TOUT EST DIT

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mardi 13 juillet 2010

Aubry fustige "l'auto-persuasion" et "l'auto-satisfaction" de Sarkozy

Martine Aubry, première secrétaire du PS, a estimé lundi sur France 3 que l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy se résumait à de "l'auto-persuasion" et de "l'auto-satisfaction".
"J'ai trouvé un président de la République qui parlait d'abord de lui-même, avant de parler des Français. Je l'ai trouvé vivant dans un autre monde, très loin des Français et aussi très loin de la vérité, sur le chômage, les retraites, la sécurité", a déclaré Mme Aubry.

"Comme d'habitude, des grands mots et une réalité qui est toujours différente. Pas de changement de cap qui ramènerait un peu d'espérance face à cette crise morale que nous traversons et face à cette terrible crise économique et sociale, on continue comme avant, l'auto-persuasion et l'auto-satisfaction", a-t-elle poursuivi.
Sur l'affaire Bettencourt/Woerth, "nous attendions ce soir des clarifications et des décisions et nous n'avons eu ni les unes ni les autres", a estimé le maire de Lille.
Pour Mme Aubry, "on avait l'impression qu'il était au coeur d'un complot tout ça pour masquer des questions totalement embarrassantes et totalement floues".
Interrogée sur le "conseil" de Nicolas Sarkozy à Eric Woerth de quitter ses fonctions de trésorier de l'UMP, Mme Aubry a répondu: "C'est déjà une chose que nous demandons depuis trois ans. Ca veut bien dire qu'on reconnaît là qu'il y a un conflit d'intérêts".
Pour aller "jusqu'au bout" des conséquences de ces conflits d'intérêts, Mme Aubry a redemandé une commission d'enquête parlementaire et un "juge indépendant".
"La France de Nicolas Sarkozy, c'est Mme Bettencourt qui reçoit 30 millions d'euros au titre du bouclier fiscal (...) et c'est 30 millions de Français qui sont à quelques euros près, pour terminer leur mois", a-t-elle lancé, évoquant la suppression de l'APL pour les étudiants.
"Voilà la justice vue par Nicolas Sarkozy!", a-t-elle lancé.
Fustigeant les "contre-vérités permanentes" du président, elle a ajouté: "On aurait aimé qu'il y ait un peu de répondant en face", critiquant implicitement l'interviewer David Pujadas.
"Nous faire croire qu'il n'y aurait en France que 10.000 personnes qui auraient travaillé (exposées) aux intempéries, sur des charges lourdes (...) c'est totalement aberrant", a-t-elle asséné.
Vous avez le sentiment d'écouter votre adversaire de 2012 ? "L'adversaire de la gauche, l'adversaire des socialistes, oui", a-t-elle répondu..

ENCORE UNE FOIS CETTE GROSSE TRUIE FAIT DANS LA DÉMAGOGIE ÉLECTORALISTE, IL EST FACILE DE CRITIQUER SANS PROPOSER. L'INTELLIGENCE LUI FAIT CRUELLEMENT DÉFAUT, QU'ELLE RETOURNE CHIER DANS SA CAISSE LILLOISE.ÇA SUFFIT LES CONNERIES.

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