ali Montazeri meurt le 19. Ses funérailles rassemblent des dizaines de milliers de personnes et se transforment en manifestation antigouvernementale.
Le 27, jour de la fête religieuse de l'Achoura, de violentes manifestations ont lieu à Téhéran et dans d'autres villes. Les forces de l'ordre tirent sur la foule. On compte huit morts (officiels) dont un neveu de M. Moussavi. Les manifestants attaquent les miliciens bassidjis.
Les jours suivants, des arrestations de proches de MM. Khatami et Moussavi se poursuivent.
Ceux qui défient le pouvoir en Iran
Le 12 juin 2009, l'Iran s'est rendu aux urnes pour élire son président de la République sans se douter que ce banal exercice électoral serait le coup d'envoi d'une des plus massives et sanglantes contestations qu'ait connues la République islamique en trente ans d'existence. Dans les heures qui ont suivi le scrutin, des permanences de candidats réformateurs ont été attaquées, l'Internet brouillé, Téhéran quadrillée par les forces de sécurité. Peu après, le président fondamentaliste, Mahmoud Ahmadinejad, réclamait la victoire avec un score écrasant (63 %). Les autres candidats dénoncèrent une "fraude". Ce fut le début de manifestations de masse dans le pays, réprimées par la force.
La photo de Neda, une jeune femme tuée par balles, fera le tour du monde. Ce qui n'était qu'un mouvement de contestation électorale avait trouvé son martyr, sa couleur fétiche aussi, le vert, couleur de la campagne de celui qui finira deuxième à l'élection, l'ex-premier ministre Mir Hossein Moussavi, appuyé par les réformateurs. Et lorsque le Guide suprême, Ali Khamenei, arbitre supposé de la vie politique iranienne, faisant la sourde oreille aux protestations, avalisera l'élection, le mouvement prendra un ton plus politique. Une opposition populaire, informelle et pacifique était née. Plus que des chefs, elle trouvera en M. Moussavi, mais aussi en Mehdi Karoubi (candidat réformateur malheureux, en juin) et Mohammad Khatami, l'ex-président réformateur, non des meneurs, mais des symboles de ralliement.
En six mois, 5 000 arrestations, des dizaines de morts et des procès arbitraires n'ont pas eu raison du mouvement. Pour l'Achoura, le 27 décembre 2009, la situation a dérapé: sans respecter la trêve de la fête religieuse, la police a tiré sur la foule. Des manifestants ont agressé les forces de l'ordre. Assez pour que l'ex-président Hachemi Rafsandjani, proche du mouvement vert, s'inquiète et appelle au calme, estimant que personne n'a rien à gagner par la violence.
Qui sont les personnages phares de cette opposition en marche ?
Moussavi, la figure de proue
A priori, rien ne prédisposait, à 68 ans, le tranquille technocrate Mir Hossein Moussavi, cet Azéri, devenu premier ministre de la République islamique pendant la guerre contre l'Irak (1980-1988), à prendre la tête d'un grand mouvement populaire de revendication. En fait, bien que proche du fondateur, l'ayatollah Khomeiny, et révolutionnaire de la première heure, il avait quitté la scène politique depuis plus de vingt ans. En 1989, devenu Guide suprême, Ali Khamenei, successeur de Khomeiny, avait décidé de supprimer le poste de premier ministre. Homme de sérail (il fut conseiller occulte des président Hachemi Rafsandjani et Mohammad Khatami), il se consacrera à l'art. Une passion partagée avec sa femme, Zahra, docteur en sciences politiques, elle aussi engagée dans le mouvement.
Lorsqu'il annonce sa candidature à la présidentielle, car il croit la République islamique "en danger" en dépit du soutien des réformateurs, peu croient à son succès. Mais cet homme, nationaliste irréprochable et professionnel (il géra l'économie de guerre) a gardé une réputation intègre. Son discours d'ouverture envers les jeunes et la société, pétri d'idéal et de justice, sera, malgré lui, le catalyseur des espérances d'une foule d'Iraniens privés de liberté.
