A l’occasion de la visite de François Hollande aux États-Unis, la presse américaine s’est interrogée sur la personnalité et la légitimité de Valérie Trierweiler. Les journalistes américains se sont attardés sur le statut particulier de la « compagne » du président Français.
Le journal USA Today estime que « Hollande, comme Sarkozy avant lui, avait eu une vie personnelle avant l’Élysée loin d’être acceptable pour un président, d’un point de vue américain ». Le quotidien précise que l’étrange statut extra-conjugal de Valérie Trierweiler intéresse bien plus les Américains que les faibles changements politiques initiés par son « compagnon ».
Si Barack Obama a fait preuve d’une grande courtoisie, en recevant Valérie Trierweiler comme s’il s’agissait réellement de la femme d’un chef d’état, les journalistes du New York Times se demande, à raison, comment fera Hollande quand il sera convié chefs des chefs d’état un peu plus à cheval sur le protocole. « Comment pourra-t-il voyager dans des endroits comme l’Arabie Saoudite, où la vie hors mariage n’est pas acceptée ? », s’interroge le célèbre quotidien.
Le Chicago Tribune s’est penché sur le caractère de la First Girlfriend. Il explique que « quand un collègue de Paris Match, un magazine hebdomadaire français, a un jour dit un propos qu’elle a jugé sexiste, elle l’a giflé, ce qui lui a valu le surnom de Rottweiler ». Le journal fini son article en rappelant les deux précédents divorces de Trierweiler et en demandant si la « compagne » de François Hollande pourrait devenir First Lady aux États-Unis. La réponse des journalistes Américains est sans appel : quand les poules auront des dents, ou, littéralement, « quand les cochons auront des ailes ».
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