La
présidence irréprochable promise par François Hollande se fait
sérieusement désirer… Avec trois ministres (dont le Premier) ayant fait
l’objet de condamnations judiciaires, l’Etat PS propose surtout un
mélange des genres incroyables entre journalistes et politiques. De
Treirweiler à Pulvar, tour d’horizon de la collusion
médiatico-socialiste.
On v a se géner, peut-être ?? |
Une proximité qui en dit long sur les liaisons dangereuses entre les médias et la gauche française et qui donne un éclairage nouveau au traitement tout en subtilité et en équilibre de la campagne présidentielle par les journalistes des différents organes concernés. Mais la collusion généralisée ne s’arrête pas là.
Il suffit de regarder d’un peu près la composition du cabinet de Valérie Trierweiler (même si les contribuables sont en droit de se demander à quel titre ils financent le secrétariat de la concubine du président) pour voir qu’il reste des amis journalistes à caser dans les entourages de la gauche. Son directeur de cabinet n’est autre que Patrice Biancone, un journaliste de RFI.
Risque-t-on de voir apparaître dans les jours à venir d’autres noms de journalistes dans les cabinets ministériels ?
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