L’appel
à l’unité nationale et à l’apaisement lancé par François Hollande au
cours de son discours d’investiture, n’aura été que de façade. Dès le
déjeuner, le président de la République a prouvé qu’il n’était pas prêt à
rompre avec l’esprit partisan de gauche en n’invitant à sa table que
des anciens Premiers ministres socialistes.
Déjà les grands gueuletons !!! |
Un président de la République rassembleur peut-il choisir pire symbole d’entrée en matière que de placer à sa table pour son premier déjeuner présidentiel tous les Premiers ministres socialistes. Un choix étrange qui démontre une certaine conception du pouvoir : les Français gardent-ils un souvenir inoubliable d’Edith Cresson ? Michel Rocard, de retour de chez les Mollahs iraniens doit-il partager la table du président de la République ?
Et cette fable de gauche, toujours répétée comme quoi tout ce qui a été fait de bien et de juste en France l’a été fait sous un gouvernement socialiste…
Les Français n’ont pas oublié le suicide économique et industriel qu’aura été le mitterrandisme (même si François Hollande semble l’avoir pris pour modèle) ni la folie des 35 heures du commandeur Lionel Jospin.
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