On le croyait timoré, la confiance des manifestants en fera un tribun contre la fraude et l'arbitraire. La répression (il vit sous haute surveillance) révélera son courage et une rare ténacité. Il se dit prêt à aller "jusqu'au martyre" pour faire entendre la cause du mouvement populaire. Pas un leader, un "accompagnateur" : "C'est vous qui m'avez donné la force, je ne fais que vous suivre." Pour arrêter le cycle contestation-répression qui entraîne une radicalisation dangereuse de part et d'autre, le 1erjanvier, il propose un plan de sortie de crise: libération des prisonniers politiques, respect des libertés, obligation pour le gouvernement de rendre des comptes.
Karoubi, l'imprécateur
Natif du Lorestan, cet hodjatoleslam (religieux de rang intermédiaire) atypique et résolument réformateur, auquel on a pu parfois reprocher, dans le passé, un discours populiste et un goût prononcé pour la gestion de grasses fondations révolutionnaires, s'est révélé, à 72 ans, comme le représentant le plus courageux et combatif de la nouvelle opposition populaire.
Homme du sérail, lui aussi (il a été président du Parlement de 2000 à 2004), il avait mis en cause l'ingérence des miliciens islamistes à la présidentielle de 2005, gagnée par M. Ahmadinejad, dont il n'a eu de cesse de critiquer les dérives en matières de sécurité et d'économie. Populaire auprès des étudiants et des féministes, il a, juste avant la présidentielle de juin 2009, signé une pétition avec le Prix Nobel de la paix, Shirin Ebadi, pour demander l'arrêt des exécutions de criminels mineurs au moment des faits.
Le premier à dénoncer publiquement les tortures et les viols en prison des manifestants arrêtés, en dépit des pressions et des menaces, il a accumulé preuves et dossiers, obligeant le gouvernement à fermer un des centres de détention les plus arbitraires et sanglants, la prison de Kharizak. Il est, avec M. Moussavi, la cible de commandos de nervis à la solde des ultra-fondamentalistes. En début de semaine, sa voiture a été attaquée alors qu'il était à l'intérieur. En une autre occasion, des miliciens ont fait voler son turban. Son journal, Etemad-e Melli, a été fermé il y a quelques mois et, à présent, une procédure judiciaire est ouverte contre lui. Sa réponse à tout cela : "Je ne me tairai que mort."
Khatami, le symbole
L'ex-président de la République (1997-2005), réformateur, bien qu'apparaissant rarement en première ligne, a joué les deus ex machina de la contestation des derniers mois, faisant jouer ses réseaux et son aréopage de technocrates pour aider les candidats réformateurs. Fin lettré, ce religieux affable et habile tacticien né près de Yazd, en 1943, et qui a étudié dans les écoles coraniques de Qom, la ville sainte, avant de devenir ministre de la culture et de l'orientation islamique, a représenté une certaine ouverture au sein de la République islamique.
Sa présidence a été marquée par un regain de liberté dans la société, la presse et l'édition, et une meilleure image de l'Iran à l'extérieur. Même si les étudiants, durement réprimés pour s'être révoltés en 1999, lui ont reproché de les avoir "lâchés", tandis que certains le critiquent pour n'avoir pas eu la force de faire évoluer les institutions et de redresser l'économie. A l'extérieur, son engagement pour le dialogue des civilisations et une suspension temporaire de l'enrichissement d'uranium lui ont ouvert des portes.
Elu contre la volonté du guide Khamenei, en 1997, il est vite devenu sa "bête noire". M. Khatami avait même annoncé, en février 2009, sa candidature à la présidentielle de juin, mais son entourage a estimé que les risques étaient trop grands, et il s'est désisté pour M. Moussavi. Les menaces contre lui étaient explicites. Ainsi, le journal officiel Kayhan, dont le directeur est directement désigné par le guide, a-t-il publié, en février, un éditorial conseillant à Mohammad Khatami de"penser au sort de Benazir Bhutto au Pakistan", assassinée en campagne électorale en 2007.
Même si son nom est moins vilipendé que ceux de MM. Moussavi et Karoubi, M. Khatami est la cible principale du pouvoir fondamentaliste en pleine radicalisation qui veut, à travers lui, abattre le symbole du réformisme. Des voix, parmi les religieux extrémistes et les Gardiens de la révolution, l'armée idéologique, ont réclamé son jugement et son exécution avec ses "complices", Moussavi et Karoubi.
