Selon l'ouvrage «Tout dans les mains», 95 % des dirigeants possèdent des mains chaudes, et les hommes de l'ombre, préférant l'influence au pouvoir, les mains froides.
«Les personnes aux mains froides ont besoin d'être protégées et sécurisées», affirme Jean de Bony, coauteur avec la journaliste Stéphanie Leclair de Marco deTout dans les mains aux Éditions de La Martinière. «Fuyant les risques et le stress qui en découlent, elles ne sont pas mues par la nécessité de prendre le leadership.» Avant de décréter un tel constat, ce chercheur en biotypologie a analysé les mains (empreintes digitales, ongles, paume, hygrométrie…) de plus de 10 000 personnes, dont bon nombre de dirigeants.
Parmi eux, Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Jacques Séguéla, les créateurs du groupe Accor, Dubrule et Pélisson… Le résultat s'avère parlant: 95 % des dirigeants possèdent des mains chaudes, et les hommes de l'ombre, préférant l'influence au pouvoir, les mains froides. Significatif aussi l'entrecroisement des doigts: ceux qui entrecroisent index gauche sur droit (comme Nicolas Sarkozy et la majorité des chefs d'État), mais aussi deux tiers des femmes, sont portés à agir quoi qu'il en soit pour sortir du problème, quand «index droit sur gauche» (comme Angela Merkel!) rime avec raison et prudence.
Globalement, les mains chaudes caractérisent deux tiers des hommes pour seulement un tiers des femmes. Déduction logique: les hommes n'empêchent pas les femmes d'accéder au pouvoir, mais les femmes se limitent elles-mêmes! De quoi remettre en question la fameuse parité…
samedi 24 décembre 2011
Ce que disent les mains des décideurs...
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