mardi 6 mai 2014
L’Occident aime l’odeur de roussi !
Ils se sont fait traiter de tous les noms par les lascars qui jaillissant de nulle part se sont mis à renverser les tentes où les habitants locaux essayaient de réunir les signatures pour déposer une demande de reconnaissance du russe comme langue régionale et une requête de fédéralisation d’Etat ukrainien par voie de référendum.
Armés de couteaux et des pistolets automatiques, les énergumènes leur ont sauté dessus et les ont emmenés en direction du siège social des syndicats locaux. Poussés à l’intérieur, tétanisés ils ont observé les bourreaux verrouiller les portes et condamner les fenêtres avec des morceaux de tôle et des sacs en plastique. Ensuite des cocktails Molotov ont éclaté à la hauteur du deuxième étage. Le bâtiment a pris feu. Intoxiqués par la fumée, les gens se sont mis à hurler, puis l’odeur nauséabonde de la chair brûlée s’est propagée sur la place.
Attroupés à l’extérieur les nazis dont une certaine partie des femelles riaient à gorge déployée en descendant à coups de pistolet ceux qui essayaient chercher refuge sur le toit. Poussés à l’extrême, plusieurs personnes âgées se sont précipitées dans le vide où ils trouvèrent aussitôt la mort soit à cause de la défenestration, soit par ce que le rebus du genre humain tabassait les rescapés ensanglantés avec des matraques et à grands coups de pied. Non seulement cela se passait dans une atmosphère de kermesse populaire, mais en plus la très bichonnée par l’Occident Ioulia Timochenko a félicité tous les participants de ce meurtre de masse à ciel ouvert pour leur héroïsme et le soutien apporté aux forces de l’ordre ! Et puis l’indicible : quand le feu est tombé, la police a laissé entrer dans le bâtiment les bourreaux qui, sans se gêner, fouillaient les cadavres, s’échangeant des répliques joyeuses pour en compter le nombre. Les corps aux visages carbonisés qui, dans un dernier effort, ont essayé de se couvrir le visage avec les mains, provoquaient une hilarité généralisée ce qui a été mis en évidence par les vidéos que les participants à la boucherie tournaient joyeusement avec leurs portables en mettant ensuite les vidéos sur YouTube.
L’objectif de cette danse macabre perce à travers les répliques des exécuteurs : ils cherchaient les survivants pour les achever. Ils les ont trouvés sur le toit et leur ont donné un assaut en règle – un assaut contre des intoxiqués, contre une cinquantaine de personnes âgées, en général, de plus de 45 ans et à 100 % désarmés dont 20 femmes ! Un assaut donné par des commandos armés jusqu’aux dents et soutenus par la police observant en silence sans se mêler à l’action… Y a-t-il des limites à la sauvagerie ? A mon sens, cette tragédie qui se déroula avant-hier à Odessa, en plein centre-ville et sous les feux des projecteurs avec le soutien des autorités de Kiev et avec l’accordé de l’Occident qui refusa de condamner Kiev (en plus la veille la représentante de la CE a déclaré au nom de Catherine Ashton que l’Etat détenait le monopole de la violence), cette tragédie, dis-je, a mis en évidence plusieurs choses.
En premier lieu, les Russes et les Russophones – soit 86 % de la population soi-disant ukrainienne - ont compris que les fascistes soutenus par l’Occident ne feraient pas de quartier. Comme il s’agit d’une guerre totale contre les civils, le génocide tout simplement commis dans la ville la plus chère au cœur des Juifs russes, Odessa, par les descendants des nationalistes qui ont tué plus de 30.000 personnes à Baby Yar (ce n’étaient pas les Allemands mais les Ukrainiens de la division SS Galitchina), eh bien, la riposte sera à la même échelle.
Déjà les gens dans le Sud-Est de l’Ukraine se battent à l’arme automatique contre les blindés et les canons lourds pour défendre leur droit au référendum. Les « pouvoirs » de Kiev n’ont même pas évacué les civils. Ensuite, il est devenu clair que les autorités occidentales sont composées en très grande partie d’un conglomérat profasciste qui soutient à 100 % les criminels conditionnés comme des bergers allemands pour exterminer la population non-ukrainienne (slave, juive, roumaine, tchèque et autre) par tous les moyens mis à leur disposition par les putschistes de Kiev. Ceci est un fait incontestable d’autant plus que, selon les sources russes, plus de 300 officiers occidentaux opèrent dans la zone des combats revêtus de treillis locaux.
Ils se sont fait traiter de tous les noms par les lascars qui jaillissant de nulle part se sont mis à renverser les tentes où les habitants locaux essayaient de réunir les signatures pour déposer une demande de reconnaissance du russe comme langue régionale et une requête de fédéralisation d’Etat ukrainien par voie de référendum.
Armés de couteaux et des pistolets automatiques, les énergumènes leur ont sauté dessus et les ont emmenés en direction du siège social des syndicats locaux. Poussés à l’intérieur, tétanisés ils ont observé les bourreaux verrouiller les portes et condamner les fenêtres avec des morceaux de tôle et des sacs en plastique. Ensuite des cocktails Molotov ont éclaté à la hauteur du deuxième étage. Le bâtiment a pris feu. Intoxiqués par la fumée, les gens se sont mis à hurler, puis l’odeur nauséabonde de la chair brûlée s’est propagée sur la place.
