jeudi 29 novembre 2012
De nouveau une adolescente enlevée et violée
De nouveau une adolescente enlevée et violée
Quelques jours après l’enlèvement de Chloé dans la cour de son
domicile, une adolescente a de nouveau été kidnappée dans les
Alpes-Maritimes devant sa porte et embarquée dans un coffre de voiture.
Samedi soir, 21 heures. La jeune fille âgée de 17 ans est presque
arrivée chez elle, dans une rue de Saint-Laurent-du-Var. Trois inconnus
surgissent et l’enferment de force dans le coffre de leur véhicule. Ils
l’emmènent dans un appartement vide de Grasse à une vingtaine de
kilomètres de là.
L’adolescente est alors violée par un homme de 35 ans sous la menace
d’un couteau. Avec un courage incroyable, elle se défend, elle se bat,
elle survit. Profitant d’un instant d’inattention de son violeur, elle
attrape son arme et le poignarde au niveau du cou. Elle parvient ensuite
à s’échapper par la fenêtre, à sauter sur le balcon de l’étage en
dessous et à trouver de l’aide.
La victime, « particulièrement choquée », selon les policiers, a été prise en charge par une équipe du SAMU.
Les enquêteurs de la Sûreté départementale ont constaté d’importantes
traces de sang dans la cage d’escalier et le hall de l’immeuble dans
lequel elle a été séquestrée et violée.
L’agresseur, sérieusement blessé, venu se faire soigner à l’hôpital
de Fréjus sous une fausse identité, a tout de suite attiré l’attention
de la police. D’autant qu’il était déjà l’auteur de plusieurs agressions
sexuelles… Il a aussitôt été interpellé. Un autre homme, âgé de 16 ans,
soupçonné d’être son complice, a également été arrêté à Saint-Raphaël
et écroué. Un troisième homme, vraisemblablement mineur, est toujours
recherché. Selon le procureur, les trois hommes avaient apparemment
prévu de demander une rançon.
Le violeur présumé de 35 ans avait déjà été condamné dans le passé à
12 ans de réclusion pour viol. Il est considéré comme « dangereux », en
raison « d’antécédents judiciaires lourds ».
Encore un dont le suivi a été impeccablement assuré par nos services
judiciaires français. Combien faudra-t-il encore de petites filles
enlevées et violées pour que la crise patente et la défaillance
criminelle de la justice en matière de récidive des délinquants sexuels
deviennent une urgence politique ? A chaque fois, les agresseurs
sont des récidivistes connus des services de police et de justice. C’est
une réalité insupportable. Les projets de loi s’empilent, victime après
victime, gouvernement après gouvernement, sans jamais rien changer
parce que personne n’a le courage de prendre des décisions définitives.
Ces deux adolescentes ont fait preuve d’un sang-froid et d’un
courage impressionnant qui leur a sans doute valu d’échapper au pire et
de garder la vie sauve. A l’heure du gender et des catalogues de
jouets qui révolutionnent le genre, c’est au close-combat et aux
techniques de self-défense qu’il faut entraîner tous nos enfants pour
qu’ils rentrent de l’école sain et sauf.
Ces échecs que les socialistes ont réussi à masquer depuis 10 jours grâce à l'UMPgeddon
1 – L’Umpgeddon n’aura qu’un temps
Le
seul motif de sérénité à la vue du maelström où se débat l’UMP, c’est
qu’elle y est plongée plus de quatre ans avant les futurs scrutins
nationaux. On peut donc espérer que ces empoignades ne seront que
péripéties oubliées à cette échéance.
La
querelle des prétendants est d’autant plus vive que, du fait de
l’extrême faiblesse de Hollande, le vainqueur peut raisonnablement
espérer l’emporter en 2017 face à un président déconsidéré. C’est
toujours le même moteur qui propulse la carrière politique de ce chef à
l’inquiétante normalité : comme au premier secrétariat du Parti
socialiste autrefois, son inertie attise l’agressivité de ses
concurrents qui, ne parvenant pas à s’en prendre à lui, finissent par
s’entre-dévorer. Tout cela à quelque chose d’un phénomène de meute.
