TOUT EST DIT

TOUT EST DIT
ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

mardi 22 mai 2012

Presse américaine : la place de Trierweiler en question

A l’occasion de la visite de François Hollande aux États-Unis, la presse américaine s’est interrogée sur la personnalité et la légitimité de Valérie Trierweiler. Les journalistes américains se sont attardés sur le statut particulier de la « compagne » du président Français.

La « First girlfriend » (première petite amie), voilà comment les journalistes de CNN qualifient le statut grotesque de Valérie Trierweiler, qui porte le nom de son deuxième mari, mais qui s’incruste aux sorties officielles du Président de la république, son actuel petit copain.
Le journal USA Today estime que « Hollande, comme Sarkozy avant lui, avait eu une vie personnelle avant l’Élysée loin d’être acceptable pour un président, d’un point de vue américain ». Le quotidien précise que l’étrange statut extra-conjugal de Valérie Trierweiler intéresse bien plus les Américains que les faibles changements politiques initiés par son « compagnon ».
Si Barack Obama a fait preuve d’une grande courtoisie, en recevant Valérie Trierweiler comme s’il s’agissait réellement de la femme d’un chef d’état, les journalistes du New York Times se demande, à raison, comment fera Hollande quand il sera convié chefs des chefs d’état un peu plus à cheval sur le protocole. « Comment pourra-t-il voyager dans des endroits comme l’Arabie Saoudite, où la vie hors mariage n’est pas acceptée ? », s’interroge le célèbre quotidien.
Le Chicago Tribune s’est penché sur le caractère de la First Girlfriend. Il explique que « quand un collègue de Paris Match, un magazine hebdomadaire français, a un jour dit un propos qu’elle a jugé sexiste, elle l’a giflé, ce qui lui a valu le surnom de Rottweiler ». Le journal fini son article en rappelant les deux précédents divorces de Trierweiler et en demandant si la « compagne » de François Hollande pourrait devenir First Lady aux États-Unis. La réponse des journalistes Américains est sans appel : quand les poules auront des dents, ou, littéralement, « quand les cochons auront des ailes ».
Soit Valérie Trierweiler veut rester une « journaliste indépendante » et une femme moderne sauce années 80, auquel cas, elle assume de ne pas former de famille avec Hollande, elle vit sa vie de star de la TNT et elle ne se mêle pas de politique, soit elle va aux réceptions et aux voyages officiels et elle épouse le président. 
Comme son « compagnon », Valérie Trierweiler aurait-elle du mal à faire des choix ?
JE LUI DIRAIS DE LA FERMER PENDANT CINQ ANS.

0 commentaires: