jeudi 7 août 2014
« Immigration invasion »
« Immigration invasion »
?« La grosse déferlante », écrivait hier dans Présent notre camarade Pierre Malpouge. Depuis le retour de la gauche au pouvoir, à mesure que baissent les expulsions, les vagues de l’immigration clandestine n’ont en effet cessé de grossir. Et de s’accélérer. Elles déferlent cet été sur l’Europe en général et la France en particulier « sans discontinuer », avec une intensité accrue. Fait nouveau : Présent n’est plus le seul quotidien à s’inquiéter du phénomène. Le Parisien, Le Figaro, Le Monde commencent, avec trente ans de retard, à se soucier de cette immigration invasion – comme l’avait qualifiée Valéry Giscard d’Estaing en septembre 1991 – en train d’exploser sur les côtes italiennes avant de répandre en France (et dans d’autres pays européens) ses flots bouillonnants.
Vive la préférence nationale !
Oui, Le Monde lui-même… Dans son édition datée de mardi, le quotidien de la mondialisation heureuse et du libéralisme écolo-gauchisant découvrait à son tour, bien après Présent, « l’afflux des réfugiés médicaux » et les filières de plus en plus nombreuses et actives de cette immigration médicale. « Le scénario est souvent le même. Les personnes arrivent à la gare, font un malaise, sont amenées aux urgences. Là on constate qu’elles ont en fait besoin d’être dialysées. Elles sont prises en charge et déposent en parallèle une demande d’asile. » Des traitements très onéreux. Le Monde, – quelle intuition ! – évoque un éventuel « détournement » du système. A Lyon, « avec 24 lits de dialyse, le service du professeur Morelon est saturé ». Saturé par des malades étrangers, au détriment des malades français.
Le détournement, là aussi, tourne à l’envahissement. Et à l’exclusion à rebours. Non seulement les Français ont de plus en plus de mal à accéder à ces services, mais ils doivent désormais en payer les coûts pour des intrus n’ayant jamais cotisé : 500 millions d’euros par an ! La France n’a plus les moyens de soigner convenablement ses propres nationaux mais elle continue de jeter l’argent par les fenêtres de ses hôpitaux pour accueillir une misère médicale étrangère et abusive. « Certaines personnes ne s’en cachent pas. Elles sont d’abord là pour leur santé. » Sous le statut fallacieux de « réfugiés ». Toujours à Lyon, un centre d’asile a accueilli en 2013 « 766 migrants dont 25% d’entre eux avaient quitté leur pays à cause de maladies identifiées. Parmi eux, une centaine ont eu besoin d’un accompagnement médical relativement lourd ». Contribuables français, à votre bonne santé ! Ou plutôt à celle des squatters hospitaliers qui détournent les lois françaises pour accaparer à leur profit notre système de soins, déjà le plus généreux du monde.
Dommage que les dirigeants du Front national mettent quelque peu en sourdine le thème de la préférence nationale, alors que de plus en plus de Français, notamment parmi les classes populaires, la revendiquent plus que jamais. Haut et fort. Dans le chaos de la mondialisation, la préférence nationale apparaît à ces compatriotes économiquement fragilisés, outre le rétablissement des frontières, comme un protectionnisme indispensable. L’ultime bouée de sauvetage pour survivre socialement à « l’immigration submersion ».
Une préférence nationale que les Anglais nomment, eux : « placer les Britanniques en premier ». En Grande-Bretagne, les immigrés ne pourront désormais s’inscrire sur une liste d’attente pour un logement social que deux ans après leur arrivée. Placer les Français en premier : c’est aussi ce que nous réclamons. Notamment en matière de logement, d’allocations, d’éducation et de santé. Les Anglais, eux dont le pays prônait jadis le multiculturalisme, en ont aujourd’hui ras la casquette. David Cameron a été récemment très explicite. « A partir de maintenant, nous aurons la politique suivante : expulser d’abord, faire appel ensuite. » Malheureusement, le mot expulser ne semble plus avoir cours sur le continent. Sinon pour déverser les immigrés, comme le fait l’Italie, chez son voisin.
Cette demande urgente de préférence nationale nous ramène à un article du Monde de mercredi intitulé : « L’adhérent FN, ce nouveau casse-tête syndical ». Les syndicats constatent en effet de plus en plus souvent que certains de leurs adhérents, voire militants, s’engagent sur le plan politique dans les rangs du Front national. La CGT et la CFDT, pour qui la préférence nationale constitue une abomination, excluent ces « hérétiques ». Mais de plus en plus difficilement. « Sur le terrain, si je tape sur ceux qui ont voté FN, je perds aux prochaines élections », confie le responsable syndical d’un département du sud. Et d’expliquer : « Beaucoup de gens considèrent que les politiques sont pourris, alors ils se tournent vers le FN. »
Parmi les nombreux griefs que ces Français désabusés nourrissent contre leurs dirigeants, responsables de la gabegie actuelle, le principal, le plus virulent, c’est celui d’avoir, depuis tant d’années, permis sur notre sol l’installation et le développement de cette « immigration invasion » dont nous voyons aujourd’hui le déferlement s’accélérer mortellement. Permis et le plus souvent encouragé, avec notamment des lois en forme « d’aspirateurs à immigrés ». Plus qu’une faute : une trahison à l’égard de la France, des Français et de notre civilisation !
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