Chez les Assad, en Syrie, on est boucher de père en fils. Hier, le président Bachar al-Assad a fait tirer sur les manifestants qui commémoraient les massacres perpétrés trente ans plus tôt par le père du ci-devant, Hafez al-Assad. Les Syriens se battent depuis maintenant plus de dix mois pour qu’aucun des deux fils de Bachar ne puisse un jour reprendre la boucherie familiale… Les Syriens descendent dans la rue, chaque vendredi, sous les balles des soldats. Ils voient leurs propres enfants torturés par les sbires du régime, qui brûlent, battent, électrocutent, violent, arrachent les ongles… À New York, l’ONU parlemente, impuissante face à l’alliance des affreux : Assad et son ami russe Poutine. Tant pis, les Syriens continuent seuls le combat.
samedi 4 février 2012
Courage
Chez les Assad, en Syrie, on est boucher de père en fils. Hier, le président Bachar al-Assad a fait tirer sur les manifestants qui commémoraient les massacres perpétrés trente ans plus tôt par le père du ci-devant, Hafez al-Assad. Les Syriens se battent depuis maintenant plus de dix mois pour qu’aucun des deux fils de Bachar ne puisse un jour reprendre la boucherie familiale… Les Syriens descendent dans la rue, chaque vendredi, sous les balles des soldats. Ils voient leurs propres enfants torturés par les sbires du régime, qui brûlent, battent, électrocutent, violent, arrachent les ongles… À New York, l’ONU parlemente, impuissante face à l’alliance des affreux : Assad et son ami russe Poutine. Tant pis, les Syriens continuent seuls le combat.
Chez les Assad, en Syrie, on est boucher de père en fils. Hier, le président Bachar al-Assad a fait tirer sur les manifestants qui commémoraient les massacres perpétrés trente ans plus tôt par le père du ci-devant, Hafez al-Assad. Les Syriens se battent depuis maintenant plus de dix mois pour qu’aucun des deux fils de Bachar ne puisse un jour reprendre la boucherie familiale… Les Syriens descendent dans la rue, chaque vendredi, sous les balles des soldats. Ils voient leurs propres enfants torturés par les sbires du régime, qui brûlent, battent, électrocutent, violent, arrachent les ongles… À New York, l’ONU parlemente, impuissante face à l’alliance des affreux : Assad et son ami russe Poutine. Tant pis, les Syriens continuent seuls le combat.
Ils illustrent dans l’anonymat cette vertu si souvent évoquée, cependant si rare :
le courage.
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