Il arrive, il est vrai que de grands malades connaissent quelques rémissions dans l'aggravation de leur mal.
"...Nous sommes bien au courant qu’il existe encore des situations extrêmement difficiles, y compris dans un pays comme la Grèce – des difficultés sociales, des épreuves, d’importants sacrifices – et nous savons que ces signes positifs que nous commençons à constater ne se font pas encore ressentir au niveau individuel. Je suis aussi pleinement conscient des difficultés que traverse la population grecque et je souhaite vraiment lui rendre hommage pour son courage et sa dignité ; et j’encourage le peuple grec, sous la direction de son gouvernement, à ne pas baisser les bras et mettre en péril les efforts accomplis. Je pense que nous pouvons dire au peuple grec que ses efforts et sacrifices lui ouvrent les portes d’un meilleur avenir. »
Comment, il est vrai, s'arrêter en si bon chemin, quand on a déjà bradé tant de biens publics ?
Le malade, en grande léthargie, ne se plaint pas trop et n'est pas encore à l'agonie.
On dit même que le tourisme reprend de la rigueur. Forcément, les salaires ont fondu, donc les prix sont devenus attractifs.
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