mercredi 4 avril 2012
PRONOSTICS
La fin de l'euro dessinée par un garçon de 10 ans
Un schéma avec une pizza et un petit bonhomme suffit, selon un jeune
Néerlandais, pour imaginer la fin de la monnaie unique. Il a séduit le
jury du prix Wolfson, qui récompensera le meilleur projet organisant un
effondrement de l'euro.
Le très jeune économiste en herbe estime pour sa part que la Grèce doit sortir de l'euro. Mais comment faire? Il l'explique dans un schéma assorti d'une pizza, d'une machine à échanger drachmes contre euros, et d'un bonhomme visiblement malheureux. Plus concrètement, Hurre Hermans propose que les Grecs rendent tous leurs euros à leurs banques. Celles-ci leur donnent en échange des drachmes, l'ancienne monnaie grecque. Les récalcitrants, s'ils sont découverts, se voient infliger une amende s'élevant au double de la somme qu'ils ne veulent pas rendre à leur établissement. Avec les montagnes d'euros récoltés par les banques, l'État grec rembourse les créanciers qui lui ont permis d'accumuler sa dette colossale.
250.000 livres à gagner
Les organisateurs du prix Wolfson ont tenu à féliciter la fraîcheur du raisonnement du garçon lors de l'annonce des cinq finalistes retenus. L'affaire est sérieuse: le vainqueur remportera 250.000 livres (301.000 euros). Il s'agit de la plus grosse récompense financière offerte aux économistes après le prix Nobel, soulignent les organisateurs. Bien que lancé en 2011, le prix est d'actualité, car «malheureusement, le risque qu'un pays doive quitter la zone euro plane toujours», a déclaré lord Simon Wolfson, le riche inventeur du prix, mardi.Parmi les cinq candidatures retenues, des investisseurs, des banquiers et des économistes. Roger Bootle, de Capital Economics, a travaillé sur la manière de rendre le moins douloureux possible la chute des salaires réels au sein d'un pays qui serait obligé de sortir de l'euro. Catherine Dobbs, pour sa part, propose de faire disparaître l'euro «par une solution originale et élégante», a estimé le jury. Elle aurait trouvé une solution pour décourager la fuite des investisseurs effrayés par l'effondrement de la monnaie unique. Certains des nominés se sont penchés sur les questions plus juridiques liées aux dettes libellées en euros, d'autres encore sur les raisons économiques profondes qui motivent la sortie d'un pays de la monnaie unique.
Le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) Sciences PO- Paris Richard Descoings est décédé mardi à New York.
Dont acte et condoléances à sa famille.
Richard Descoings se trouvait à New York pour une conférence de présidents d’université organisée sous l’égide des Nations unies. Il ne s’est pas présenté mardi matin à l’ouverture de la conférence, et se collègues inquiets ont fait ouvrir sa chambre à l’intérieur, ils ont découvert le corps du haut fonctionnaire, nu et la chambre en désordre.
On n’a vraiment pas de chance avec les chambres d’hôtel à New-York en ce moment.
Une source policière a tout d’abord parlé de circonstances « suspectes » et il faut dire qu’après le numéro de DSK, les policiers new-yorkais doivent être sur la défensive.
Personnellement j’aurais attendu pour donner mon avis mais nous sommes en période électorale et le corps n’avait pas encore eut le temps de refroidir que Laurent WAUQUIEZ allait faire de la retape à Sciences PO et que Nicolas SARKOZY, JUPPÉ et autres rendaient hommage à ce grand serviteur de l’Etat.
L’inflation, la dette et les réformes nécessaires
La dette remplace aujourd’hui l’inflation. Un rappel historique permet de le comprendre.
Le règne de l’inflation en Europe a duré plus de 25 siècles :
– En 630 av. J.-C., Ardys, roi de Lydie, a mis en circulation les
premières pièces de monnaie connues en Occident, qui contenaient de l’or
et de l’argent, provenant du Pactole, le fameux fleuve coulant en
Lydie.
