Christophe Colomb y posa le pied, mais les îles étaient déja habitées par les......Harawaks.
Ceux qui peuplent en majorité ces îles aujourd'hui sont des descendants d'esclaves et d'esclavagistes.
Ils sont dans le même bateau, autant qu'ils s'entendent plutôt que de tirer la couverture.
Pouvoir d'achat, certes, tout le monde semble en souffrir, les Guadeloupéens plus que les autres, pourquoi ?
Simplement parce qu'ils sont trop loin de la métropole et trop près des Etats Unis.
samedi 21 février 2009
A QUI APPARTIENT LA GUADELOUPE ?
MARRE !!!!
La Sorbonne dans la tourmente
Jeudi soir, des étudiants ont envahi les locaux de l’université de la Sorbonne à Paris.
Vers 18 h 30, une centaine de jeunes grévistes ont occupé les murs de Paris-IV à Saint-Michel, après la manifestation ayant eu lieu à Paris dans l’après-midi. Les jeunes universitaires se sont une nouvelle fois levés contre les réformes de Pécresse et ont envahi la faculté en élaborant une action « symbolique et pacifique », selon les termes d’un étudiant syndicaliste. Pour un jeune militant, il fallait donner « un nouveau souffle au mouvement ». De leur côté, les forces de l’ordre se sont postées autour de l’université. Au début tout était relativement calme, aucune interpellation ou altercation.
Situation de précarité
Mais vendredi matin, une plainte a été déposée au commissariat du Ve arrondissement de Paris « pour dégradations » et « violence sur agent ». Vers 23 heures, d’autres étudiants sont intervenus pour soutenir les occupants depuis l’extérieur en appelant à « la grève générale ». Après une première sommation des forces de l’ordre pour évacuation, c’est à l’issue de la seconde que les derniers étudiants occupant la Sorbonne sont sortis. Libérant les lieux difficilement, et profitant des caméras, une étudiante a lu un texte expliquant leurs attentes et leurs revendications : l’abrogation de l’ensemble des réformes et un soutien aux personnes en situation de précarité. Les grévistes appellent à l’union des luttes afin de « suivre l’exemple de la Grèce et de la Guadeloupe », la seule manière pour eux de faire « reculer le gouvernement ».
Parmi les jeunes universitaires présents à l’intérieur de la Sorbonne dans la nuit de jeudi à vendredi, un enseignant chercheur, un doctorant et un petit nombre des personnels d’universités étaient à leur côté.
NE CHERCHONS PAS, ILS SONT CONTAMINÉS PAR LE SYNDROME DU SINGE.
ABONNEMENT
Refus de l'offre de Nicolas Sarkozy, la grève se poursuit en Guadeloupe
Des manifestants masqués barraient une autoroute en Guadeloupe vendredi, après une nouvelle journée de négociations achevée sans accord sur les propositions du président français Nicolas Sarkozy de relever les salaires dans les Antilles.
Seuls les véhicules d'urgence se dirigeant vers un hôpital proche étaient autorisés à franchir le barrage, composé de morceaux de métaux pris sur l'autoroute et de cônes de signalisation. Sur la barrière, quelqu'un avait peint en créole le slogan "200 euros pour tous".
Mais après les émeutes, des incendies et des échanges de coups de feu qui ont provoqué la mort d'un syndicaliste la semaine dernière, les rues étaient relativement calmes, malgré les carcasses de voitures retournées pour former des barricades. Des vieux pneus, des palmiers arrachés barrent encore le passage ici et là.
Les magasins du centre commercial de Pointe-à-Pitre sont restés fermés pendant un mois depuis que la grève a été déclenchée, pour tenter de forcer le gouvernement français et les patrons locaux à négocier sur la hausse du coût de la vie.
En réaction aux propositions du président Sarkozy, notamment un plan pour l'outre-mer de 580 millions d'euros, le porte-parole de la contestation dans l'île voisine de Martinique, Michel Monrose, a estimé que l'Etat refaisait les mêmes offres encore et encore.
En Guadeloupe, des heures de discussions entre grévistes, entrepreneurs locaux et envoyés du gouvernement se sont achevées vendredi sur un désaccord. Les syndicats ont refusé une offre de hausse du salaire minimum mensuel de 50 euros, maintenant leur exigence de 200 euros pour les plus bas salaires.
"Nous sommes loin de ce que nous demandons" a constaté Elie Domota, leader du LKP, le collectif contre l'exploitation. Il a dit espérer une meilleure proposition à la reprise des négociations lundi matin.
Pendant les négociations au port, un millier de manifestants au moins, jouant du tambour, entonnaient ce qui devient un hymne, "la Guadeloupe est à nous, pas à eux, ils ne peuvent pas faire ce qu'ils veulent dans notre pays". AP
La solution est simple,l'autonomie !!! On verra ensuite.
Dany Boon mauvais perdant
Il a été l'homme de l'année 2008 en raison du succès historique de Bienvenue chez les Ch'tis qui a rassemblé 20 millions de spectateurs. Mais Dany Boon n'apprécie pas du tout que son film ne soit sélectionné qu'une seule fois pour les Césars dans la catégorie meilleur scénario. Il a d'abord largement répandu dans toute la presse qu'il avait l'habitude de ne louer que le haut d'un smoking pour les Césars parce qu'il était sûr de ne jamais monter sur scène pour recevoir une récompense. Désormais, il répète à qui veut l'entendre qu'il ne prendra pas la peine de se rendre à la cérémonie. Difficile de faire de la figuration quand on se considère comme la star actuelle du cinéma français...
Mais quelle fatuité, cet homme a eu son heure de gloire pour un film médiocre qui surfe sur la vague de la comédie idiote et sans intérêt.
Ca suffit maintenant à la niche !!!