"Ce sont des mesures, qui méritent notre respect et nous savons qu'elles sont mises en place seulement au prix de durs sacrifices", a déclaré Steffen Seibert, le porte-parole du gouvernement, lors d'un point presse régulier. Il a notamment cité comme exemple le fait que la Grèce était déjà parvenue à fortement réduire son déficit public, passant en deux ans "de 11% du produit intérieur brut (PIB) à 2,5%" et à diminuer son coût du travail de plus de 10%. Pour la première fois depuis le début de la crise de la zone euro, Angela Merkel se rendra mardi à Athènes, où elle doit rencontrer le président grec, Carolos Papoulias, ainsi que le Premier ministre, Antonis Samaras. La chancelière "va en Grèce pour exprimer son soutien au gouvernement grec pour les réformes ambitieuses" qu'il a déjà ou va mettre en oeuvre, a répété Steffen Seibert qui avait déjà fait passer ce message vendredi. Angela Merkel et Antonis Samaras auront "une discussion complète sur la situation en Grèce et son avancée sur la voie des réformes", a-t-il ajouté. Dans une ville sous haute surveillance policière, des manifestations anti-austérité sont prévues pendant le séjour de Mme Merkel à Athènes à l'appel des syndicats et de la gauche radicale. Quelque 6.500 policiers ont été mobilisés dans un dispositif policier identique à celui utilisé en 1999 lors d'une visite controversée du président américain de l'époque, Bill Clinton, selon la police. "L'Europe traverse une vraie crise existentielle. (...) Et c'est un bon signe quand les chefs d'Etat se rendent visite" pour discuter, a estimé le porte-parole du gouvernement allemand. (PVO)
mardi 9 octobre 2012
Berlin exprime son "respect" pour les réformes de la Grèce
Le gouvernement allemand a exprimé son "respect" lundi pour les
réformes mises en oeuvre par la Grèce contre la crise financière, à la
veille d'une visite de la chancelière Angela Merkel à Athènes.
"Ce sont des mesures, qui méritent notre respect et nous savons qu'elles sont mises en place seulement au prix de durs sacrifices", a déclaré Steffen Seibert, le porte-parole du gouvernement, lors d'un point presse régulier. Il a notamment cité comme exemple le fait que la Grèce était déjà parvenue à fortement réduire son déficit public, passant en deux ans "de 11% du produit intérieur brut (PIB) à 2,5%" et à diminuer son coût du travail de plus de 10%. Pour la première fois depuis le début de la crise de la zone euro, Angela Merkel se rendra mardi à Athènes, où elle doit rencontrer le président grec, Carolos Papoulias, ainsi que le Premier ministre, Antonis Samaras. La chancelière "va en Grèce pour exprimer son soutien au gouvernement grec pour les réformes ambitieuses" qu'il a déjà ou va mettre en oeuvre, a répété Steffen Seibert qui avait déjà fait passer ce message vendredi. Angela Merkel et Antonis Samaras auront "une discussion complète sur la situation en Grèce et son avancée sur la voie des réformes", a-t-il ajouté. Dans une ville sous haute surveillance policière, des manifestations anti-austérité sont prévues pendant le séjour de Mme Merkel à Athènes à l'appel des syndicats et de la gauche radicale. Quelque 6.500 policiers ont été mobilisés dans un dispositif policier identique à celui utilisé en 1999 lors d'une visite controversée du président américain de l'époque, Bill Clinton, selon la police. "L'Europe traverse une vraie crise existentielle. (...) Et c'est un bon signe quand les chefs d'Etat se rendent visite" pour discuter, a estimé le porte-parole du gouvernement allemand. (PVO)
"Ce sont des mesures, qui méritent notre respect et nous savons qu'elles sont mises en place seulement au prix de durs sacrifices", a déclaré Steffen Seibert, le porte-parole du gouvernement, lors d'un point presse régulier. Il a notamment cité comme exemple le fait que la Grèce était déjà parvenue à fortement réduire son déficit public, passant en deux ans "de 11% du produit intérieur brut (PIB) à 2,5%" et à diminuer son coût du travail de plus de 10%. Pour la première fois depuis le début de la crise de la zone euro, Angela Merkel se rendra mardi à Athènes, où elle doit rencontrer le président grec, Carolos Papoulias, ainsi que le Premier ministre, Antonis Samaras. La chancelière "va en Grèce pour exprimer son soutien au gouvernement grec pour les réformes ambitieuses" qu'il a déjà ou va mettre en oeuvre, a répété Steffen Seibert qui avait déjà fait passer ce message vendredi. Angela Merkel et Antonis Samaras auront "une discussion complète sur la situation en Grèce et son avancée sur la voie des réformes", a-t-il ajouté. Dans une ville sous haute surveillance policière, des manifestations anti-austérité sont prévues pendant le séjour de Mme Merkel à Athènes à l'appel des syndicats et de la gauche radicale. Quelque 6.500 policiers ont été mobilisés dans un dispositif policier identique à celui utilisé en 1999 lors d'une visite controversée du président américain de l'époque, Bill Clinton, selon la police. "L'Europe traverse une vraie crise existentielle. (...) Et c'est un bon signe quand les chefs d'Etat se rendent visite" pour discuter, a estimé le porte-parole du gouvernement allemand. (PVO)
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