Rafsandjani, un appui au cœur du régime
Hachemi Rafsandjani, 76 ans, ex-président de la République (1989-1997), ex-ministre de l'intérieur, ex-président du Parlement, est le Janus par excellence d'une révolution islamique à laquelle son pragmatisme, son clientélisme bien rodé et son art consommé de la volte-face politique "raisonnée" ont permis de survivre. Tous les autres fils ou presque de la révolution se sont entre-dévorés.
Passé par les séminaires religieux de Qom –il fit aussi de juteuses affaires immobilières dans la ville sainte–, l'hodjatoleslam Rafsandjani a été, dès les années 1960, un adepte de l'ayatollah Khomeiny. Il a tenté de libéraliser l'économie pour remettre le pays sur pieds après la guerre avec l'Irak (1980-1988). C'est lui qui favorisa l'arrivée au pouvoir du guide actuel, Ali Khamenei, à la mort de Khomeiny, en 1989, de façon à évincer le dauphin désigné, l'ayatollah Montazeri (mort en décembre 2009).
Mais entre le nouveau guide et son encombrant mentor, la rivalité s'est vite installée, s'exacerbant lors de l'élection de juin 2009, lorsque M. Ahmadinejad, "poulain" du guide, dénonça avec violence, à la télévision, les anciens dirigeants "corrompus" qui avaient "tenté de vendre le pays à l'Occident". M. Rafsandjani, dont la réputation voyante d'affairiste est devenue un handicap, et ses ouvertures vers l'étranger, pour sortir l'Iran de l'isolement, un sujet de critique des fondamentalistes, était le premier visé. Le ranger aujourd'hui dans la catégorie des "opposants" inconditionnels serait excessif, surtout qu'en théorie, il reste un pilier du pouvoir : il préside deux rouages essentiels, le Conseil du discernement et l'Assemblée des experts.
Toutefois conscient de ce que le guide veut, à la faveur de l'épuration en cours, en finir avec lui, M. Rafsandjani, déjà proche des réformateurs, leur a offert un appui tactique. Il se bat aussi pour la survie du régime, menacé, à ses yeux, par les dérives autoritaires actuelles, en prêchant l'unité.
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Le régime iranien menacé de l'intérieur
Le régime iranien est "menacé" par des "gens très déterminés" estime, lundi 4 janvier, Bernard Kouchner. Les autorités iraniennes n'ont pas réussi à mettre fin au mouvement de protestation qui a suivi la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad, malgré un durcissement et la mort de huit personnes en marge de manifestations le 27 décembre.
Prié de dire s'il souhaitait la chute du régime iranien, il a répondu : "Ce n'est pas à moi de la souhaiter ou pas. Nous, nous continuons à parler avec les Iraniens", a observé le ministre français des affaires étrangères, sur RTL."Le devenir du régime iranien n'est pas une affaire internationale mais une affaire interne. Nous voyons tous qu'il est menacé par des gens très déterminés, certains très religieux, par la hiérarchie chiite elle-même."
"Oui, le régime est menacé par une contestation interne dont je ne sais pas sur quoi elle débouchera", a-t-il insisté, en notant une "contestation à l'intérieur du clergé" : "Il y a une énorme majorité, si je comprends bien, de chiites de rang extrêmement élevé, (...) qui ne sont pas en accord avec ce régime, qui contestent sa valeur religieuse elle-même".
"La répression est énorme. Nous devons condamner celle-là en particulier qui fait que des manifestants désarmés se voient exposés aux balles, à l'arrestation, aux condamnations très sévères, dont les condamnations à mort", a ajouté le ministre français. Le chef de file de l'opposition iranienne, Mir Hossein Moussavi, a déclaré vendredi que la répression ne briserait pas les manifestations antigouvernementales et qu'il n'avait pas peur de mourir pour son combat en faveur des réformes.
