Les ressortissants roumains et bulgares sont actuellement soumis en France à une liste de 150 métiers dits "en tension".
Les ressortissants roumains et bulgares, majoritaires parmi les Roms présents en
France,
sont actuellement soumis à des restrictions dans l'accès à l'emploi,
que le gouvernement a décidé mercredi d'assouplir. Les immigrés de ces
deux nationalités font en effet l'objet de "mesures transitoires" dans
huit pays de l'Union européenne, dont la France, où elles ont été
reconduites en janvier dernier jusqu'à fin 2013. Ces mesures, qui leur
confèrent un statut à part parmi les citoyens européens, ont déjà été
supprimées en
Irlande et en
Italie.
L'accès
à l'emploi des Bulgares et Roumains est en premier lieu restreint à une
liste de 150 métiers dits "en tension", dans des secteurs où les
employeurs peinent à recruter. Le gouvernement a annoncé un
élargissement de cette liste. Ces métiers concernent notamment le BTP
(ouvrier, couvreur, dessinateur...), l'hôtellerie (cuisinier,
serveur...), l'agriculture et la pêche, l'industrie (soudeur,
mécanicien...) et l'entretien. On trouve aussi dans cette liste des
fonctions dans le domaine de l'informatique, de la banque et de la
finance, ou encore du commerce et de la santé.
Taxe pour l'employeur
Les
"mesures transitoires" obligent également les Roumains et Bulgares à
disposer d'une autorisation de travail délivrée par la préfecture.
Enfin, l'employeur qui veut les embaucher doit s'acquitter d'une taxe
auprès de l'Ofii (Office français de l'immigration et de l'intégration).
Pour un contrat de 3 à 12 mois, cette dernière oscille de 74 à 300
euros, en fonction du montant du salaire. Si l'embauche excède 12 mois,
la taxe atteint 50 % de la rémunération brute mensuelle, dans la limite
de 2,5 smic. Le gouvernement a annoncé son intention de la supprimer.
Les
ressortissants bulgares et roumains ayant achevé avec succès, dans un
établissement d'enseignement supérieur habilité au plan national, un
cycle de formation conduisant à un diplôme au moins équivalent au master
sont toutefois exemptés de la nécessité d'obtenir un titre de séjour et
une autorisation de travail. Selon une enquête de l'agence des droits
fondamentaux (FRA) de l'UE, réalisée dans onze pays européens et publiée
en mai dernier, moins d'un tiers des Roms interrogés occupent un emploi
salarié, et 80 % vivent dans un ménage menacé par la pauvreté.
NON, NON, ET NON JE NE VEUX PAS QUE LES ROMS VIENNENT EUX AUSSI NOUS
PIQUER DU TRAVAIL, C'EST UNE RACE TRÈS MESQUINE, ILS ONT DE TOUT TEMPS ÉTÉ
MIS AU BANC DES SOCIÉTÉS, QU'ILS LE RESTENT.
MARRE QUE LA FRANCE DEVIENNE LA POUBELLE DES RACES EUROPÉENNES.
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