Il a l'air malade trouvez pas ??? |
Fidèle
à lui-même, Hollande a également choisi d’être illisible pour achever
de désorienter ses contradicteurs. Fait-il dans l’austérité, dans le
laxisme ? On ne sait plus mais son électorat est résigné à le laisser
faire et surtout ne pas faire par crainte du retour au pouvoir de la
droite. Pourtant, les réalités et la récession sont têtues et se
chargeront de dissiper ces écrans de fumée, comme en a témoigné mardi la nouvelle cohorte mensuelle de chômeurs.
Depuis
7 mois, Hollande défait ce qui avait été mis en œuvre par Sarkozy et
renonce à toute action autre que l’augmentation de la pression fiscale
avec comme conséquence d’entraver le fonctionnement de l’économie. Ces décisions ont toutes un débouché commun : l’immobilisme.
Mais ce n’est pas un principe de gouvernement durable et les affres
actuelles de l’UMP n’y changeront rien. L’Umpgueddon n’aura qu’un temps
et l’attention du public se reportera rapidement sur les échecs du
pouvoir.
2 - Taubira présidente de l’UMP ?
Fillon
a-t-il pris en considération le fait, qu’inspiré par ses actions en
justice, n’importe quel adhérent de l’UMP pourrait porter plainte pour
fraude et permettre ainsi au Parquet, i.e. à Taubira et ses chefs, de
fourrer leur nez dans les affaires de ce parti ? Il a raison d’hésiter à
endosser pareille responsabilité.
On
souhaite également bien du plaisir à l’administrateur provisoire qui
aurait à organiser, sur ordre d’un tribunal, un nouveau vote. Qui
l’assistera et où trouvera-t-il l’argent pour ce faire ? Décidément, s’il est une idée saugrenue pour arbitrer cette querelle, c’est bien celle d’un procès.
3 - Des bisous pour les chômeurs
Comme
frappé de stupéfaction face à l’augmentation vertigineuse du chômage à
laquelle il répond par la création d’emplois de colleurs de timbres dans
les associations et les collectivités locales, notre gouvernement est
désemparé. Il est temps que Présinours® entre en action et prodigue aux demandeurs d’emploi force câlins pour les apaiser. Bonne nuit les petits !
4 - Comment François Hollande abîme l’image de la France en Europe
La
divine providence socialiste, plus connue sous le nom de conflit
Copé/Fillon, a épargné à Hollande le constat médiatique de son fiasco
européen à l’occasion du dernier sommet consacré au budget de l’Union
les 22 et 23 novembre.
Arrivé à Bruxelles dans un grand roulement de
tambours et de mécaniques pour pourfendre la perfide Albion et l’isoler
diplomatiquement, Talleyrand-Tan-Plan® a rapidement baissé pavillon. Ne
pouvant plus compter sur le soutien de Merkel, il n’a pu contrer Cameron
qui persiste à réclamer des coupes drastiques dans les budgets
européens. Peu à peu, cette philosophie prévaut et l’on voit Herman Van
Rompuy concéder le retour à la semaine des 40 heures pour les
fonctionnaires européens, sans augmentation de salaire. Allez dire ça à
leurs homologues français ...
Obnubilé par
la défense de la ringarde Politique agricole commune (PAC), Hollande a
cru obtenir un effort budgétaire de la part de Van Rompuy en sa faveur.
Mais ce geste s’est aussitôt traduit par une coupe envisagée de 13
milliards d’euros dans les budgets d’investissement prévus pour les
grandes infrastructures et la croissance. Donc par une remise en cause
directe du pacte qui a justifié la ratification du traité "Merkozy" que
le candidat normal dénonçait avant son élection. L’incohérence règne.
Ces
négociations n’ont de toute façon rien donné, le sommet ayant été
ajourné et les décisions renvoyées à 2013, si elles sont prises un jour.
