Le mouvement des marées et le mouvement des capitaux sont les deux mamelles du mouvement perpétuel, a établi Pierre Dac, penseur aujourd’hui trop négligé, heureusement remis à l’affiche d’un cabaret parisien. Ses analyses nous manquent, par exemple à la découverte des dernières recommandations de la Cour des comptes : dépensez moins, nous disent les Sages des Comptes, mais ne succombez pas à l’austérité. Serrez-vous la ceinture, maigrissez plus vite et plus fort, mais surtout n’en mourrez pas… C’est gentil pour nous. Ces Messieurs des Comptes ont certes bien compris que, sinon, la liste des problèmes sociaux qui iront de mal en pis avant de s’arranger, risque fort de s’allonger avant de diminuer. Le problème est que les Rois des Comptes ne nous expliquent pas comment faire toujours moins sans arriver à rien — sinon bien sûr à l’os à moelle, cette métaphore du contribuable.
jeudi 9 février 2012
Moelle
Le mouvement des marées et le mouvement des capitaux sont les deux mamelles du mouvement perpétuel, a établi Pierre Dac, penseur aujourd’hui trop négligé, heureusement remis à l’affiche d’un cabaret parisien. Ses analyses nous manquent, par exemple à la découverte des dernières recommandations de la Cour des comptes : dépensez moins, nous disent les Sages des Comptes, mais ne succombez pas à l’austérité. Serrez-vous la ceinture, maigrissez plus vite et plus fort, mais surtout n’en mourrez pas… C’est gentil pour nous. Ces Messieurs des Comptes ont certes bien compris que, sinon, la liste des problèmes sociaux qui iront de mal en pis avant de s’arranger, risque fort de s’allonger avant de diminuer. Le problème est que les Rois des Comptes ne nous expliquent pas comment faire toujours moins sans arriver à rien — sinon bien sûr à l’os à moelle, cette métaphore du contribuable.
Le mouvement des marées et le mouvement des capitaux sont les deux mamelles du mouvement perpétuel, a établi Pierre Dac, penseur aujourd’hui trop négligé, heureusement remis à l’affiche d’un cabaret parisien. Ses analyses nous manquent, par exemple à la découverte des dernières recommandations de la Cour des comptes : dépensez moins, nous disent les Sages des Comptes, mais ne succombez pas à l’austérité. Serrez-vous la ceinture, maigrissez plus vite et plus fort, mais surtout n’en mourrez pas… C’est gentil pour nous. Ces Messieurs des Comptes ont certes bien compris que, sinon, la liste des problèmes sociaux qui iront de mal en pis avant de s’arranger, risque fort de s’allonger avant de diminuer. Le problème est que les Rois des Comptes ne nous expliquent pas comment faire toujours moins sans arriver à rien — sinon bien sûr à l’os à moelle, cette métaphore du contribuable.
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