La télévision ne vaut rien au débat politique. En tout cas pas la télévision selon Laurence Ferrari recevant Eric Woerth : «Je vous regarde dans les yeux», dit l'un, pour répéter en boucle que tout cela est insupportable et honteux. «Les yeux dans les yeux», interroge l'autre, pour mieux battre des cils sans poser de question... Drôle d'échange, qui aura fait de l'audience à défaut de faire la lumière. C'est la loi du spectacle, qui préfère les sentiments aux arguments, les indignations aux explications. Et puis peu importe, après tout: c'est notre Président qu'on attend maintenant, c'est lui qui doit parler, qui va bientôt parler. Mais s'il-vous-plaît, Monsieur notre Président, parlez-nous clairement, directement, du dossier et pas de votre famille, de vos comptes de campagnes et pas de vos états d'âme - qui sont pour l'heure, Monsieur Woerth l'avait oublié, le dernier de nos soucis.
mercredi 7 juillet 2010
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La télévision ne vaut rien au débat politique. En tout cas pas la télévision selon Laurence Ferrari recevant Eric Woerth : «Je vous regarde dans les yeux», dit l'un, pour répéter en boucle que tout cela est insupportable et honteux. «Les yeux dans les yeux», interroge l'autre, pour mieux battre des cils sans poser de question... Drôle d'échange, qui aura fait de l'audience à défaut de faire la lumière. C'est la loi du spectacle, qui préfère les sentiments aux arguments, les indignations aux explications. Et puis peu importe, après tout: c'est notre Président qu'on attend maintenant, c'est lui qui doit parler, qui va bientôt parler. Mais s'il-vous-plaît, Monsieur notre Président, parlez-nous clairement, directement, du dossier et pas de votre famille, de vos comptes de campagnes et pas de vos états d'âme - qui sont pour l'heure, Monsieur Woerth l'avait oublié, le dernier de nos soucis.
La télévision ne vaut rien au débat politique. En tout cas pas la télévision selon Laurence Ferrari recevant Eric Woerth : «Je vous regarde dans les yeux», dit l'un, pour répéter en boucle que tout cela est insupportable et honteux. «Les yeux dans les yeux», interroge l'autre, pour mieux battre des cils sans poser de question... Drôle d'échange, qui aura fait de l'audience à défaut de faire la lumière. C'est la loi du spectacle, qui préfère les sentiments aux arguments, les indignations aux explications. Et puis peu importe, après tout: c'est notre Président qu'on attend maintenant, c'est lui qui doit parler, qui va bientôt parler. Mais s'il-vous-plaît, Monsieur notre Président, parlez-nous clairement, directement, du dossier et pas de votre famille, de vos comptes de campagnes et pas de vos états d'âme - qui sont pour l'heure, Monsieur Woerth l'avait oublié, le dernier de nos soucis.
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