– C’est de 560 av. J.-C. que date la première inflation connue des
archéologues. Ils ont, en effet, analysé des pièces découvertes à
Éphèse, dans le temple d’Artémis, la déesse de la chasse. Pièces
offertes par Crésus, le petit-fils d’Ardys, et identiques aux pièces
déjà fabriquées, mais contenant moins d’or…
– Et, pendant plus de 2 600 ans, pratiquement tous les gouvernements ont
utilisé l’inflation pour financer leurs dépenses excessives. Ils se
sont bien évidemment attribué le monopole de la création monétaire,
punissant de la peine capitale les faux-monnayeurs.
– En 1715, pour éponger les dettes héritées de Louis XIV, le Régent fait
appel au « financier » John Law. Celui-ci met en circulation des
billets en papier. Ainsi est née, en Europe, la monnaie dite
« fiduciaire ».
La porte est alors ouverte à tous les excès. Et, depuis, des
gouvernements succombent sans arrêt à la tentation et font « marcher la
planche à billets ». Mais le peuple n’aime pas les désordres monétaires
et des troubles sociaux, parfois très graves, apparaissent presque
toujours.
– Le 4 janvier 1973, pour s’opposer à l’inflation, les pays européens
retirent aux gouvernements le monopole de la création monétaire et le
transfèrent à leur banque centrale. Avec une consigne très précise pour
la banque de France : aligner l’inflation française sur l’inflation
allemande.
Le règne de l’inflation s’achève, celui de la dette commence.
Car, depuis 1973, aucun gouvernement français n’a modifié son comportement.
Chaque gouvernement continue à vouloir plaire à ses électeurs, en leur donnant de l’argent d’une façon ou d’une autre, sans pour autant augmenter les impôts. Ils empruntent donc de l’argent.
En 1977, La dette de la France n’est encore que de 70 milliards d’euros.
En 1991, elle atteint déjà 400 milliards d’euros. En 1999, elle monte à
800 milliards. En 2012, enfin, elle dépasse le chiffre faramineux de 1
700 milliards…
Cette situation catastrophique devient insupportable.
Comment sortir de la dette ?
Les responsables français semblent ignorer que nos entreprises sont
maintenant soumises à la concurrence de toutes les entreprises
étrangères.
Il faut donc modifier nos lois en tenant compte de cette réalité
incontournable et en respectant une chronologie. Il faut d’abord
relancer l’économie, puis rembourser la dette.
Huit réformes nous semblent nécessaires :
1) Il faut modifier la parité fixe liant entre elles les anciennes
monnaies européennes. Elles ne correspondent plus à la réalité
économique. On peut le faire, soit en revenant aux monnaies nationales
et en laissant le marché déterminer la valeur relative des monnaies ;
soit en conservant l’euro. Une dévaluation d’au moins 16 % semble
nécessaire. Nos entreprises redeviendront alors compétitives.
2) Il faut supprimer la progressivité de l’impôt sur le revenu.
3) Il faut supprimer l’impôt sur la fortune (l’ISF).
4) Il faut supprimer tous les impôts touchant les entreprises (en imitant la Suède).
5) On peut alors, au besoin, augmenter la TVA, sans diminuer le pouvoir
d’achat des consommateurs. Car la TVA impose les produits venant de
l’étranger et la concurrence pousse les entreprises à abaisser leurs
prix. Ici, il faut imiter l’Allemagne.
6) Il faut simplifier radicalement la fiscalité française en n’ajoutant
plus une nouvelle loi aux anciennes lois, mais en les remplaçant. Il
faut imiter l’Italie.
La France deviendra ainsi un paradis fiscal attirant les entreprises et les riches, et imitant le Luxembourg ou Monaco.
Ensuite, quand la reprise économique sera là, on mettra en place les
mesures s’opposant à la dette. Sinon, le chômage ne peut qu’augmenter.
7) Il faut rembourser la dette, en augmentant au besoin la TVA, durant quelques années.