Notre président n’a alors trouvé qu’à singer une fois de plus
Mitterrand en parlant de "donner du temps au temps". Rien de nouveau
sous le soleil rose ...
La cruelle réalité
est que trois groupes de pays se sont formés au sein de l’Union. Ceux
favorables à une discipline budgétaire drastique : en gros l’Allemagne,
la Grande-Bretagne et les pays du Nord. Ceux qui s’y plient en maugréant
pour obtenir des financements : Espagne, Portugal, Grèce et qui
réforment dans la douleur leur Etat providence. Enfin, la France
"hollandaise", qui espère échapper aux vrais efforts tout en continuant
de trouver des prêteurs.
Après avoir essoré
fiscalement ceux qui ne votent pas pour lui, Hollande a épuisé son
ordre du jour. Il attend désormais le miracle d’une reprise pour s’en
sortir. Mais son attitude bravache, financée à crédit, est un aveu de
faiblesse. En protégeant ses clientèles électorales, Hollande se prive
de marge de manœuvre et de crédibilité en Europe. Du coup, il ne peut
réellement peser en faveur d’une politique plus active de la BCE et de
l’Union pour faire baisser le taux de change de l’euro et soutenir la
croissance. Bref, l’étau se resserre peu à peu. Il faut donner du temps
au temps ... pour nous serrer la vis.
5 - UMP, Sciences-Po : le retour des Anciens
Ce
n’est guère réjouissant pour la France, un pays qui ne parvient pas à
se débarrasser d’une administration boursouflée, d’un système
corporatiste sous tutelle de l’Etat et d’une classe politique
pléthorique : les Anciens sont partout de retour.
C’est
la crise à l’UMP ? On va chercher Juppé. C’est le Far West à
Sciences-Po ? Le ministère et les grands corps de l’Etat en tirent parti
pour tenter de remettre la main sur l’institution de la rue Saint
Guillaume. Dans ce dernier dossier, on avait certes des faux libéraux au
pouvoir (feu Descoings et Pébereau), qui ont usé et abusé de la
rhétorique de l’initiative privée et de l’autonomie de Sciences-Po tout
en faisant un appel massif aux crédits publics.
Mais qui veut les remplacer ? De vrais
bureaucrates, pour qui les amphithéâtres de l’IEP de Paris doivent
redevenir les chasses gardées des hauts fonctionnaires. L’ouverture
progressive mais réelle de l’enseignement et de la direction à des
universitaires et des cadres du privé va faire long feu. Le ronron
bureaucratique et son prêt-à-penser vont revenir en force, adoubés par
les ministères et bénis par la Cour des comptes. Ce que le
système administratif français combat, dans cette affaire, c’est un
Science-Po préfigurant une université française inspirée du modèle
anglo-saxon. Ces forces littéralement réactionnaires viennent
de remporter une victoire dans leur combat d’arrière-garde. A ce rythme,
il va falloir batailler pour ne pas disparaître purement et simplement
des classements universitaires internationaux.
6 – Nationalisons Florange, privatisons Montebourg !
La
boîte de Pandore du socialisme, c'est-à-dire la prise de contrôle d’une
entreprise privée par l’Etat, semblait définitivement refermée depuis
les lointaines années de la Jospinie. Montebourg, va-t-en-guerre
désordonné de la Hollandie, a sorti l’objet du placard où il rouillait,
le tout en invectivant Mittal. Les 20.000 employés du groupe en France
doivent se sentir quelque peu inquiets. S’il fallait une ultime raison
pour que les investisseurs étrangers se méfient de la France, elle est
trouvée.
Puisque Montebourg se
pique de décisions iconoclastes et innovantes, peut-être devrait-il, en
contrepartie, faire financer son ministère et son propre traitement par
le privé, pourquoi pas en fonction de ses résultats dans le domaine ardu
du redressement d’entreprises ? Ses propos seraient davantage pris au sérieux et Ayrault n’aurait pas à le "recadrer" à un rythme hebdomadaire.
7 – Kyste l’eût cru ?
