Après avoir enfermé la Russie et les pays de l'est dans les ténébres, le socialisme a eu une grande influence sur les mouvements indépendantistes qui, au lieu de se contenter de mettre en place pas à pas un capitalisme libéral, se sont inspiré d'un socialisme éculé pour sombrer aujourd'hui dans les plus grandes difficultés. Ils se sont pris à rêver à une révolution universelle. Aujourd'hui, l'histoire pourait se reproduire en partie. Des opposants lors du printemps arabe semblent parfois se laisser influencer par la vacuité des sirènes anti(néo)libérales, ce qui les rend inopérant face aux machineries de l'islamisme. Le socialisme a offert en héritage aux pays délivrés du colonialisme les promesses les plus vaines. Sans le socialisme, ces pays s'en seraient beaucoup mieux sortis. Sans la vague antilibérale et désormais pétrie d'indignation, qui excuse même parfois les courants les plus liberticides, les opposants aux dictatures arabes et à l'islamisme auraient aujourd'hui quelque chose de plus solide à se mettre sous la dent pour sortir leur pays du marasme.
lundi 26 mars 2012
Le socialisme est-il à jeter aux oubliettes de l'histoire
A l'heure où nombre de commentateurs
émérites et cultivés, prédisent la fin du capitalisme, je me retourne
sur les grandes réalisations du socialisme, philosophie
qui permit de transformer le monde et de lutter contre les "dérives"
du capitalisme. Je considère que ce socialisme, intrépide et
contagieux, aux fondements solides et durables a forcément laissé
derrière lui nombre de poussières radieuses et de bonnes influences
qui ont permis à ce monde de contrer les violences bien connues du
capitalisme libéral.
Je mets de côté cet accident qu'est
le totalitarisme soviétique qui comme chacun sait n'a rien à voir avec
la disposition essentielle à l'émancipation de l'homme
qu'est cet inéluctable frémissement de liberté qu'est le socialisme.
Hélas, je ne vois rien, n'en déplaise à Goucho, qui puisse justifier un
tel engouement. Je ne vois rien de très positif... Le
socialisme n'est qu'une aspiration, mais dans les faits je ne vois
qu''inspirations néfastea et vaines réalisations... soutenues
indirectement par le capitalisme. Le bonheiur des peuples est
inversement proportionnel à l'allégeance au socialisme.
Après avoir enfermé la Russie et les pays de l'est dans les ténébres, le socialisme a eu une grande influence sur les mouvements indépendantistes qui, au lieu de se contenter de mettre en place pas à pas un capitalisme libéral, se sont inspiré d'un socialisme éculé pour sombrer aujourd'hui dans les plus grandes difficultés. Ils se sont pris à rêver à une révolution universelle. Aujourd'hui, l'histoire pourait se reproduire en partie. Des opposants lors du printemps arabe semblent parfois se laisser influencer par la vacuité des sirènes anti(néo)libérales, ce qui les rend inopérant face aux machineries de l'islamisme. Le socialisme a offert en héritage aux pays délivrés du colonialisme les promesses les plus vaines. Sans le socialisme, ces pays s'en seraient beaucoup mieux sortis. Sans la vague antilibérale et désormais pétrie d'indignation, qui excuse même parfois les courants les plus liberticides, les opposants aux dictatures arabes et à l'islamisme auraient aujourd'hui quelque chose de plus solide à se mettre sous la dent pour sortir leur pays du marasme.
Après avoir enfermé la Russie et les pays de l'est dans les ténébres, le socialisme a eu une grande influence sur les mouvements indépendantistes qui, au lieu de se contenter de mettre en place pas à pas un capitalisme libéral, se sont inspiré d'un socialisme éculé pour sombrer aujourd'hui dans les plus grandes difficultés. Ils se sont pris à rêver à une révolution universelle. Aujourd'hui, l'histoire pourait se reproduire en partie. Des opposants lors du printemps arabe semblent parfois se laisser influencer par la vacuité des sirènes anti(néo)libérales, ce qui les rend inopérant face aux machineries de l'islamisme. Le socialisme a offert en héritage aux pays délivrés du colonialisme les promesses les plus vaines. Sans le socialisme, ces pays s'en seraient beaucoup mieux sortis. Sans la vague antilibérale et désormais pétrie d'indignation, qui excuse même parfois les courants les plus liberticides, les opposants aux dictatures arabes et à l'islamisme auraient aujourd'hui quelque chose de plus solide à se mettre sous la dent pour sortir leur pays du marasme.
ET TOUT ÇA, C'EST LA FAUTE À ROUSSEAU !!
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