L'ombre de Carla Bruni-Sarkozy plane sur une nomination à la Culture
Carla Bruni a-t-elle inspiré la nomination de François Baudot comme inspecteur général de l'administration des affaires culturelles (IGAC) ? L'affaire agite les hauts fonctionnaires de la Rue de Valois qui, depuis quelques semaines, pestent contre ce coup de pouce, à leurs yeux injuste.
François Baudot est, en effet, le parrain d'Aurélien, fils de Carla Bruni. Sa nomination au tour extérieur est une prérogative de l'exécutif. Autrement dit, il n'a pas besoin de passer les concours administratifs. Âgé de 60 ans, cet ancien journaliste (au magazine Elle ), touche-à-tout des nuits parisiennes, auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire de la mode ou des arts décoratifs, trouve ici un poste tranquille pour faire la soudure avant sa retraite... La rémunération d'un IGAC en début de carrière est de l'ordre 5.000 euros mensuels, primes comprises. Il n'aura pas le temps de progresser.
Le 9 décembre, dans une note que Le Point s'est procurée, Serge Lasvignes, secrétaire général du gouvernement, informe le directeur général de l'administration et de la fonction publique du fait que le président de la République et le Premier ministre "se proposent de nommer M. François Baudot inspecteur général des affaires culturelles au tour extérieur". Il y joint le CV de l'intéressé et demande à son interlocuteur de saisir la commission ad hoc chargée d'émettre un avis.
Avis négatif de la commission
Or, le 15 décembre, la commission chargée d'apprécier l'aptitude de François Baudot à exercer les fonctions d'inspecteur général a émis un avis (unanimement) négatif ! Cette éminente commission était présidée par Hubert Blanc (conseiller d'État), lequel était entouré de Sophie Moati (conseillère maître à la Cour des comptes), Patrick Olivier (chef du service de l'Inspection générale de l'administration des affaires culturelles) et deux inspecteurs généraux (Michel Berthod et Jean-Sébastien Dupuit). Frédéric Mitterrand n'est pas lié par cet avis négatif et encore moins Nicolas Sarkozy et François Fillon. Néanmoins, sur le coup, la nomination - qui devait être officialisée le 16 décembre - est retirée de l'ordre du jour du Conseil des ministres, pour y être inscrite, plus discrètement, à la veille des fêtes...
Frédéric Mitterrand ne peut pas refuser grand-chose à Carla Bruni. Il doit d'avoir obtenu la direction de la Villa Médicis aux relations communes qu'il possède avec la première dame. Mais son ministère grince des dents... En effet, depuis l'application de la règle du non-remplacement d'un fonctionnaire partant à la retraite sur deux, Frédéric Mitterrand mène une politique de rigueur qui bouscule sa haute administration et les agents du ministère et des musées... Or la nomination de François Baudot est la quatrième à l'IGAC cette année pour deux départs à la retraite, soit l'inverse de la règle prônée par Bercy. Ce qui vaut pour les simples agents ne vaut donc pas pour les nominations décrétées par le gouvernement... La CGT est à l'affût de ce genre de faux pas.
Un livre sulfureux
Le CV de François Baudot n'est pourtant pas honteux : diplômé des Beaux-Arts de Paris et de l'école Camondo, il fut architecte d'intérieur entre 1975 et 1980. Il occupe ensuite les fonctions de commissaire adjoint de l'exposition "Arts et Industries au Musée national des monuments français", etc. Alors, pourquoi cet avis négatif ? En fait, selon nos informations, la commission a été effarouchée par l'autre parcours de François Baudot, celui qu'il a livré lui-même, l'été dernier, dans un livre-confession, L'Art d'être pauvre , paru chez Grasset et dans lequel il remercie Carla Bruni-Sarkozy.
Dans un style voisin de celui de Frédéric Mitterrand - la mélancolie et le remord en moins -, Baudot y narre sa jeunesse dissolue, son aventure au sein du Palace, la boîte de nuit branchée des années 1980, et diverses expériences intimes. Ce livre licencieux circule depuis deux mois dans les allées du pouvoir, où l'on s'attendait à un recasage de François Baudot soit au Palais de la découverte soit ailleurs...
DE QUOI ELLE SE MÊLE L'ITALIENNE ?
ELLE ME FAIT MAL COMMENCER L'ANNÉE CETTE IDIOTE !!