Valls,
dont l’efficacité répressive est nettement plus grande lorsqu’il s’en
prend aux campements roms plutôt qu’aux bandits corses et marseillais,
va devoir, sous peu, placer tout le territoire de la République en zone
de sécurité prioritaire. Il faut dire que ces territoires sous haute
surveillance sont passés d’un nombre de 15 à 64 en moins d’un an.
Valls devrait a minima
songer à en instituer une pour régler le cas des activistes de
Notre-Dame-des-Landes, corps étranger dont, chirurgien en képi, il prône
désormais l’extraction.
Sans rire, Ayrault
a convoqué, au même moment, une "commission du dialogue". Bientôt, on
appellera cela mentir comme un arracheur de kyste. Autre version
possible, pour les anglicistes : "The long kyste goodnight".
UMP, PS : le ridicule à tour de rôle
Les couacs émaillant l’élection du futur président de l’UMP
n’éclipsent pas, dans la mémoire des Mariannautes, les cafouillages qu’a
pu connaître le PS en la matière. Les comédies se succèdent quel que
soit le parti et les commentateurs se demandent qui pourra, dans ces
conditions, sortir la France de la panade financière dans laquelle elle
se trouve.
« On a les politiques qu'on mérite, c'est ça ? » Alain FO
Pour Franz MICHILS, « tant le PS que l’UMP
contribuent à discréditer les hommes politiques et la démocratie. Ces
luttes de personnes prouvent deux choses : l’idéologie n’est plus que
d’une importance marginale au PS et à l’UMP et elles confirment l’idée,
hélas trop répandue dans le grand public, que « tous les partis c’est du
pareil au même et tous les hommes politiques sont des pourris ». » Une simplification dont le risque serait de faire le jeu des extrêmes.
« Ces zozos ne sont intéressés que par leur carrière personnelle et les avantages qu'ils tirent de ce simulacre de démocratie qu'est devenu notre pays », renchérit Bastienou CARCAJOU. « De droiche comme de gaute, l'électeur ne trouve plus de satisfaction dans son « camp », mais dans la panade de l'autre aussi épaisse que la sienne. Regardez donc objectivement le spectacle donné par ces politicards. Comment peut-on leur accorder la moindre confiance? »
Les Mariannautes se montrent inquiets quant au futur du pays. Sont-ce ces « bonimenteurs », ces « mafieux », sont-ce ces « caricatures », entre autres qualificatifs qui proliférant dans les commentaires - et ce quel que soit le camp ciblé - qui vont sortir la France du « marasme économique » dans lequel elle semble empêtrée ?
« Tour à tour les uns et les autres dénoncent le ridicule opposé », constate Michael SPECHT. « Finalement la vie politique française n'a jamais été autre chose et l'on comprend l'aversion du général de Gaulle pour la chose, qui était moins de l'antidémocratisme, comme le dénonçaient certains, qu'une désillusion devant ce qui lui évoquait sans doute un poulailler. »
« Ces zozos ne sont intéressés que par leur carrière personnelle et les avantages qu'ils tirent de ce simulacre de démocratie qu'est devenu notre pays », renchérit Bastienou CARCAJOU. « De droiche comme de gaute, l'électeur ne trouve plus de satisfaction dans son « camp », mais dans la panade de l'autre aussi épaisse que la sienne. Regardez donc objectivement le spectacle donné par ces politicards. Comment peut-on leur accorder la moindre confiance? »
Les Mariannautes se montrent inquiets quant au futur du pays. Sont-ce ces « bonimenteurs », ces « mafieux », sont-ce ces « caricatures », entre autres qualificatifs qui proliférant dans les commentaires - et ce quel que soit le camp ciblé - qui vont sortir la France du « marasme économique » dans lequel elle semble empêtrée ?