8) Il faut cesser de dépenser plus qu’on ne gagne. Surtout en réduisant les dépenses.
Il faut, sans hésiter, copier ce qui réussit ailleurs.
Libération : les journalistes avouent être « inféodés » au PS
Les
ficelles de la manipulation à la Pravda du parti socialiste et de
François Hollande sont tellement grosses qu’elles mettent même les
journalistes de Libération mal à l’aise. Ils ont publié un communiqué
pour dénoncer la ligne éditoriale d’un journal « inféodé » au parti
socialiste.
VÉRITABLEMENT AHURI, HOLLANDE. |
En clair, même les journalistes de Libé sont mal à l’aise du rôle d’organe de presse officieux que joue leur journal dans l’organigramme politique de François Hollande et réclament à corps et à cris un peu plus d’indépendance par rapport aux donneurs d’ordres de la rue Solférino.
Un coup de gueule qui vise notamment le directeur de la publication du journal, Nicolas Demorand, manifestement fortement contesté en interne. « Un an après l’arrivée de Nicolas Demorand, la greffe n’a pas pris », constatent d’ailleurs les salariés de Libération qui ironisent sur des »pseudos évènements basés sur des interviews et non sur des enquêtes, ou la mise à l’écart de thèmes comme le « social, l’environnement, l’immigration ».
Mais que François Hollande se rassure. Si Libération entre en rébellion, le parti socialiste pourra quand même compter sur le soutien sans faille du Monde, du Nouvel Observateur, de Mediapart, de l’ensemble du service public et de la quasi-totalité des « intellectuels » parisiens.
La cote de confiance de Sarkozy en hausse de 6 pts, selon Ifop
Nicolas Sarkozy gagne six points de confiance en un mois en tant que
chef de l'Etat à 42%, selon le tableau de bord Ifop/Paris-Match diffusé
mardi.
Le président-candidat n'avait pas atteint un tel niveau depuis deux ans, souligne l'institut de sondage.
Dans le même temps, le pourcentage des personnes interrogées
désapprouvant son action baisse de six points, passant de 64% à 58%.
François Hollande subit en effet une baisse sur l'ensemble des caractéristiques testées, au profit du candidat sortant qui redresse légèrement son image.
En effet, 47% des personnes interrogées considèrent que le candidat socialiste est le plus capable de mener une bonne politique sociale (-4), contre 20% pour Nicolas Sarkozy (+3), et 41% (-4) qu'il est le plus sensible aux préoccupations des Français, contre 20% pour le président sortant (+3).
Nicolas Sarkozy demeure perçu comme le candidat le plus à même d'incarner la fonction présidentielle.
Il est notamment jugé par 47% des personnes interrogées comme celui ayant le plus l'étoffe d'un président de la République (+5), contre seulement 22% pour François Hollande (-4).
En outre, 43% des Français considèrent Nicolas Sarkozy comme le plus capable de mener une politique efficace contre l'insécurité, soit une hausse de 4 points. François Hollande n'est crédité que de 20% en la matière.
Ce sondage a été réalisé du 29 au 30 mars auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Faut-il
rire de la suffisance et de la bigoterie antiraciste d’Audrey Pulvar,
ou bien faut-il s’en inquiéter ? Son attaque contre l’humoriste, le
Conte de Bouderbala, samedi soir, dans l’émission de Laurent Ruquier,
illustre à merveille le sectarisme et la volonté de contrôler la liberté
de pensé et de parole d’une certaine gauche donneuse de leçon. Si
Hollande est élu, l’humour et la dérision ne seront pas les bienvenus…
La mulâtre tente de faire du foin chez Ruquier, elle va finir sur la paille. |
Mais interdits par qui madame Pulvar ? Par la censure et l’inquisition bien pensante ? Par les élites parisiennes? Par les équipes de France Inter ? Par les intellos et les journalistes du PS ?
