Le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, a évoqué le possible
rétablissement de la publicité après 20 heures sur les chaînes
publiques. Cela dépendra de la décision de Bruxelles sur la taxe
télécoms.
Jérôme Cahuzac le ministre délégué au Budget a jeté un pavé dans la mare ce matin sur BFMTV.
Il a déclaré qu'au cas où Bruxelles censure, fin septembre, la taxe sur
les télécoms mise en place pour financer l'arrêt de la publicité après
20 heures sur France Télévisions, il recommanderait le rétablissement
des écrans publicitaires sur les chaînes publiques.
Le
gouvernement est dans une situation délicate. En cas de censure de
Bruxelles, très vraisemblable selon Jérôme Cahuzac, l'État français
devra rembourser 1,2 milliard d'euros aux opérateurs télécoms. En cette
période budgétaire délicate, c'est un trou supplémentaire à combler.
Pour y faire face, Jérôme Cahuzac a donc expliqué le dilemme. Soit
l'État créé une nouvelle taxe soit il rétablit la publicité après 20
heures, ce qui lui évitera de verser à France Télévisions un complément de budget de 400 millions d'euros par an.
La discussion est ouverte au gouvernement car le nouveau pouvoir ne
se sent pas tenu par la décision de Nicolas Sarkozy d'abroger la
publicité sur France Télévisions en 2008. «Il n'y a aucun tabou sur la
question» expliquait Aurélie Filippetti,
la ministre de la Culture et de la communication devant les députés
lors de son audition le 17 juillet. «La véritable question est de savoir
comment financer l'audiovisuel public sur les prochaines années en
période de contraintes budgétaires et de baisse des recettes
publicitaires. Nous explorons plusieurs pistes dont le rétablissement de
la publicité et un effort d'économie de la part de France Télévisions»
avait-elle ajouté. La question sera tranchée entre le ministère de la
Culture et Matignon dès que la décision de Bruxelles sera connue. En
attendant, le ministère de la Culture et Bercy, les deux tutelles de
France Télévisions, voulaient mettre la pression: avant d'accorder
toutes nouvelles sources de financement, France Télévisions doit d'abord
se réformer. Dans ce contexte, l'intervention de Jérôme Cahuzac vient
troubler le jeu et agace un peu le ministère de la Culture.
France Télévisions pas chaud
D'autant
que le rétablissement de la publicité sur France Télévisions après 20
heures pose beaucoup de questions. Tout d'abord, le secteur traverse une
période de crise avec une baisse des investissements publicitaires
d'environ 5 % au premier semestre. Ensuite, d'ici à la fin de l'année, six nouvelles chaînes de la TNT financées
exclusivement par la publicité devraient voir le jour. Un retour de la
publicité sur France Télévisions handicaperait gravement leur lancement.
Enfin, France Télévisions lui même n'y est pas très chaud. La raison en
est simple: sa régie n'est pas sûre, dans un contexte de crise de
retrouver sur le marché publicitaire les 400 millions d'euros perdus en
2009. Le groupe est davantage rassuré de recevoir cette somme du budget
de l'État en compensation, comme c'est le cas depuis 2009.
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
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