« Tour à tour les uns et les autres dénoncent le ridicule opposé », constate Michael SPECHT. « Finalement la vie politique française n'a jamais été autre chose et l'on comprend l'aversion du général de Gaulle pour la chose, qui était moins de l'antidémocratisme, comme le dénonçaient certains, qu'une désillusion devant ce qui lui évoquait sans doute un poulailler. »
La démocratie en danger
« Et pendant ce temps-là, soupire Alain PAPONNEAU, l'Europe
technocratique continue à paupériser les classes moyennes, à afficher
son impuissance face à l'arrogance des agences de notations et autres
banquiers, les lobbies continuent à occuper Bruxelles pour nous enfoncer
encore un peu plus dans la mouise. »
Les deux grands partis politiques sont suspectés d'être inféodés à l'Europe de la finance. De droite comme de gauche, dénoncent les internautes, on ne se bouscule pas pour mettre un terme au diktat des marchés. Nos politiques hâbleurs mais impuissants, censément élus par le peuple, semblent ne plus exécuter la volonté de ce dernier : « ça fait peur de voir pareil spectacle, la démocratie est en danger, et c'est dommageable pour tous . » (Roger LE GICHOUX)
Les deux grands partis politiques sont suspectés d'être inféodés à l'Europe de la finance. De droite comme de gauche, dénoncent les internautes, on ne se bouscule pas pour mettre un terme au diktat des marchés. Nos politiques hâbleurs mais impuissants, censément élus par le peuple, semblent ne plus exécuter la volonté de ce dernier : « ça fait peur de voir pareil spectacle, la démocratie est en danger, et c'est dommageable pour tous . » (Roger LE GICHOUX)
Les actrices porno seraient des femmes plus heureuses
Les actrices porno seraient plus heureuses que les autres femmes d'après une étude publiée dans le Journal of Sex Research. De quoi provoquer de nouvelles crises d'hystérie chez les féministes radicales.
Après avoir été scandalisées par l'implacable démonstration déroulée dans le "Pourquoi les femmes de riches sont belles ?", voici qu'une étude publiée dans le Journal of Sex Research risque de provoquer de nouvelles crises d'hystérie chez les féministes radicales.
Oubliés les soporifiques discours sur l'humiliation et le machisme dominateur que les femmes sont supposées subir dans le cadre d'une sexualité patriarcale qui donne le pouvoir aux hommes. D'après cette étude, les starlettes du porno prennent visiblement du plaisir à se faire oppresser et presser la poitrine et font la différence entre obligation et abnégation professionnelle. Loin des clichés décrivant des femmes forcément malheureuses et soumises, l'étude conclut qu'elles dorment mieux et se sentent plutôt bien dans leur culotte, ou sans selon la teneur de leurs activités quotidiennes.
De même qu'elles ne portent pas sur elles le lourd poids social d'une enfance orpheline maltraitée sur fond de toxicomanie mais plutôt de légers sous-vêtements qu'elles exhibent aussi facilement qu'elles les enlèvent.
(...) il n’y a aucun rapport avec une violence subie étant enfant et le job exercé après.De quoi faire hurler les féministes radicales, de tout temps opposées à la pornographie et totalement contrariées par un autre courant féministe pro-sexe quant à lui. C'est ce qui ressort de cet entretien déjà ancien mené avec Ovidie, actrice et réalisatrice de films X dont le discours est réfléchi plus loin que le bout de son néné et qui explique notamment pourquoi elle a quitté les milieux militants radicaux.
Ultime clou planté dans la combinaison en cuir de la prochaine soirée orgiaque et filmée, les actrices interrogées dans le cadre de l'étude publiée dans Journal of Sex Research sont des coquines qui s'assument, pratiquant le sexe plus fréquemment que d'autres femmes, avec plus de partenaires et en ayant initialement abandonné dans les oubliettes leur virginité et son souvenir à l'âge de 15 ans environ, soit deux bonnes années de moins que la moyenne des autres... coquinettes nationales.
On comprend donc mieux ce qui peut distinguer telle actrice du cinéma d'Art et Essais et telle actrice du cinéma dard dressé. La première tourne avec l'air grave en s'interrogeant sur le sens des plaisirs, la seconde se retourne avec la cuisse légère en appréciant le plaisir des sens.
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