Attroupés à l’extérieur les nazis dont une certaine partie des femelles riaient à gorge déployée en descendant à coups de pistolet ceux qui essayaient chercher refuge sur le toit. Poussés à l’extrême, plusieurs personnes âgées se sont précipitées dans le vide où ils trouvèrent aussitôt la mort soit à cause de la défenestration, soit par ce que le rebus du genre humain tabassait les rescapés ensanglantés avec des matraques et à grands coups de pied. Non seulement cela se passait dans une atmosphère de kermesse populaire, mais en plus la très bichonnée par l’Occident Ioulia Timochenko a félicité tous les participants de ce meurtre de masse à ciel ouvert pour leur héroïsme et le soutien apporté aux forces de l’ordre ! Et puis l’indicible : quand le feu est tombé, la police a laissé entrer dans le bâtiment les bourreaux qui, sans se gêner, fouillaient les cadavres, s’échangeant des répliques joyeuses pour en compter le nombre. Les corps aux visages carbonisés qui, dans un dernier effort, ont essayé de se couvrir le visage avec les mains, provoquaient une hilarité généralisée ce qui a été mis en évidence par les vidéos que les participants à la boucherie tournaient joyeusement avec leurs portables en mettant ensuite les vidéos sur YouTube.
L’objectif de cette danse macabre perce à travers les répliques des exécuteurs : ils cherchaient les survivants pour les achever. Ils les ont trouvés sur le toit et leur ont donné un assaut en règle – un assaut contre des intoxiqués, contre une cinquantaine de personnes âgées, en général, de plus de 45 ans et à 100 % désarmés dont 20 femmes ! Un assaut donné par des commandos armés jusqu’aux dents et soutenus par la police observant en silence sans se mêler à l’action… Y a-t-il des limites à la sauvagerie ? A mon sens, cette tragédie qui se déroula avant-hier à Odessa, en plein centre-ville et sous les feux des projecteurs avec le soutien des autorités de Kiev et avec l’accordé de l’Occident qui refusa de condamner Kiev (en plus la veille la représentante de la CE a déclaré au nom de Catherine Ashton que l’Etat détenait le monopole de la violence), cette tragédie, dis-je, a mis en évidence plusieurs choses.
En premier lieu, les Russes et les Russophones – soit 86 % de la population soi-disant ukrainienne - ont compris que les fascistes soutenus par l’Occident ne feraient pas de quartier. Comme il s’agit d’une guerre totale contre les civils, le génocide tout simplement commis dans la ville la plus chère au cœur des Juifs russes, Odessa, par les descendants des nationalistes qui ont tué plus de 30.000 personnes à Baby Yar (ce n’étaient pas les Allemands mais les Ukrainiens de la division SS Galitchina), eh bien, la riposte sera à la même échelle.
Déjà les gens dans le Sud-Est de l’Ukraine se battent à l’arme automatique contre les blindés et les canons lourds pour défendre leur droit au référendum. Les « pouvoirs » de Kiev n’ont même pas évacué les civils. Ensuite, il est devenu clair que les autorités occidentales sont composées en très grande partie d’un conglomérat profasciste qui soutient à 100 % les criminels conditionnés comme des bergers allemands pour exterminer la population non-ukrainienne (slave, juive, roumaine, tchèque et autre) par tous les moyens mis à leur disposition par les putschistes de Kiev. Ceci est un fait incontestable d’autant plus que, selon les sources russes, plus de 300 officiers occidentaux opèrent dans la zone des combats revêtus de treillis locaux.
La Russie se rend parfaitement compte qu’il s’agit d’une provocation des plus monstrueuses commises après la fin de la Seconde guerre mondiale et, nonobstant les attentes de l’OTAN, la Russie n’interviendra pas directement, malgré les cris de détresse lancés sur des talkies-walkies par des survivants qui demandent à l’armée russe d’intervenir. Imaginez quel effet cela ferait en Israël, si on exterminait les colons juifs dans les territoires occupés, mais que l’armée israélienne stationnée à quelques kilomètres de là, n’intervenait pas… Imaginez les Français qui regarderaient les Viêt-Côngs exécuter froidement la population civile française à l’époque de l’Indochine. Vous comprendrez mieux les sentiments des Russes qui observent attentivement l’Occident et les bandes de Kiev en gardant leur sang- froid. L’Union Européenne et le G7 semblent se gargariser de ce triomphe de « souveraineté mono-ethnique ukrainienne ». Et comment ! Les Etats-Unis ont avoué avoir dépensé plus de 5 Milliards de dollars pour fomenter ce coup d’Etat ! Vous imaginez bien : 5 Milliards de dollars mettre au pouvoir des gens qui brûleront les civils sans défense comme à Oradour-sur-Glane. Décidément l’opération s’est avérée plus que rentable. Quel placement : de la chair roussie à revendre ! Moins de Russes il restera, mieux le monde se portera, n’est-ce pas, dirigeants occidentaux ?
Alors maintenant que je vous ai narré les faits facilement vérifiables par internet ou autres moyens modernes, répondez-vous-même à la question que je vous pose : croyez-vous vraiment que les Russes vont vous pardonner cela ? Les Juifs ont-ils pardonné la Shoah et les divisions SS Azul et Charlemagne ? Pourquoi les Russes alors doivent-ils pardonner à ceux qui, en Occident, par leur mutisme et collaborationnisme sont devenus complices de ces meurtres commis contre les civils sans défense ? Il me semble que les dirigeants occidentaux qui ont fomenté ce coup, ont désappris à avoir peur de la Russie. Mais cette fois-ci ils sont allés trop loin. Comme la vengeance est un plat qui se mange froid, on attendra… un nouveau Nuremberg. T
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