Yves Saint Laurent est décédé hier à l’âge de 71 ans. L’inventeur du smoking féminin s’était retiré du devant de la scène en 2002, après avoir dirigé avec succès sa propre maison de haute couture 41 ans durant
Yves Saint Laurent en compagnie de son fidèle compagnon Pierre Bergé, lors de la fin de sa carrière en janvier 2002 (photo AFP)
Le Musée des beaux-arts venait de lui ouvrir la semaine dernière une rétrospective hommage, avec l’exposition de 145 pièces haute couture de sa création. Yves Saint Laurent, 71 ans, s’est éteint hier soir à son domicile parisien des suites d’une longue maladie.
Ce couturier de génie a révolutionné l’image de la femme moderne. De la présentation de Trapèze, sa première collection pour Dior en 1958, à son goût provocateur pour le transparent ou plus sage pour les tailleurs en tweed, l’artiste n’a eu de cesse de briser les tabous de la mode.
Outre la chasuble, le caban, les cuissardes, la saharienne, le jumpsuit ou le tailleur-pantalon, sa plus grande innovation restera à jamais l’invention du smoking féminin, symbole de la liberté pour la femme contemporaine
De Dior à YSL
Né en 1936 à Oran, Yves-Mathieu Saint-Laurent s’est installé à 18 ans à Paris pour suivre les cours de la fameuse chambre syndicale de la haute couture. Ses croquis ont été repérés par Christian Dior, qui l’a embauché avant même la fin d'un apprentissage… de trois mois seulement ! Par la suite, tout est encore allé très vite pour Yves Saint Laurent. Il n’avait que 21 ans lorsqu’il a été appelé par le maître Dior en personne pour lui succéder.
En 1961, Yves Saint Laurent crée sa propre maison de haute couture avec son compagnon Pierre Bergé. Le succès de sa première collection en 1962 n’a jamais été démenti en 41 ans de défilés.
Yves Saint Laurent était aussi présent dans le monde du parfum avec YSL depuis 1964, ainsi que dans le prêt-à-porter de luxe avec l’ouverture en 1966 de la boutique Rive Gauche, dont la marraine est Catherine Deneuve. Il s’était retiré en 2002, après une dernière collection présentée le 12 juillet 2001.
lundi 2 juin 2008
MÈRE PORTEUSE
Le cherpa du placenta, c'est comme cela que je vois cette -avancée ?- Prêter son ventre pour qu'un couple "stérile" puisse
bénéficier des joies d'un enfant est une idiotie ; cela entraînera des complications ; Éthyques, physiologiques, et morales.
Je considère que cette pratique est avilissante pour la femme. Nous vivons aujourd'hui dans l'ère du caprice et de l'immédiat.
Une mère porteuse ne serait elle donc qu'un espace biologique pour reproduction ? Une serre à bébés ?
Pour aller plus vite, pourquoi ne pas faire faire ce "travail" à une truie ? C'est pareil puisque ce charmant animal est si proche de l'homme physiologiquement, comme on dit tout est bon dans le porc, pourquoi pas ça ?
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