La langue de Lionel Jospin a une nouvelle fois fourché. Invité du « Grand Journal » de Canal + jeudi soir, l'ancien Premier ministre et candidat battu en 2002, a offert un beau lapsus, un coutumier du fait.
Ses lapsus sont légendaires. Lionel Jospin s'est une nouvelle fois exercé dans un acte manqué ce jeudi soir sur le plateau du Grand Journal, animé par Michel Denisot. Alors qu'on l'invitait à comparer les deux candidats favoris de la présidentielle de 2012, la langue de l'ancien Premier ministre socialiste a fourché. Il lui a été demandé quel était « le principal défaut » de Nicolas Sarkozy. « Puisque je n'ai pas voulu parler du principal défaut de François Hollande, que j'ignore, a commencé Lionel Jospin, je ne le ferai pas non plus, par équité, pour Nicolas Sarkozy. Par contre, je voudrais vous dire quelque chose qui m'a intrigué, c'est qu'il a choisi comme valeurs et comme slogan de campagne très exactement ses points de faiblesse ». Jusque là, tout va bien. Mais il enchaîne avec un « François Sarkozy... » mal placé. Il s'interrompt et lance dans un éclat de rire : « L'équité m'emmène trop loin, mais rassurez-vous : le 22 avril et le 6 mai il n'y aura plus que François. »
"Vous voyez, il était temps que je m'arrête !"
Lionel Jospin n'en est pas à son premier lapsus. Pour le vérifier, il ne suffit de remonter au 8 janvier 2010. Au micro de RTL face à Jean-Michel Apathie, le déçu de l'élection présidentielle de 2002 qualifie Dominique Strauss-Kahn de « directeur du Front national international » confondant fonds monétaire avec Front National. Avec beaucoup d'humour, presque huit ans après son « retrait de la vie politique », l'ancien Premier ministre relève alors : « Vous voyez, il était temps que je m'arrête ! ».
Autres bourdes. En 2002, il adresse ses « meilleurs vieux » à Jacques Chirac après l'avoir qualifié de « vieux, usé, fatigué ». On lui doit aussi le maladroit « Monsieur » quand il appelle Roselyne Bachelot et puis la malencontreuse candidature d'Elisabeth Guigou « à Matignon » au lieu d'Avignon en octobre 2000 pour les municipales. Sa candidature, à lui, pour l'Élysée, il préféra la faire sans lapsus cette fois, mais à l'ombre des flashs un soir de février 2002 de chez lui en envoyant un fax à l'AFP.
Un autre lapsus encore. Nous sommes en juin 2001, la presse vient de révéler le passé trotskiste de Lionel Jospin. Ce qui le préoccupe visiblement. Car lors de la clôture du colloque du PS, il lâche « les prises en compte par les trotskistes ». Il se reprend : « Par les travaillistes eux-mêmes... ». Rires de l'assistance et de lui-même. Toujours avec autant d'auto-dérision, il tire la langue, applaudissements de l'assistance.
Un dernier pour la route. En août 2006, face aux militants du Mouvement des jeunes socialistes de la dynamique des gauches européennes, il déclare qu'il faudra « travailler à une plateforme en vue des élections européennes afin de permettre aux socialistes de baiser, heu, peser au Parlement européen. » Le lapsus est rapporté par Le Canard enchaîné du 3 septembre 2006.
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire