Le système "est en faillite mais ce n'est pas aux travailleurs de payer la note", estime Lutte Ouvrière jeudi dans un communiqué sur la crise économique où elle dénonce le rôle des "marchés" et de la spéculation.
"Il suffit d'une pression des milieux financiers pour que les gouvernements annoncent, dans l'urgence, de nouveaux plans d'austérité, écrit Lutte Ouvrière. Cela s'est passé en Grèce et en Espagne, en Irlande et au Portugal. C'est ce qu'a fait le gouvernement italien à la veille du 15 août".
"Après avoir vidé les caisses pour sauver le système financier, ces gouvernants ne savent rien inventer d'autre que de présenter encore et toujours la facture aux peuples, au prix d'une augmentation du chômage, de la pauvreté, et finalement d'un approfondissement de la crise", poursuit-elle.
"Pour les travailleurs et pour toutes les classes populaires, il y a urgence à se défendre. Contre le chômage, il faut interdire les licenciements et répartir le travail entre tous sans perte de salaire. Pour défendre le pouvoir d'achat, il faut imposer l'indexation des salaires et des retraites", écrit Lutte Ouvrière.
1 commentaires:
Outre l'antisocialisme primaire et l'évidente stupidité de l'auteur de cet article lamentable, je ne peux que constater, à travers les images qui s'affichent à ma droite, que j'ai non seulement affaire à un petit bourge de quatorze ans, mais aussi à un abruti en puissance. Sur ce, je quitte le trou du cul du web pour regagner des rivages ou on se sert de son cerveau pour créer une critique constructive -et ou n'a pas du liquide séminale d'actionnaire pleins la bouche par ailleurs.
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