Au moins, jusqu’en mai, nous sommes dans un pays où il n’est pas de sujets « interdits », où l’on parler (et rire) de tout. N’en déplaise à madame Montebourg/Pulvar, les Français ont toujours refusé et refuseront toujours qu’on leur interdise d’aborder des « sujets ». Au nom de quoi cette femme décide de quoi on peut parler et quels sont les « sujets interdits » ?
Ce qui ressort de la pathétique prestation de la propagandiste PS (tout le monde était gêné sur le plateau, le bobo Ruquier lui-même sentait la bêtise et la suffisance de l’intello en mini jupe), c’est son mépris flagrant envers les Français. D’ailleurs, elle trouve très bien que l’humoriste se « moque de la France ». Pour elle, ce peuple attardé de beaufs racistes n’est pas assez évolué pour comprendre l’humour. « Est-ce que les gens rient ? Oui, mais c’est ça le problème. Vous faites rire les gens sur des thèmes assez inquiétants », assène l’inquisitrice, qui sous-entend que les spectateurs ne sont pas capables de faire la part des choses.
« Les gens rient en ce disant : quand même, il faut dire ce qui est », insiste-t-elle, car elle sait , bien sûr, ce que pensent les gens. C’est pour cela qu’elle compte leur imposer une vision plus juste et belle, sa vision ! Si nous sommes tous obligés de penser et de parler comme Audrey Pulvar, la France deviendra un beau pays.
Le juge moral fini par donner son verdict : « je dis que c’est irresponsable ». Boum, la sanction est tombée. Le condamné est frappé du sceau de l’infamie ! Merci Audrey. Du haut de ses certitudes, Audrey Pulvar admet qu’elle a pris le sketch du comédien « totalement au premier degré ». Et comme elle représente l’intelligence et la finesse suprêmes, il est évident que tout le monde aura pris le sketch au premier degré, comme elle. Comment peut-on avoir une si forte image de soi-même ?
Enfin, la militante pro Hollande nous ressort les banalités fatigantes de la pensée unique : « on peut lire leur littérature », dit-elle pour souligner comme elle est cultivée et ouverte d’esprit sur les autres cultures, mêmes si cela n’a aucun sens de dire cela à un comique qui aurait bien du mal à faire rire ses salles en citant les classiques de la littérature Rom. « Il y a une libération du préjugé », conclue-t-elle. Le problème, c’est que cela fait 30 ans que la gauche nous rabâche le même discours, essaye de culpabiliser le petit peuple avec ses préjugés. Cette phrase n’a déjà aucun sens en soi. Au bout de trente ans, elle devient complétement grotesque. Elle est bien longue cette libération… Bien sûr, quand Pulvar sera ministre et limitera le droit de s’exprimer, les préjugés n’existeront plus.
Peut-on rire de tout ? Bien sûr, à condition de demander aux autorités compétentes (Pulvar et le PS), un certificat de bonne moralité
Comte BouderBala Vs Polony & Pulvar [Fun]... par peanutsie
UN GRAND MALAISE À "LIBÉ" SELON "LE MONDE"
"Un an après l'arrivée de Nicolas Demorand, la greffe n'a pas pris." Le constat, dressé par l'assemblée générale des équipes du journal Libération lundi 2 avril, est amer pour la direction. Dans un communiqué accessible en ligne, le personnel du quotidien évoque un "grand malaise" régnant dans la rédaction et qui "tient d'abord au sentiment d'être dépossédés du journal".
Les récriminations sont nombreuses : "des unes raccoleuses", "un traitement éditorial partisan en matière politique, qui semble inféoder le journal au PS", "la mise à l'écart de continents entiers du journal, comme le social, l'environnement, l'immigration"...
Une motion de défiance avait été adoptée à 78 % contre Nicolas Demorand, directeur de la rédaction du quotidien, en juin 2011.
DE QUI SE MOQUE 'LE MONDE" JOURNAL DES GAUCHES ? APPARTENANT À BERGÉ AMI DE HOLLANDE.
LES VENTES DE LIBÉ SONT EN CHUTTE LIBRE ET LE GROUPE PERD DU FRIC !!!