On ne dira jamais assez du mal de Dieu qui a multiplié les langues pour punir les hommes. D'où les problèmes de communication, voire de diplomatie. Ainsi Jean-Marc Ayrault n'a pas de chance avec la langue arabe puisque son nom signifie paraît-il « pénis ». Pour contourner ce problème épineux (j'espère qu'épineux n'a pas de sens fâcheux), les médias arabes ont dû transformer quelque peu son nom. Jusqu'au ministère français des Affaires étrangères qui s'en mêle et conseille de transcrire phonétiquement toutes les lettres de Ayrault, y compris le L et le T. N'aurait-il pas été plus simple d'inverser le problème et de nommer le Premier ministre Jean-Marc Pénis, pénis ne voulant a priori rien dire dans la langue arabe.
dimanche 20 mai 2012
Dur d'être un Ayrault
On ne dira jamais assez du mal de Dieu qui a multiplié les langues pour punir les hommes. D'où les problèmes de communication, voire de diplomatie. Ainsi Jean-Marc Ayrault n'a pas de chance avec la langue arabe puisque son nom signifie paraît-il « pénis ». Pour contourner ce problème épineux (j'espère qu'épineux n'a pas de sens fâcheux), les médias arabes ont dû transformer quelque peu son nom. Jusqu'au ministère français des Affaires étrangères qui s'en mêle et conseille de transcrire phonétiquement toutes les lettres de Ayrault, y compris le L et le T. N'aurait-il pas été plus simple d'inverser le problème et de nommer le Premier ministre Jean-Marc Pénis, pénis ne voulant a priori rien dire dans la langue arabe.
On ne dira jamais assez du mal de Dieu qui a multiplié les langues pour punir les hommes. D'où les problèmes de communication, voire de diplomatie. Ainsi Jean-Marc Ayrault n'a pas de chance avec la langue arabe puisque son nom signifie paraît-il « pénis ». Pour contourner ce problème épineux (j'espère qu'épineux n'a pas de sens fâcheux), les médias arabes ont dû transformer quelque peu son nom. Jusqu'au ministère français des Affaires étrangères qui s'en mêle et conseille de transcrire phonétiquement toutes les lettres de Ayrault, y compris le L et le T. N'aurait-il pas été plus simple d'inverser le problème et de nommer le Premier ministre Jean-Marc Pénis, pénis ne voulant a priori rien dire dans la langue arabe.
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